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    De Jean-Michel à Brigitte Trogneux, mensonges à l'Elysée
    Annexes S et T
    Les scénarios de l'affaire
    Brigitte-Emmanuel

    Complément au dossier Pressibus 2022
    et à ses Post-Scriptum 2023-2025

    Préliminaire

    Cette page est un complément à la page des Post-Scriptum 2023-2025 du dossier Pressibus traitant le Brigittegate. Elle a pour but d'explorer deux axes bien distincts et dans un état d'avancement très différent, qui divisent cette page en deux pages successives :
    1. Les annexe S traitent des "scénarios Brigitte" liés aux interrogations sur les parents biologiques des trois enfants Auzière, lesquels, à l'état civil sont enfants de André Louis Auzière, personne potentiellement fictive, et de Brigitte Trogneux, personne potentiellement décédée quand elle était enfant. Les diverses hypothèses soulevées sont déjà bien établies et cernées.
    2. Les Annexe T traitent des "scénarios Emmanuel" liés aux interrogations sur les parents biologiques d'Emmanuel Macron, lequel, à l'état civil est fils de Jean-Michel Macron et de Françoise Noguès. Le "trou noir" des 12 premières années du futur président de la République est aussi traité, pour la recherche de possibles manipulations. Nous ne disposons là que d'ébauches d'hypothèses, demandant à être explorées, dans la mesure des indices trouvés.



    Pour ces deux faisceaux de scénarios nous restons sur ce qui est acquis dans le dossier et ses Post-Scriptum :
    Prérequis : Brigitte Macron est née Jean-Michel Trogneux

    SOMMAIRE
    Annexes S
    Les scénarios Brigitte
    1. Les scénarios rejetés, plausibles, probables
    2. Les explications de rejet de scénarios
    3. L'hypothèse d'un oncle élevant ses neveux
    4. L'hypothèse d'enfants nés d'un inceste frère-soeur
    5. L'hypothèse d'une mère usurpant l'identité de Brigitte Trogneux
    6. L'hypothèse d'une mère née Brigitte Auzière
    7. Un nouveau scénario. Et d'autres ?
    8. Les scénarios confrontés à la biographie de Jean-Michel Trogneux
    9. Les variantes du scénario Pressibus
    10. Compléments

    Annexes T
    Les scénarios Emmanuel
    1. Emmanuel Macron, sa famille et son enfance
    2. Le mystère de la grande soeur mort-née d'Emmanuel Macron
    3. "Brigitte" et Emmanuel se sont-ils connus avant 1990 ?
    4. Emmanuel, ses parents biologiques sont-ils ceux de l'état civil ?
    5. Comment les Rothschild sont-ils devenus protecteurs d'Emmanuel ?
    6. Les Macron, Rothschild, Trogneux et Doucé de 1977 à 1990
    7. Comparaisons photographiques
    8. En conclusion, un éventail d'hypothèses
    9. Compléments
    Sur la page voisine des Post-Scriptum 2023-2025 : les preuves, le scénario Pressibus, l'historique de trois années de Brigittegate




    Annexes S
    Les scénarios Brigitte



    1. (S) Les scénarios rejetés, plausibles, probables

      Nous partons là d'un tableau des scénarios publié le 9 août 2024, en notre P.-S. 64. Présentons d'abord chacun des scénarios, en correspondance avec les colonnes du tableau :
      1. Officiel 2016. C'est le scénario de Wikipédia et de tous les grands médias. Cette légende a été finalisée, pour l'essentiel, en 2016. Elle correspond aux données de l'état civil.
      2. Natacha Rey 2021. Ce scénario a été developpé dans une vidéo du 10 décembre 2021. Il n'existe pas sous forme écrite. Natacha Rey l'a-t-elle fait évoluer ? Apparemment pas.
      3. Pressibus 2022. Créé le 24 janvier 2022, le dossier Pressibus a d'abord adopté le scénario de Natacha Rey, puis a adopté ce nouveau scénario en août 2024. Il a légèrement évolué depuis. Sa dernière version date du 25 février 2025.
      4. F&D n°527 2023. Xavier Poussard, dans sa revue "Faits & Documents" (F&D), traite le sujet depuis octobre 2021. Il a d'abord suivi le scénario de Natacha Rey, puis en décembre 2023, au n° 527 de F&D, a exprimé un nouveau scénario, qui est celui de son livre "Devenir Brigitte" de mars 2025.
      5. CNdG 2024. Le 26 avril 2024, une page du site Riposte Laïque présente un scénario signé "Colonel Napoléon de Guerlasse", résumant sa page du site "Action patriote", entamée le 14 décembre 2021.

      Scénario : Officiel 2016 Natacha Rey 2021 Pressibus 2022 F&D n°527 2023 CNdG 2024
      Nom de naissance de Brigitte Macron Brigitte Trogneux Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux
      Père biologique des trois enfants Auzière André Louis Auzière Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux André Louis Auzière Jean-Michel Trogneux
      Mère biologique des trois enfants Brigitte (née) Trogneux Catherine Audoy (2ème épouse de Jean-Louis Auzière) Brigitte "Proba" (née) Auzière Brigitte (née) Trogneux Brigitte (née) Trogneux
      Brigitte (née) Trogneux est fictive non oui non non non
      André Louis Auzière est fictif non oui oui non oui
      Brigitte "Proba" (née) Auzière existe non non oui non non
      Jean-Michel Trogneux est l'oncle (biologique) des trois enfants oui non non oui non
      Jean-Michel Trogneux est le père d'Emmanuel Macron non non non non oui
      Plausible/Probable non/non
      Rejeté
      non/non
      Rejeté
      oui/oui
      Probable
      oui/non
      Plausible
      oui/non
      Plausible
      Pourquoi ? Brigitte Macron, née homme, n'est pas la mariée de 1974 Brigitte Trogneux née en 1953 a existé, Catherine Audoy n'est pas mère des trois enfants La présence de Brigitte "Proba" Auzière est avérée comme témoin du mariage de 1980 (Chap. 30 part. 2) Il apparaît probable que André Louis Auzière, en tant que père des trois enfants, soit un personnage fictif La famille Trogneux n'aurait pas accepté l'inceste frère-soeur
      Remarque C'est l'actuelle version des grands médias, muets sur les nouveaux éléments Début 2022, le scénario Natacha Rey 2021 était aussi celui de F&D et de Pressibus.
      Actualisation : dans un entretien de 35 mn du 13 septembre 2024, Natacha Rey précise sa position (sans grand changement) entre 15 mn et 19 mn (P.-S. 69).
      Dans le dossier NBI 2022, Jean-Michel était déjà le père d'Emmanuel (Annexe A 37).

      A la création de cette page, en mars 2025, ce tableau d'août 2024 garde sa pertinence. Notre avis n'est pas définitif, il peut évoluer. Toutefois, le scénario estimé "probable" l'est à une valeur haute, celle de l'intime conviction, s'appuyant sur un faisceau d'indices concordants. Il faudrait des informations nouvelles très importantes pour que nous changions d'avis.


      Tiphaine, Laurence et Sébastien Auzière : qui sont leurs parents biologiques ?



    2. (S) Les explications de rejet de scénarios

      L'hypothèse "Officiel 1996" est rejetée parce qu'elle n'accepte pas l'acquis, à savoir que Brigitte Macron n'est pas née Brigitte Trogneux mais Jean-Michel Trogneux. Il y a donc là un mensonge officiel, impliquant une usurpation d'identité et l'invalidité du mariage de 2007, qui concerne deux hommes et non un homme et une femme.
      Toutefois, en ce qui concerne les parents biologiques des trois enfants Auzière, l'hypothèse "Officiel 2016" rejoint celle "F&D527 2023" et, sur ce point, elle apparaît donc plausible.

      L'hypothèse "Natacha Rey 2021" est rejetée pour des explications développée en P.-S. 99b. En résumé : Catherine Audoy a porté plainte contre Natacha Rey pour diffamation sur cette maternité et pour d'autres raisons. Elle a apporté au tribunal des preuves qu'elle travaillait lors d'accouchements qui lui sont imputés. De plus, elle n'a jamais eu d'enfant. Natacha Rey maintient son scénario ; elle-même et son avocat ont contesté le jugement, mais sur d'autres points que celui-là. Nous en prenons acte, comme l'a fait aussi Xavier Poussard. Nous estimons légitime que cette suspicion ait été rendu publique, mais, en l'état actuel de nos connaissances, nous nous rangeons derrière l'avis du tribunal (sur ce point seulement, pas sur d'autres).
      Toutefois, ce "scénario Natacha Rey 2021" est le plus proche du scénario le plus probable, "Pressibus 2022" : la mère est liée à la famille Auzière et non à la famille Trogneux, le père est Jean-Michel Trogneux.



    3. (S) L'hypothèse d'un oncle élevant ses neveux

      Dans l'hypothèse F&D527, l'oncle Jean-Michel Trogneux, à partir de 1984 environ, élève ses trois neveux Sébastien, Laurence et Tiphaine, alors respectivement âgés de 9 ans, 7 ans et quelques mois. L'oncle se substitue à la mère biologique, apparemment disparue, probablement exfiltrée. Le père biologique, André Louis Auzière, serait toujours présent.


      L'arbre de "Faits & Documents" n°527 de décembre 2023






      Dans quel contexte une telle substitution peut-elle advenir ? Xavier Poussard, dans son livre, page 296, présente le cas suivant : "Une soeur qui se sait condamnée par une maladie grave confie la garde de ses enfants et son identité à ce frère dont elle est si proche et qui s'est toujours senti femme !". Effectivement, il faut une très forte contrainte, de type maladie grave ou danger de mort, pour qu'une mère abandonne ses enfants.

      Toutefois, en un tel cas, c'est le père qui essaie de prendre la relève, en tant que père. S'il ne le fait pas, quelle peut en être la raison ? En voici deux :
      1. Il peut s'en trouver incapable. Dans ce cas, il cherche de l'aide, et d'abord dans la famille, aussi dans son lieu de vie. Or là, André Louis et Jean-Michel s'éloignent complètement de la famille en s'installant près de Strasbourg.
      2. André Louis et Jean-Michel sont amoureux l'un de l'autre. Là on comprend qu'ils s'éloignent de leurs familles bourgeoises, qui désapprouveraient leurs amours homosexuelles.
      Le déménagement à Strasbourg oriente donc vers le deuxième cas. Xavier Poussard ne l'a pas mentionné, mais toute autre explication augmenterait sensiblement l'improbabilité de ce scénario.

      Cela apporte un éclairage sur la crise de 1984. Jean-Michel Trogneux aurait abandonné ses deux amours féminines, Brigitte et Véronique, pour se consacrer à son amour masculine, son beau-frère André Louis Auzière.

      Toutefois cette déduction n'expliquerait qu'en partie l'absence de photos d'André Louis. Rien n'empêche de montrer une photo de lui avec un de ses jeunes enfants. Qu'il ne se montre pas avec leur mère biologique est compréhensible, car on se rendrait compte alors que celle-ci n'est pas Brigitte Macron. Par contre une photo avec Jean-Michel féminin, avec ou sans enfant, ne présente aucun risque, on reconnaîtrait le père, celle qui est censée être la mère et les bambins. Cette absence de photo augmente l'improbabilité de ce scénario.

      Par ailleurs, si l'homosexualité de Jean-Michel est cohérente avec le reste, celle d'André Louis, père de trois enfants, est étonnante, mais pourquoi pas ? Cela n'apporte cependant aucune explication au comportement extrêmement effacé du personnage.

      Rappelons que, pour les voisins du numéro 4 de la rue des coquelicots, à Truchterscheim, le couple Auzière apparaissait bien intégré. Le papa tondait le gazon... (photo ci-contre, Chapitre 9, article).

      Dans son livre, Xavier Poussard estime véridiques les propos qu'Emmanuelle Anizon a recueillis auprès de Jean-Louis Auzière. Or celui-ci affirme qu'en 2019, à l'enterrement de son neveu André Louis, sa dernière compagne était présente. Et non son dernier compagnon... Là encore, l'hétérosexualité d'André Louis rend davantage improbable le scénario F&D527.

      Donc, en poursuivant le raisonnement de Xavier Poussard, on arrive à une quasi impasse. Et cela sans prendre en compte que Jean-Michel Trogneux a deux autres enfants très jeunes en 1984 : Jean-Jacques et Valérie Trogneux, âgés de 2 ans pour le premier, quelques mois pour la seconde, tous deux enfants légitimes de son mariage en 1980 avec Véronique Dreux. Quel père abandonnerait ses deux enfants pour élever, à leur place, trois neveux ? Il faudrait être extrêmement fâché avec la mère, et même davantage, car le droit de visite et la garde alternée concernent les parents fâchés.

      Même en supposant que la mère biologique serait décédée (sans que ce soit déclaré) (et ce n'est pas dans le scénario F&D527), même en supposant que Jean-Michel voulait à tout prix devenir mère et perpétuer l'existence de sa soeur décédée, pourquoi se serait-il marié quatre ans plus tôt et pourquoi n'aurait-il aucun attachement à ses deux enfants ? Pourquoi aurait-il voulu séparer un père biologique et ses trois enfants ? Ce n'est certes pas impossible, mais c'est très peu vraisemblable.

      C'est bien parce qu'aucun élément factuel ne permet d'éliminer cette hypothèse F&D527 qu'elle est ici conservée et considérée comme plausible, au sens de n'être pas complètement impossible, mais presque. Et cela, sans même l'avoir confrontée au déroulement de la vie de Jean-Michel Trogneux.








    4. (S) L'hypothèse d'enfants nés d'un inceste frère-soeur

      Dans l'hypothèse CNdG, les trois enfants Auzière ont pour parents les frère et soeur Jean-Michel et Brigitte Auzière. Le dire, c'est d'emblée énoncer le principal obstacle à cette hypothèse.


      Certes, au mariage de 1974, Jean-Michel Trogneux serait remplacé par un personnage fictif, André Louis Auzière, ce qui permet de cacher l'inceste aux autorités et à ceux qui connaissent mal les époux. Mais la famille, les parents Trogneux, le frère et les soeurs ne peuvent pas l'ignorer. Il s'agit là d'une famille bourgeoise, catholique, pour qui l'inceste est insupportable. Qu'est-ce qui aurait pu le rendre supportable ?

      Une réponse pourrait être une grossesse indésirable. La mariée aurait pu se trouver enceinte de son frère en 1974 et avoir perdu son enfant peu après. A cette époque, l'interruption volontaire de grossesse n'est pas encore votée. Mais on n'est pas dans ce cas : on sait que le 26 janvier 1974, Brigitte est fiancée et le mariage a lieu le 22 juin. L'écart entre ces deux dates est trop important. La photo de la mariée ne la montre pas enceinte.

      Une autre hypothèse serait que des secrets de famille auraient conduit à accepter cet inceste. Ce qui s'est passé en 1960 (Brigitte qui commence seulement alors à aller à l'école, Jean-Michel qui part à Alger) permet de supposer l'existence de tels secrets. Mais quels peuvent-ils être pour conduire toute la famille à accepter l'inceste ? C'est difficile à imaginer. Rien ne prouve que c'est impossible, mais la probabilité apparaît très faible.




    5. (S) L'hypothèse d'une mère usurpant l'identité de Brigitte Trogneux

      Cette hypothèse, qui est celle de Pressibus 2022, peut être considérée comme résultant de la mise à l'écart des deux précédentes hypothèses : elle combine deux suppositions : que Jean-Michel soit le père biologique des enfants Auzière, et non leur oncle, et qu'il n'y ait pas d'inceste.


      L'arbre Pressibus 2022 des trois Brigitte. La photo de Brigitte n°1 s'avère être fausse (voire incrustée, P.-S. 97).

      A l'état civil, la mère des trois enfants est Brigitte Trogneux, née à Amiens le 13 avril 1953, fille de Jean Trogneux et de Simone Pujol. Comme le père des enfants Auzière serait son frère Jean-Michel et qu'on exclut un inceste, l'identité de Brigitte Trogneux doit nécessaire avoir été usurpée par une autre personne. Dans quelles conditions est-ce possible ? Etant donné l'assentiment des parents et le soutien continu de la famille par la suite, on doit admettre que l'usurpation était acceptée par toute la famille. Puisque la mariée a 21 ans environ et puisqu'elle a un parcours scolaire, au contact de camarades de classe, l'usurpation est forcément ancienne et date d'avant la scolarité de la jeune fille. Or celle-ci commence au CE2, en 1960, à l'âge de sept ans et demi. Si usurpation il y a, elle date donc d'avant la rentrée de septembre 1960. L'étrangeté d'un manque de scolarisation avant cette date permet de fixer l'usurpation d'identité en 1960 ou peu avant, sinon la fillette aurait été scolarisée plus tôt. Il reste un léger degré d'incertitude pour cette date, par le fait qu'elle aurait pu être scolarisée loin de chez elle, par exemple pour une raison médicale.

      Cela signifie qu'avant cette date de septembre 1960, la fillette née à Amiens en 1953 aurait disparu, soit décédée et alors sans déclaration du décès, soit exfiltrée, pour être remplacée par une autre fillette. Le décès non déclaré apparaît beaucoup plus probable. Il fallait que cela soit effectué de façon discrète et crédible. Or nous savons que les conditions s'y prêtaient pleinement :
      • la famille Auzière est impliquée dans les services secrets, surtout Georges Costes, témoin du mariage de 1974 (P.-S. 9),
      • le maire du Touquet, Léonce Deprez, qui a célébré le mariage de 1974, est un très grand ami de Jean Trogneux, le père de Jean-Michel (Annexe A 28 et Annexe A 50.
      Cela a permis de truquer les identités et le mariage lui-même. Remarquons que ni les Trogneux ni les Auzière n'habitent Le Touquet. Un mariage à Amiens aurait été beaucoup plus logique. On comprend, dans ces circonstances, l'utilité de le déplacer au Touquet.

      Ainsi, par un cheminement au début différent de celui de 2022, à savoir la forte improbabilité de deux autres scénarios, nous sommes logiquement arrivés à un scénario de trois Brigitte, qui nous rapproche du scénario Pressibus 2022. Il est complexe, pour faire succéder trois personnes sous la même identité de Brigitte Trogneux, mais il est le seul qui permette de réunir ces trois impératifs :
      • la mariée de 1974 n'est pas Brigitte Macron,
      • les trois enfants Trogneux ont été élevés par leur père biologique (et non par un oncle),
      • ces enfants ne sont pas nés d'un inceste.

      De plus ce cheminement nous a permis de trouver la date de la première usurpation d'identité : 1960. La deuxième, celle où Jean-Michel Trogneux "devient" Brigitte, est commune à tous les scénarios : 1984.




    6. (S) L'hypothèse d'une mère née Brigitte Auzière

      De ce qui précède, nous retenons que les hypothèses F&D527 et CNdG sont très improbables, alors que l'hypothèse d'une usurpation d'identité de la mariée 1974 permet d'éviter les écueils de ces deux scénarios et de se trouver dans un contexte très favorable au trucage du mariage de 1974. Pour arriver au scénario Pressibus, il reste à trouver qui est la personne qui a usurpé l'identité de Brigitte Trogneux.

      Plusieurs considérations permettent de deviner qui elle peut être, par approches successives :
      1. elle est une Auzière, puisque les enfants ont ce patronyme,
      2. elle est très proche de ceux qui sont censés être les parents du marié, le fictif André Louis, Louis Auzière et Renée Costes, certainement même leur fille. Ils ont quatre filles : Line, Renée, Hélène et Laure.
      3. étant donné que chacune de ces quatre filles a une vie de famille avec enfants, ne laissant pas de place à une double vie avec trois enfants supplémentaires, elles sont exclues.
      4. à ce stade, on s'étonne qu'entre le fils Pierre, né en 1947, et la cadette, Laure, née en 1955, aucun enfant ne soit né durant ces huit années. Aucun, sauf l'enfant fictif André Louis, censé être né le 28 février 1951, sans qu'on en ait la preuve puisqu'il est né à Eseka au Cameroun, où il n'y avait pas d'état civil.
      5. une question est alors naturellement posée : et si plutôt qu'un garçon, c'était une fille qui était née vers cette date, la mère des trois enfants ? Avec une date de naissance plus proche de 1953 que de 1951 ? Donc une fillette ayant un âge voisin de celui de la disparue d'Amiens ?
      6. La famille Auzière, en 1960, vit à Madagascar (document ci-dessous à gauche), elle rejoindra la métropole en 1963. La petite Brigitte a pu y rentrer deux ans plus tôt.

      Nous venons de reconstituer, là, le raisonnement qui a conduit, en avril / mai 2022 (Chapitre 27), au scénario Pressibus. Nous sommes au stade où cette mystérieuse fille Auzière, née vers 1953 au Cameroun, devenue mère des trois enfants Auzière, a été prénommée "Proba", "comme Probable". En attendant de découvrir son véritable prénom.


      Attardons-nous sur cette Proba Auzière. Elle nous permet de comprendre la nécessité de truquer le mariage de 1974 et l'habileté du trucage mis en place :
      • La nécessité, le pourquoi :
        Jean-Michel et Proba veulent fonder une famille. Mais comme Proba a pris l'identité de Brigitte Trogneux, la soeur de Jean-Michel, le mariage, entre soeur et frère, est légalement et religieusement impossible. Il faut donc tricher pour trouver une solution.
      • L'habilité, le comment :
        Cette dualité d'un frère André Louis (fictif) et d'une soeur Proba (réelle) s'avère géniale :
        • Auzière / Trogneux à l'état civil, Trogneux / Auzière en biologique, c'est presque pareil,
        • la mère biologique est la soeur réelle du père fictif de l'état civil, alors que le père biologique est le frère de la mère décédée (non déclarée) de l'état civil,
        • cela donne les quatre même grands-parents à l'état civil comme sur le plan biologique.
      Il fallait être d'un bon niveau dans les services secrets pour imaginer une substitution aussi astucieuse et pour la mettre en oeuvre de façon aussi crédible. Or justement, le témoin de la mariée au mariage de 1974 est un as des services secrets : Georges Costes, ayant dirigé ceux d'Algérie dans les années 1950 (P.-S. 9).

      Comment s'est effectué le passage du prénom provisoire Proba à celui Brigitte ? D'abord par une confusion contestable : l'appelation Brigitte Auzière semblait parfois, dans les documents, être un nom de jeune fille, parfois un nom de femme mariée. Mais une confirmation est rapidement arrivée : Brigitte née Auzière existe, elle a été témoin du marié au mariage, en 1980, de Jean-Michel Trogneux et Véronique Dreux, à Blangy-Tronville (ci-dessus à droite). Et c'est le nom de naissance qui est obligatoirement marqué pour un tel acte. Cette pratique est basée sur le principe que seul le nom inscrit sur l'acte de naissance doit figurer dans les actes officiels. Et, contrairement au mariage de 1974, il n'y a aucune raison de croire que le maire de Blangy-Tronville aurait trempé dans une magouille. Il est sans lien avec la famille Trogneux.

      On peut certes se demander pourquoi Brigitte Auzière a préféré montrer son identité Auzière, alors qu'elle aurait pu présenter son identité Trogneux. Peu importe, elle a fait ce choix-là. Et qui sait, peut-être a-t-elle voulu nous faire un signe, montrer sa volonté d'échapper à sa lourde identité Trogneux (lourde à porter à cause de la vie très compliquée du pervers Jean-Michel...).



    7. (S) Un nouveau scénario. Et d'autres ?

      A la mi-mars 2025, environ quinze correspondants du dossier Pressibus ont suivi la réalisation de cette annexe S. Il en est sorti l'existence d'un nouveau scénario plausible, avec les caractéristiques suivantes :
      • Jean-Michel Trogneux est le père biologique des trois enfants Auzière,
      • Brigitte Trogneux, née en 1953 à Amiens, est leur mère,
      • Jean-Michel et Brigitte Trogneux ne sont plus frère et soeur, comme dans le scénario CNdG, mais oncle et nièce, ce qui augmente l'acceptabilité de l'inceste,
      • Brigitte Trogneux ne serait donc plus fille de Jean Trogneux et Simone Pujol, mais de Anne-Marie Trogneux, soeur de Jean-Michel et de Louis Auzière
      • puisque Jean-Michel Trogneux est le père biologique, ce père n'est pas André Louis Auzière, qui est un personnage fictif créé dans le but de cacher l'inceste, comme dans le scénario Pressibus.
      On peut donc considérer que c'est un mélange des scénarios CNdG et Pressibus : deux Brigitte, un inceste, un André Louis fictif.

      Ce scénario est baptisé NièceA, comme nièce Auzière. Ses deux points forts s'appellent justement nièce et Auzière :
      • Brigitte Trogneux, née le 13 avril 1953, a été conçue en 1952. En 1952, Simone, sa mère officielle, a 39 ans, Anne-Marie a 20 ans. A l'époque, la grossesse d'une jeune fille de 20 ans accidentellement enceinte d'un homme marié, dans une grande famille bourgeoise comme les Trogneux, était considérée comme une faute très grave qui déshonorait la famille et qu'il convenait de cacher. Il arrivait que la mère endosse la maternité de sa fille et que l'enfant soit dès lors considéré comme le cadet de la famille. En ce cas, la cadette Brigitte n'est plus la soeur biologique de Jean-Michel, mais sa nièce biologique.
      • L'implication des Auzière remonterait, dans ce cas de figure, à 1952 et non à 1960, comme l'estime le scénario Pressibus. Les Auzière, habitués aux services secrets et à l'usage de prête-noms, ont même pu donner à cette Brigitte amiénoise une seconde identité, celle d'une Brigitte Auzière, née à Eseka au Cameroun. Cela expliquerait la présence du témoin Brigitte Auzière au mariage de 1980. On peut aussi imaginer que ses premières années d'école auraient été effectuées auprès de son père, en Afrique. Cela expliquerait la non-scolarisation de Brigitte à Amiens avant 1960.

      Toutefois, de grosses difficultés demeurent :
      1. Dans quelles circonstances Louis Auzière, 35 ans, et Anne-Marie Trogneux, 20 ans, auraient-ils eu l'occasion de se rencontrer en 1952 ? Louis vit alors au Cameroun et Anne-Marie à Amiens, avec ses parents. Louis a vécu en 1943-1945 à Alger et y a des attaches avec sa soeur et son beau-frère Georges Costes. Anne-Marie est une joueuse de tennis de niveau national, elle joue contre des adversaires algériennes (Annexe A 28) : elle aurait donc pu se déplacer à Alger. L'éventualité d'un passage de Louis Auzière au Touquet, où Anne-Marie est souvent présente, n'est pas à écarter. On sait aussi que les Trogneux ont une cousine et voisine, Jacqueline Ledoux, qui va souvent à Alger (P.-S. 48). Mais ce sont là des supputations fragiles. Aucun lien entre les familles Trogneux et Auzière avant 1960 n'a été trouvé pour l'instant.
      2. L'acceptation d'un enfant non désiré, né d'une liaison extra-conjugale, est difficile, mais elle est conforme à la morale chrétienne. Par contre accepter qu'un père de cinq enfants, extérieur à la famille, rende enceinte la jeune fille de la maison est incompréhensible dans une famille bourgeoise chrétienne. Ce Louis Auzière serait instantanément devenu un malotru à honnir. Comment aurait-il pu, en partie, élever son enfant et ensuite être présent à son mariage avec les Trogneux ?
      3. Même si c'est entre nièce et oncle, l'inceste est prohibé et il faudrait une nécessité impérieuse pour qu'une famille bourgeoise chrétienne l'accepte. On a vu qu'aucune grossesse n'est la cause du mariage, alors pourquoi ?
      Les quelques avantages de ce scénario, par rapport à celui CNdG d'un inceste frère-soeur, restent donc limités et des interrogations s'ajoutent qui restent sans réponse, comme le lieu et la circonstance de la rencontre initiale en 1952.

      D'autres scénarios apparaissent possibles. On peut par exemple reprendre celui-ci en remplaçant Louis Auzière par une autre personne, ce serait toutefois, davantage, une variante. Pareillement, pour le scénario Pressibus, on pourrait attribuer d'autres parents à Brigitte Proba Auzière, mais ce seraient aussi des variantes. Un scénario vraiment distinct, comme l'a été NièceA, reste à trouver.

      Pourrait-on, d'ailleurs, définir les contours d'un scénario idéal ? Il serait sans l'inceste de CNdG et NièceA, sans l'oncle de F&D527 et sans les trois Brigitte de Pressibus. Il faudrait que Brigitte née Trogneux ne soit pas soeur biologique de Jean-Michel, donc qu'elle ait un autre père et une autre mère, sans que le père et la mère aient un lien proche avec les Trogneux. Mais pourquoi alors ce bébé sans lien avec les Trogneux aurait-il été considéré comme leur enfant ? Une solution dans cette direction apparaît très improbable, quoique non impossible.

      Une fois de plus, on constate que le refus d'un inceste, comme le refus d'un oncle élevant trois neveux en abandonnant ses deux enfants, conduisent à l'existence de trois Brigitte, donc au scénario Pressibus.



    8. (S) Les scénarios confrontés à la biographie de Jean-Michel Trogneux

      Nous allons reprendre là les quatre scénarios sélectionnés, Pressibus 2022 (P), F&D527 2023 (F), CNdG 2024 (C) et NièceA 2025 (N), en les confrontant aux étapes de la vie de Jean-Michel Trogneux décrits dans le "point de la situation au 25 février 2025", avec un ajout (le dernier) venant de l'analyse du livre de Xavier Poussard (P.-S. 105b). Des notes sont attribuées selon que le scénario correspond très bien (2), bien (1), passablement (-1) ou mal (-2) à l'épisode de vie indiqué et à sa normalité de celui-ci. Selon la couleur des lignes, on a un critère de notation différent :
      • en rose : une bonne ou mauvaise correspondance avec le fait en question,
      • en bleu : une bonne ou mauvaise normalité de l'épisode de vie en question.

      Titre Episode de la vie de Jean-Michel Trogneux et signification des notes P F C N
      1) Naissance Le 13 avril 1953 naît Brigitte (n°1) Trogneux, officiellement fille de Jean Trogneux, 44 ans, et de son épouse Simone Pujol (2 si c'est biologiquement vrai, -2 sinon) 2 2 2 -2
      2) Photo de famille Début 1953 est prise une photo de famille, où sera ajoutée plus tard une Brigitte fictive âgée d'environ 3 ans (PS 97). (on comprend pourquoi 2 / 1, on ne comprend pas du tout -2) 2 -2 -2 1
      3) Scolarité Avant la rentrée 1960 et ses 7 ans, cette Brigitte n°1 n'est pas scolarisée à l'école voisine ; cela se comprend (2 / 1) ou cela apparaît incompréhensible (-2) 2 -2 -2 1
      4) Nièce décédée Dans des entretiens pour magazines "people", Brigitte Macron fait référence au décès marquant d'une nièce quelques mois après celui de sa soeur Maryvonne (se comprend 2, incompréhensible -2). 2 -2 -2 -2
      5) Usurpation d'identité 1960, une deuxième Brigitte remplace la première (-2) ou pas (2) -2 2 2 2
      6) A Alger En 1960 (ou un peu après), Jean-Michel part en Algérie, en tant que confiseur, dans une pension de famille (se comprend 2, incompréhensible -2). 2 -2 -2 2
      7) Mariage de 1974 Jean-Michel Trogneux et Brigitte Trogneux (à l'état civil) veulent fonder un foyer et se marient en truquant (-2) ou pas (2) le mariage. -2 2 -2 -2
      8) Inceste Enfants nés d'un inceste (frère-soeur -2, oncle-nièce -1) ou pas (2) 2 2 -2 -1
      9) Existence de Brigitte Auzière 1980, Brigitte Auzière est témoin au mariage de Jean-Michel Trogneux. Cette Brigitte existe (oui 2, à l'état civil peut-être 1) ou pas (-2). 2 -2 -2 1
      10) Photos avec le père Absence de photos de famille avec le père (s'il est fictif 2, -2 sinon) 2 -2 2 2
      11) Père ou oncle des enfants 1984, Jean-Michel devient la mère de ses enfants (2) ou de ses neveux (-2) 2 -2 2 2
      12) Mariée Auzière ou Trogneux 2024, procès de Natacha Rey, un cousin Auzière, et non un Trogneux, atteste que la photo de la mariée de 1974 est authentique (page 203 de "Devenir Brigitte"). La mariée est une Auzière (2) ou une Trogneux (-2) ou un mixte (1). 2 -2 -2 1
      Total   16 -8 -8 5

      Il y a bien sûr de la subjectivité dans la notation, mais l'idée est d'avoir une orientation générale sur le double critère d'avoir une trajectoire "normale" (sans trucage, inceste, usurpation d'identité...) (bleu) et une trajectoire qui permette de comprendre les faits observés (non scolarisation avant 1960, pas de photo du père...) (rose). Il serait possible de pondérer en fonction de la couleur ou d'autres critères... Mais la tendance ne changerait guère.

      L'intime conviction du scénario Pressibus par rapport aux scénarios F&D527 et CNdG est donc confirmée. Le scénario mixte NièceA est environ à mi-probabilité entre Pressibus et CNdG.



    9. (S) Les variantes du scénario Pressibus

      Des variantes sont possibles pour chacun des scénarios de base. Quelles peuvent-elles être pour le scénario Pressibus, caractérisé par la succession de trois Brigitte ?

      L'une d'entre elles est apparue dès février 2022. En Annexe A 11, nous avons traité "le mystère de la nièce morte jeune". Plusieurs déclarations de "Brigitte" Macron montrent qu'elle a été très affectée, en 1960, par la mort accidentelle de sa soeur Maryvonne et par celle, quelques mois ou une année plus tard, d'une jeune nièce de 6 ans, qui serait morte d'une appendicite aiguë. Or il n'y a aucun décès de nièce à cette époque. C'est en se basant sur ce mystère que le scénario Pressibus estime que la nièce serait en fait la petite soeur Brigitte n°1 (âgée de 7 ans en 1960). Par évitement langagier, "Brigitte" / Jean-Michel aurait utilisé le mot "nièce" pour parler de sa soeur.

      Mais Brigitte n°1 pourrait être une véritable nièce, si on la positionne comme dans le scénario NièceA. Et, tant qu'à faire, il serait bon de prendre en compte les très fortes bizarreries autour de cette fillette disparue en 1960 :
      1. Nous n'avons pas de photo d'elle, puisque l'on a montré, en P.-S. 97, que la seule photo de famille où elle pourrait figurer date de début 1953 et ne peut qu'être truquée : née le 13 avril 1953, Brigitte n°1, sur les genoux de sa mère, devrait être un bébé âgé de quelques semaines, mais on la voit âgée d'environ 3 ans.
      2. Nous savons qu'elle n'a pas été à l'école avant la rentrée de 1960 et on suppose que ceci correspond à l'arrivée de Brigitte n°2. Cela laisse présager de graves problèmes de santé. Le manque de photo pourrait aiguiller vers une malformation.


      La photo de famille de début 1953. Derrière, de gauche à droite, Maryvonne 16 ans, Jean-Claude 19 ans et demi, Anne-Marie 21 ans, Monique 11 ans et demi. Devant à gauche, Jean-Michel 8 ans. Brigitte, née en avril 1953, ne peut pas être la fillette assise sur les genoux de Simone Trogneux, née Pujol, la mère de famille.

      Et si ces problèmes de santé ou de malformation provenaient d'une consanguinité ? Non seulement la nièce serait fille d'une soeur de Jean-Michel, Anne-Marie ou Maryvonne, mais elle serait fille aussi de Jean-Claude : un inceste frère-soeur. Sans écarter un inceste père-soeur. Nous retenons ici l'inceste frère-soeur, avec une préférence pour Maryvonne, car "Brigitte" Macron relie fortement le décès de la soeur et de la nièce, comme s'il y avait un lien fort entre elles, de mère à fille. En 1952, Jean-Claude a 19 ans, Maryvonne a 15 ans. On obtient alors cet arbre :




      En résumé, le scénario Pressibus de base considère que Brigitte née le 13 avril 1953 est une soeur biologique de Jean-Michel alors que ses variantes considèrent qu'elle en est une nièce biologique. Parmi ces variantes figure celle du scénario NièceA, avec Louis Auzière et Anne-Marie Trogneux qui seraient les parents. Mais la variante que nous venons d'indiquer a une résonance particulière par rapport à ce que nous percevons de la courte vie d'une fillette mal intégrée à sa famille et à la vie scolaire.

      Nous pouvons aller plus loin en auscultant davantage ce qui s'est passé en cette année 1960 ou peu après. Le départ de Jean-Michel Trogneux à Alger interpelle. Pourquoi est-il parti là-bas ? Le scénario Pressibus estime que c'est pour rendre service aux Auzière et, à travers eux, aux services secrets français, en remerciement de l'arrivée de Brigitte "Proba" Auzière dans la famille Trogneux. Mais n'y a-t-il pas aussi une volonté d'écarter Jean-Michel, comme une sorte de punition pour avoir effectué une faute grave ? Une telle faute pourrait-elle être la mort de la petite Brigitte ? Un jeu qui aurait mal tourné ? Ou une maladresse ? La crainte que ce soit considéré comme un meurtre ? Cela pourrait expliquer que le décès n'ait pas été déclaré... Ce sont des hypothèses qui ne peuvent pas être écartées.




    10. (S) Compléments

      Nous ajoutons ici quelques informations complémentaires postérieures à la première parution du 24 mars 2024.

      1. Le 26 mars 2025. Variante du scénario Pressibus. Sur la photo de famille, Anne-Marie (debout entre Jean-Claude et Monique) porte la main à son ventre, comme si elle était enceinte. La photo est datée par ChatGPT du tout début 1953 (P.-S. 97), en fonction de l'âge des quatre grands enfants). Brigitte Trogneux est née le 23 avril 1953. Cela signifie-t-il que Anne-Marie serait sa mère ? Auquel cas, bien que soeur de Jean-Michel à l'état civil, elle serait bien, biologiquement, sa nièce... Et c'est Jean-Michel / "Brigitte" Macron elle-même qui affirme qu'une de ses nièces est décédée en 1960. Ajoutons que Simone, la mère, ne semble pas enceinte...
        On est là dans une variante du scénario Pressibus, mais pas celle dont on a présenté l'arbre dans l'annexe S9 précédente, où la mère est une autre soeur, Monique.

      2. Le 30 mars 2025. Variante du scénario F&D527. Un correspondant nous présente un scénario selon lequel Véronique / Jean-Michel 1977 aurait été opéré et ne pourrait donc pas être père. André Louis Auzière et Brigitte n°1 Trogneux seraient donc les parents biologiques des trois enfants Auzière, alors qu'un père inconnu et Véronique Dreux seraient les parents biologiques des deux enfants Trogneux, ce père inconnu étant aussi le père biologique d'Emmanuel Macron (d'où la ressemblance Jean-Jacques - Emmanuel). La disparition de Brigitte n°1 aurait été brutale et André Louis Auzière y aurait été impliqué. Il aurait ensuite été victime d'un chantage de la part de la famille Trogneux, ce qui expliquerait son silence et son effacement.
        En reprenant le tableau de l'annexe T8 précédente, le point 11) "père ou oncle" se trouve atténué, pour passer de -2 à -1, pour un total qui passerait de -8 à -7. Quant à une mort brutale et inattendue en 1984 de la mariée de 1974, elle semble exclue, puisque le départ en Alsace aurait été préparé dès 1983 (P.-S. 113d). De plus, en P.-S. 94aa1, nous avons estimé probable que Jean-Michel ait gardé ses attributs masculins, ce qui diminuerait le total de -7...



    Annexes T
    Les scénarios Emmanuel



    1. (T) Emmanuel Macron, sa famille et son enfance

      Officiellement, à l'état civil, Emmanuel Macron est né à Amiens le 21 décembre 1977. Ses parents, tous deux médecins, sont Jean-Michel Macron, professeur et chef de service de neurologie au CHU d'Amiens, né en 1950, et Françoise Noguès, médecin-conseil à la sécurité sociale, née en 1950. Mariés en 1976, ils ont divorcé en 2010. Ils ont eu trois enfants :
      1. Emmanuel né le 21 décembre 1977,
      2. Laurent né en 1979,
      3. Estelle née en 1984.

      En 2005, Jean-Michel Macron a eu un fils, Gabriel, avec Hélène Joly. En 2010, il se remarie avec elle.


      A gauche, Emmanuel, ses parents, sa soeur et son frère. Cette photo, parue dans Paris-Match en 2017, peut ne pas être authentique.
      A droite, Emmanuel entre ses parents et avec son frère Laurent en mai 2017.

      Celui qui a le plus fouillé l'enfance d'Emmanuel Macron est probablement Xavier Poussard. Voici comment il aborde ce sujet en page 113 de son livre "Devenir Brigitte" : "La prime jeunesse d'Emmanuel Macron, c'est-à-dire sa vie avant sa rencontre avant "Brigitte", est un trou noir. Nous nuançons toutefois : un "trou noir" jusqu'à 12 ans, un "trou gris" ensuite, même encore après la rencontre, à 14 ans, avec son professeur de théâtre "Brigitte". "Il a passé son enfance rue Gaulthier-de-Rumilly à Henriville, le quartier le plus huppé d'Amiens, dans une maison achetée en 1982 par ses parents" (plan de Henriville).


      Les photos ci-dessus (et aussi les deux précédentes) proviennnent du numéro 3547 de "Paris Match", du 10 mai 2017, consacré au nouveau président de la République, juste après son élection. Elles ont étonné Xavier Poussard, qui remarque l'absence de membres de la famille : "Diffusées une seule et unique fois, ces photographies n'ont pas été republiées sur Internet, comme c'est l'usage. Inexplicablement, elles n'ont pas été incorporées aux biographies autorisées produites ultérieurement". On peut donc douter que ce soient là des photos d'Emmanuel Macron.

      Nous disposons ensuite d'une photo de classe fournie au journal "L'Alsace" par Jean-Michel Macron en avril 2022 (Annexe A 29). A l'analyser, elle surprend : il y a deux maîtresses pour un nombre important d'élèves, et l'attitude de la plupart des enfants peut apparaître bizarre, au point que certains croient y distinguer des enfants trisomiques. Or, cette photo de cours préparatoire, 1983/1984, provient de l'école primaire Delpech, voisine du domicile des Macron, et son statut "école primaire d'application" (depuis 1982, source), expliquerait la présence d'une maîtresse supplémentaire, en formation. Emmanuel aurait alors six ans.




      Sur les photos suivantes, de 1990, Emmanuel aurait douze ans, quand le "trou noir" prend fin. La première des trois photos vient de son baptême, un étonnant baptême tardif, alors que ses parents n'avaient pas voulu l'amener devant un prêtre après sa naissance. Dans quelles circonstances a-t-il été amené à se faire baptiser ? Il n'y a pas de réponse. Les deux clichés suivants sont pris en classe de 5ème au collège "La Providence", sur un trombinoscope et en classe.


      Ainsi, de sa naissance à onze ans, on dispose d'une seule photo à peu près certaine d'Emmanuel, les trois premières étant discutables. Sur aucune d'entre elles il n'est avec ses parents. Et après onze ans, ce sont des photos de classe, donc encore sans ses parents. Les premières photos d'Emmanuel Macron avec ses parents pourraient être les deux montrées en début de cette annexe. Et la première pourrait résulter d'un assemblage...

      Pourtant Emmanuel est censé avoir grandi au milieu d'une famille unie de trois enfants. Il y a là un extraordinaire parallèle avec le manque de photos des trois enfants Auzière. A la fin du XXème siècle, de telles familles sans photos des parents avec leurs jeunes enfants, n'est-ce pas très rare ? A ce niveau, on arrive même à envisager l'éventualité d'un passé commun caché...

      Toutefois, Le livre d'Emmanuel Macron "Révolution", de novembre 2016, apporte quelques détails sur son enfance. Sylvie Bommel remarque qu'Emmanuel "consacre cinq pages à sa grand-mère Manette. Contre à peine une à ses parents. Et deux lignes à son frère Laurent, et à sa soeur Estelle, juste le temps de mentionner qu'ils sont radiologue et néphrologue et qu'il était donc le seul de la famille à ne pas participer aux discussions médicales qui duraient des heures". Donc les parents, frère et soeur seraient transparents, seule compterait la grand-mère maternelle Manette, née Germaine Arribet à Tarbes en 1916, professeur de géographie, directrice de collège. Nous l'avons présentée au Chapitre 17 et dans l'Annexe A 14, intitulée "Manette, une étrange et sombre grand-mère." Installée à Amiens à une rue de chez ses parents, c'est auprès d'elle qu'Emmanuel aurait passé l'essentiel de son enfance. Lors de son mariage avec "Brigitte" en 2007, les parents du marié sont absents, mais sa grand-mère est là (photo ci-contre).

      Emmanuel connaît très peu son frère et sa soeur, apparemment pas du tout son demi-frère Gabriel. "Non, c'est un vague cousin. Tout le monde me casse les pieds avec ce mec !" (article), c'est ainsi que Laurent considérait Emmanuel, avant que leur relation ne s'améliore. Quant à Estelle, elle ignore complètement son frère, et c'est réciproque. Dans le cadre de son enquête "Deux jeunesses françaises", le journaliste Hervé Algalarrondo raconte : "Un élu bigourdan m'a dit sa surprise, lors d'un passage du président à Bagnères. Par amabilité, il lui avait demandé des nouvelles de sa soeur, Estelle, qui vit non loin. Emmanuel Macron s'est tourné vers Brigitte pour savoir quoi répondre". Un tel propos est extraordinaire, et, là encore, on peut se demander si les Auzière, "Brigitte" et ses enfants n'auraient pas un passé commun avec les Macron.


    2. (T) Le mystère de la grande soeur mort-née d'Emmanuel Macron

      Nous reprenons ici de larges extraits de l'Annexe A 21.

      A en croire la "légende" racontée dans les magazines people, Emmanuel Macron aurait eu une grande soeur mort-née. C'est ainsi raconté dans un article de France-Dimanche du 25 février 2017 :

      Emmanuel Macron : Le drame qui a hanté son enfance !

      L’énergique et charismatique candidat à l’élection présidentielle, Emmanuel Macron, cache au plus profond de lui une  tragédie  familiale survenue peu avant sa naissance. [...]

      Quand on lit la biographie du Picard, on découvre qu’il est l’aîné d’une fratrie de trois enfants. Ce qui n’est pas tout à fait exact. En effet, dix mois avant de mettre Emmanuel au monde, Jean-Michel et Françoise ont vécu la plus cruelle des épreuves  : perdre leur bébé. Une petite fille mort-née. Le couple aurait-il pu éviter ce terrible accident ? Il est possible qu’étant tous deux médecins, lui à l’hôpital de la ville et elle à la Sécurité sociale, cette question les ait hantés. Même si deux mois à peine après le drame, Françoise était de nouveau enceinte.

      Est-ce pour implorer la protection divine sur leur garçon à naître qu’ils l’ont appelé Emmanuel, qui signifie "Dieu est avec nous" ? C’est en tout cas un cadeau du ciel qui leur échoit ce 21 décembre 1977, à quatre jours de Noël. Mais si la vie reprend ses droits, la mort rôde toujours. Comme l’écrit Claude Askolovitch dans Vanity Fair : "Françoise porte la blessure. Chaque mois de février, la douleur est lancinante. Retraitée aujourd’hui, elle exhale une souffrance en suspension que je ressens le jour où je la rencontre parce qu’elle veut me parler de son fils". Comment un enfant qui succède à un bébé mort se construit-il ? [...]

      Ci-dessus, la grande soeur serait née 10 mois avant Emmanuel, donc en février 1977.

      Sur la base fraternelle.org de geneanet, évolution de la fiche de la soeur mort-née d'Emmanuel Macron.

      A gauche en 2022, la grande soeur est née le 22 février 1976, à l'hôpital Saint-Antoine de Paris 12ème, acte n°530.

      A droite en 2025, la grande soeur n'a ni date ni lieu de naissance, on sait seulement qu'elle est née avant Emmanuel.

      Nous avons recherché minutieusement dans le fichier français des personnes décédées une trace officielle du décès de l'enfant qui serait mort-né en 1976 (l'acte n° 530 !) ou en 1977, en vain :

      L'introuvable grande soeur mort-née

      Il existe des fichiers des personnes décédées en France, à l'usage du public. Un brigittologue ayant une bonne maîtrise de l'accès à ces données a cherché les enfants morts-né Noguès et Macron (même avec des approximations orthographiques). Il n'a trouvé que deux références : "Macron, Philippe Marc Michel né à Croix le 20/09/1970 et mort le même jour à Lille", "Noguès, Sophie Joëlle Marie née à Rennes le 01/07/1974 et morte le même jour à Rennes". Il a alors étendu sa recherche aux enfants morts avant leurs deux ans. Puis il a eu une attention particulière sur Paris 12ème en 1976 : il a trouvé 4 filles et 14 garçons dont les noms et prénoms ne permettent aucun rapprochement. Enfin, le 22 février 1976, sur toute la France : il n'y a eu que deux bébés (garçons) nés et morts ce jour, l'un dans la Meuse, l'autre à Lyon.

      Il reste un enregistrement sans prénom, même si c'est rare. Il n'y a que 3 enfants mort-né sans prénom morts le jour de leur naissance en France dans les années 70 (qui n'ont rien à voir avec notre affaire). Il y aurait le cas, encore plus rare, d'un enfant mort-né non déclaré ou non reçu et traité par l'INSEE, qui dit qu'il peut y avoir des manques.

      Cet enfant semble donc être fictif, mais pourquoi dire qu'il aurait "hanté son enfance" ? Les témoignages sont contradictoires. Sylvie Bommel dont l'enquête est pourtant fouillée, dans son livre "Il venait d'avoir dix-sept ans", ne dit pas un mot sur le grande soeur mort-née, comme Emmanuel Macron lui-même dans son livre "Révolution", de 2016.




      L'enfant mort-né permet d'accréditer que le couple des parents officiels d'Emmanuel aurait été constitué bien avant sa naissance, ce qui est rassurant pour le public et évite les recherches indiscrètes. Emmanuel a pour second prénom Jean-Michel, qui davantage que le prénom de Jean-Michel Macron, pourrait reprendre le prénom du grand frère de sa mère Françoise, médecin, qui aurait aidé sa soeur en cette période difficile. Manette, la mère de Françoise aurait aussi apporté une assistance précieuse, ce qui explique son attachement à l'enfant. On ne peut même pas écarter que, en bas-âge, Emmanuel Macron se soit d'abord appelé Emmanuel Noguès avant d'être reconnu par Jean-Michel Macron.

      De plus, nous remarquons le manque de précision de la date de mariage des parents Macron, se référant seulement à l'année 1976 : "vers 1976" sur la fiche 2022, sans indication de date sur la fiche 2025.

      Et si ces événements étaient inventés ? Le mariage aurait-il eu lieu en 1977, un peu avant la naissance ? Françoise Noguès a-t-elle pu connaître Jean-Michel Macron alors qu'elle était enceinte d'Emmanuel ? L'enfant mort-né a-t-il pu être inventé pour éloigner ce soupçon ?

      Nous l'avons cru. On sentait la main de Mimi Marchand dans ces manipulations... Donner une très grande précision sur un tel acte de généalogie est très rare et suspect : acte n°530 pour une naissance / décès du 22 février 1976 à 6 h 10, à l'hôpital Saint-Antoine de Paris XIIème. Cela permet d'éloigner les curieux. Mais quand les curieux s'approchent de trop près, hop, tout disparaît... Et la date de mariage qui disparaît elle aussi, alors qu'elle aurait dû être précisée, comme cela se fait habituellement. Oui, tout cela était très suspect.

      Début avril 2025, deux semaines après avoir rendus publics, ci-dessus, nos doutes, nous avons reçu une copie de l'acte n°530 de l'Hôpital Saint-Antoine, daté du 22 février 1976 (donc 22 mois d'écart avec la naissance d'Emmanuel) (et le mariage serait antérieur à cette date) (lien). Il est authentique, selon toutes les apparences. Nous abandonnons donc cette hypothèse.

    3. (T) "Brigitte" et Emmanuel se sont-ils connus avant 1990 ?

      A deux reprises, dans l'annexe précédente, nous avons soupçonné que Jean-Michel Trogneux et Emmanuel Macron ont pu se connaître bien avant la date habituellement avancée de septembre 1992, lors d'un cours de théâtre au lycée "La Providence" à Amiens. Ces deux soupçons étaient certes légers, mais nous en avions auparavant repéré d'autres. Reprenons-les tous, à commencer par les deux que nous venons d'évoquer :
      1. Pour les trois enfants Auzière comme pour Emmanuel, nous ne connaissons aucune photo d'eux enfants avec leurs parents, alors qu'ils sont supposés avoir vécu dans des familles unies et traditionnelles. Serait-ce pour une raison commune ?
      2. "Brigitte" Macron semble mieux connaître qu'Emmanuel la propre soeur de celui-ci, Estelle. Auraient-ils un lointain passé commun ?
      3. Françoise Noguès, la mère d'Emmanuel Macron, était "médecin chef de la Caisse Primaire d'Assurance Maladie" chargée d'accompagner administrativement les personnes changeant de genre. En P.-S. 54, nous écrivions : "On peut se demander si, dans ce cadre-là, elle n'aurait pas rencontré le pasteur Doucé et aussi la "transsexuelle" Brigitte / Jean-Michel, avant même qu'iel ait une liaison avec son fils, le jeune Emmanuel..."
      4. [reprise d'un extrait de notre critique du livre de Xavier Poussard en P.-S. 105b page 130] La mère d'Emmanuel Macron, Françoise Noguès, a exprimé à Gaël Tchakaloff ce propos : "Pour moi, Brigitte n'est pas une belle-fille". Serait-ce plutôt son beau-fils, est-on tenté de s'interroger ? Toutefois, cela s'ajoute à d'autres propos pareillement rapportés et repris au Chapitre 24, point 5 : "Les deux femmes se connaissent depuis toujours. Elles étaient voisines à Amiens". C'est à cette occasion que Françoise Noguès présente Brigitte comme "l’amie comme je n’en ai pas d’autres, on a les mêmes affinités, les mêmes priorités, on se dit tout". En page 321, Xavier Poussard revient sur ce rejet du terme "belle-fille" pour conclure que : "Et si, en abyme, l'atelier théâtre n'avait en fait consisté qu'à mettre en scène la rencontre entre "Brigitte" et Emmanuel Macron devant témoins ?" Nous allons plus loin en estimant que les "amies" "depuis toujours" pourraient s'être connues dès la petite enfance d'Emmanuel, voire avant.
      5. Dans l'encadré du P.-S. 94ae, Candace Owens raconte que Véronique Dreux, ancienne épouse de Jean-Michel Trogneux, a déclaré à Xavier Poussard (anecdote de la page 316 de son livre) : "Je connais le père d'Emmanuel, pas très bien, mais il était chirurgien à l'hôpital d'Amiens, mais je ne connaissais pas Emmanuel Macron, on vivait à Toulon, je ne le connaissais même pas, je l'ai vu la première fois au mariage de ma fille". Nous ajoutions : "En fait, le père d’Emmanuel Macron était neurologue, et non chirurgien, peu importe. Valérie s'est mariée le 21 juin 2008. A cette époque, le père d'Emmanuel était encore fâché avec son fils, puisqu'il n'était pas présent à son mariage en 2007. Véronique Dreux a donc, logiquement, connu le père d'Emmanuel avant que celui-ci ne se brouille avec son fils, en 1993. Or le père d'Emmanuel n'a aucun lien de parenté ni avec elle, ni avec son ancien mari Jean-Michel Trogneux. Là, l'explication est plus difficile à trouver, mais une hypothèse s'ouvre : les parents d'Emmanuel ont pu être présents au mariage de Véronique Dreux en 1980... Donc Jean-Michel Trogneux a pu connaître le petit Emmanuel dans les années 1980."

      On a ici des indices convergents qui peuvent permettre de bâtir des hypothèses. Avant d'en arriver là, nous avons d'autres éléments, peu ordinaires, à présenter.

    4. (T) Les parents d'Emmanuel à l'état civil peuvent-ils ne pas être ses parents biologiques ?

      A l'état civil, le 21 décembre 1977 naît, à Amiens, Emmanuel Macron. Nous avons vu combien ses liens avec ses parents, avec son frère Laurent (de deux ans plus jeune), avec sa soeur Estelle (de sept ans plus jeune) sont faibles, alors que ceux avec sa grand-mère maternelle sont très forts. L'Annexe A 13 apporte d'autres informations familiales :
      • en 1980, Françoise Noguès dédie sa thèse "à Jean Michel, à Emmanuel et à Laurent avec tout mon amour", ce qui, à l'inverse, va dans le sens d'une famille unie.
      • en 1990, au baptême d'Emmanuel, son parrain est Jean-Michel Noguès, oncle maternel. Celui-ci est marié à une institutrice, Lucette Duponchel, qui a eu pour directrice Manette (d'où le mariage avec son fils) et qui enseigna ensuite, de 1973 à 1996, à l'école primaire Delpech d'Amiens, là où Emmanuel a été pris en photo en 1980.
      • du côté Noguès, Emmanuel a aussi une tante, Marie-Christine, mariée Leprêtre, qui, contrairement au parrain, ne semble pas proche de son neveu.
      • "Il apparaît qu'Emmanuel a très peu fréquenté le côté paternel pourtant installé à Amiens et, pas loin, à Coudun.", que ce soient les grands-parents ou la tante Françoise Macron, mariée Bacciochini.

      Il en ressort qu'avec Manette et Jean-Michel Noguès, Emmanuel est beaucoup plus proche de sa famille maternelle que de sa famille paternelle. Ajoutons que, de façon très générale, il est évidemment beaucoup plus facile d'avoir un père biologique non déclaré à l'état civil (que la mère peut même ne pas connaître) qu'avoir une mère biologique non déclarée. Il est même rare qu'on ne connaisse pas, en généalogie, la mère biologique.

      A ce stade, la probabilité que Jean-Michel Macron ne soit pas le père d'Emmanuel apparaît assez forte. Toutefois, quelques considérations vont dans le sens d'une diminution de cette probabilité :
      • une certaine ressemblance physique entre Emmanuel et Laurent (ci-contre),
      • le couple parental était jeune à la naissance d'Emmanuel et, probablement soudé par la naissance de la fille mort-née, un ou deux mois avant la conception d'Emmanuel.

      Cet écart entre deux naissances interpelle, tant il est court : février - 21 décembre, cela ne fait que 10 mois (confirmé par un article de "France-Dimanche"), moins les 9 mois de grossesse, il ne reste qu'un ou deux mois. Un tel écart apparaît rare (articles : 1 2 3, 4), mais Emmanuel a pu être prématuré, ce qui augmenterait cet écart. "Un intervalle court entre les grossesses est associé à un risque significativement plus élevé de transfusion maternelle dans le post-partum immédiat, de prématurité, d'enfant de petit poids de naissance, d'hypotrophie, de réanimation néonatale et d'IMG" (lien). Quand les parents sont médecins, donc instruits des risques, il est légitime de s'interroger : cela n'augmente-t-il pas la probabilité que Françoise Noguès ne soit pas la mère biologique d'Emmanuel ?

      Oui, mais est-ce d'une façon sensible, voire importante ? Donner une réponse apparaît délicat. Mieux connaître l'environnement dans lequel vivait le couple Macron en 1977, pourrait aider...

    5. (T) Comment les Rothschild sont-ils devenus protecteurs d'Emmanuel ?

      Nous allons reprendre quelques extraits du P.-S. 67 et les compléter, afin de rappeler la place très particulière de la famille Rothschild dans le couple Macron.

      "Faits & Documents" a consacré son numéro 492 de décembre 2020 aux rapports entre Macron et la banque qui l'a employé, de 2008 à 2012. Extraits  : "Ses appuis au sommet de la banque, notamment David de Rothschild et son bras droit François Henrot, lui permettaient de court-circuiter sa hiérarchie immédiate. [...] D'un point de vue légal, Emmanuel Macron n'a donc jamais quitté la fonction publique pendant toute la durée de son passage chez Rothschild & Cie entre 2008 et 2012. Il ne fut donc jamais "réintégré" lors de sa nomination auprès de François Hollande à l'Elysée, le 14 mai 2012. "Je n'ai jamais vu ça" a réagi le président de la commission de déontologie de la fonction publique, lorsque "Marianne" (24 octobre 2014) lui a soumis le cas Macron."

      Sans que les Rothschild ne semblent encore pouvoir être soupçonnés, Emmanuel Macron avait, auparavant, bénéficié d'étranges soutiens pour entrer en terminale au prestigieux lycée parisien Henri IV, à l'entrée (2002) et à la sortie (2004) de la fameuse école ENA. Et après, sans jamais avoir été élu à un scrutin local (ce qu'exigeait pourtant François Hollande au début de son mandat), il est devenu ministre de l'économie en 2014. Lors de la campagne électorale de 2016/2017, ses adversaires les plus redoutables ont été éliminés de façon surprenante, notamment François Hollande et François Fillon. De cela non plus, les Rothschild semblent pas pouvoir être soupçonnés. Mais, de l'ENA à l'Elysée, l'enchaînement des heureux concours de circonstances est tel qu'il est difficile de croire que plusieurs sources de soutiens indépendantes les unes des autres aient permis cette ascension. Macron est le roi des pistonnés, et le pistonneur le plus visible et le plus apte à agir ainsi est la famille Rothschild.

      On arrive à la même conclusion quand on prend la question à rebours : à qui a profité le crime ? Oui : qui donc a profité de la présidence Macron, l'homme aux mille milliards de dette ? Réponse : les banquiers, que ce soit directement avec la dette ou indirectement avec les ventes d'armes, etc. Et donc le premier des banquiers, la famille Rothschild. La rentabilité d'un Macron est énorme...

      Parmi les Rothschild, le plus proche des Macron est David de Rothschild. Aussi bien avec Emmanuel qu'avec "Brigitte".


      David avec Emmanuel et "Brigitte"

      Le dernier chapitre, épilogue, du livre "Devenir Brigitte" de Xavier Poussard est titré "Le sang des Rothschild". On y lit ces propos de Gaël Giraud, économiste, docteur en mathématiques et en théologie : "Emmanuel Macron est le porte-flingue de David de Rothschild. Donc d'une certaine manière, la personne Emmanuel Macron sur la quelle on est très focalisé n'est pas très intéressante. C'est un garçon qui exécute un programme qui lui est dicté par d'autres, notamment David de Rothschild". Quand et comment un tel programme a-t-il pu être inculqué ? Quand : probablement avant les 12 ans d'Emmanuel, dans les ténèbres de son enfance. Comment ? Deux hypothèses se dégagent.

      1. Hypothèse 1 : Emmanuel Macron est lui-même un Rothschild. Une ressemblance physique avec certains membres de la famille pousse en ce sens :

        A gauche : Nelly de Rothschild, et ses parents Elie et Liliane, âgés et plus jeunes.
        A droite : Emmanuel Macron tour à tour avec Liliane, Nelly, David de Rothschild jeune et plus âgé.

        De plus, les liens forts du couple Macron avec une photographe de la famille aux propos sulfureux interrogent aussi. Jean-Michel Darrois (encore un Jean-Michel...) et son épouse, la photographe Bettina Rheims, petite-nièce par alliance de Guy de Rothschild, le père de David, sont des "amis intimes du couple Macron" (ci-contre une photo de Bettina avec son père à gauche, avec son mari à droite). Bettina Rheims a rencontré Gabriel Matzneff, écrivain accusé de pédophilie, à 15 ans. Sa soeur Nathalie est célèbre pour avoir déclaré "Vice is nice but incest is best because it stays in the family", en français "Le vice c'est bien mais l'inceste c'est mieux parce que ça reste en famille" (article, vidéo de 1 mn 25).


        David en jaune, Nelly en vert, Bettina en orange

        Nous avons fait apparaître ci-avant les noms de David de Rothschild, Bettina Rheims, Guy et Nelly de Rothschild. L'analyse des arbres généalogiques montre l'éloignement de Guy et Nelly (père et fille) avec David et Bettina (oncle et nièce) : David et Nelly sont des cousins éloignés, le grand-père paternel de leur grand-père-paternel est le même ou, si l'on préfère, leurs pères sont cousins issus de germains. On se trouve donc face à une sorte de contradiction : Nelly, qui ressemble le plus à Emmanuel, est une cousine éloignée de David et Bettina, mais ce sont eux qui sont très proches du couple Macron.

        A supposer qu'il y ait un lien de sang entre les Rothschild et Emmanuel Macron, la très grande proximité et complicité prime assurément sur une ressemblance physique. En conséquence, l'hypothèse Nelly apparaît très peu probable. Seul l'entourage de David doit être pris en compte dans la recherche d'une parenté biologique.



        Outre l'arbre (ci-dessus à droite) du côté maternel Shey et l'arbre paternel étendu aux deux tantes, Jacqueline et Bethsabée, il se dégage de l'arbre paternel de David (ci-dessus au centre) qu'un parent potentiel d'Emmanuel, né en 1977, serait soit David lui-même, né en 1942, soit son demi-frère Edouard, né en 1957, voire un de leur frères ou soeurs non reconnus, s'il y en a.

        Une forte probabilité va donc vers David lui-même, l'oncle de Bettina, celui qui a pistonné Emmanuel à la banque Rothschild, celui qui est très complice avec "Brigitte". Dans cette hypothèse n°1, il y aurait eu infidélité de la mère Françoise Noguès.

      2. Hypothèse 2 : Emmanuel Macron a été programmé par les Rothschild quand il était enfant

        Le 10 février 2025, en P.-S. 94aa3, nous avons emprunté à Alexandra Brazzainville les propos suivants, se basant sur le projet secret MK-Ultra de la CIA, projet également évoqué par Candace Owens dans sa série de vidéos "Becoming Brigitte".

        Emmanuel Macron conditionné par MK-Uktra ?

        Le projet MK-Ultra utilise la dissociation des mécanismes psychologiques, une dissociation qui peut être induite volontairement ou provoquée. Il s'agit, dans le cadre de ce projet MK-Ultra, qu'une personne formée et sous contrôle provoque chez d'autres personnes un certain nombre de réactions. Cela peut être l'obtention de renseignements, cela peut être des aveux, cela peut être le suicide, et donc la disparition de certaines personnes potentiellement dangereuses dans le panorama de la politique internationale. De nombreuses personnes sous emprise et sous contrôle de ce projet MK-Ultra reçoivent des doses massives de LSD afin d'intensifier cette dissociation psychologique et d'effacer toute manifestation d'une certaine objection qui mettrait en cause une réflexion déontologique. [...]
        Le président de la République, Emmanuel Macron, a tous les symptômes d'une personne sous mécanisme MK-Ultra. Il semble en permanence être déconnecté entre ses pensées, sa conception de l'environnement, donc ce regard sur l'environnement où il évolue, la République française, très concrètement la vie du peuple français, et sa perception de l'identité, qui pour lui semble très confuse.
        Emmanuel Macron semble être anesthésié au niveau émotionnel. Par moments, il semble vide d'émotions.
        Je suppose que ce dressage terrifiant a provoqué chez lui l'amnésie, c'est-à-dire un oubli volontaire de toutes les étapes de son passé où le petit Emmanuel, jeune ou enfant, a pu subir des traumatismes intenses.
        Le président de la République est aussi une personne capable, paradoxalement, de passer de réactions totalement intempestives, parfois même excessives, à des moments de fébrilité intense et à des moments où, tel un enfant, il va rechercher le contact physique pour être sécurisé.
        C'est une victime dans les mains de criminels d'Etat, qui se servent de lui à des fins que je ne connais pas.
        Je suis dubitative et inquiète pour ce qui va lui arriver après son départ de l'Elysée. Je suppose qu'il va sombrer dans une implosion psychologique massive.
        Ce qui est sûr, c'est qu'il est sous le contrôle d'une personne que je ne connais pas, à qui il doit systématiquement rendre des comptes, une personne qui vit dans sa propre tête et lui indique ce qu'il doit faire, une personne extrêmement dangereuse. [...]
        Il ne s'agit pas de juger, il s'agit d'exposer, je dirais, de façon factuelle et réaliste, une situation compliquée, mais qui ne sera pas sans conséquence sur la République française, et c'est bien là le problème.

        Ces proposent résonnent avec ceux, cités précédemment, de Gaël Giraud : "C'est un garçon qui exécute un programme qui lui est dicté par d'autres, notamment David de Rothschild". Xavier Poussard va dans le même sens (article).

        Une telle manipulation pourrait rendre accessoire la recherche des parents biologiques d'Emmanuel, qui peuvent être, au fond, ceux de l'état-civil. Elle oriente les recherches vers le contexte des rencontres de Françoise Noguès et Jean-Michel Macron en 1977 et ensuite vers le début d'enfance d'Emmanuel, dans la première moitié de la décennie 1980, quand l'enfant a pu tomber sous une emprise MK-Ultra. Cette emprise a pu prendre une autre forme, plus tardive, notamment quand Emmanuel arrive à Paris en 1994, notamment en cas de liaison sexuelle ou affective forte avec un membre de la famille Rothschild.


    6. (T) Les Macron, Rothschild, Trogneux et Doucé de 1977 à 1990

      Nous avons vu en Annexe S 2 qu'il est probable que Jean-Michel Trogneux, personnage en transition de genre, et Françoise Noguès, médecin chargé de suivre administrativement les changements de genre, se soient connus très tôt, éventuellement avant même la naissance d'Emmanuel en 1977. A cette date, Françoise a 27 ans, Jean-Michel a 32 ans et est interviewé comme la "transsexuelle" Véronique à la télévision (Annexe A 19). Comment un producteur d'émission de télévision peut-il, à cette époque, trouver une "transsexuelle" à interviewer ? En s'adressant à celui qui a pignon sur rue pour soutenir ce genre de pratique, le pasteur Joseph Doucé. Voici comment nous avons présenté ce personnage en notre Chapitre 14.

      Joseph Doucé était un pasteur baptiste belge, excommunié, diplômé en psychologie-sexologie de l'université protestante d'Amsterdam, naturalisé français en 1982. Il a disparu à 45 ans, le 19 juillet 1990. Son corps aurait été retrouvé en forêt de Rambouillet le 24 octobre 1990. Il avait fondé en 1976 le Centre du Christ Libérateur (CCL) à Paris. Selon la profession de foi de ce groupe, il s’agissait d’assurer un espace d'accueil et de parole pour les croyants appartenant aux minorités sexuelles et de genre : homosexuels, transgenres, sado-masochistes et aussi pour d’autres pervers sexuels y compris les pédophiles, groupe criminel en regard du droit. Se déclarant "homosexuel pratiquant [sa sexualité]" autant que pasteur (croyant pratiquant sa foi), il accueillait, en diverses réunions ou dans sa librairie, sous les bons auspices du Christ, des jeunes gens en souffrance rencontrant des difficultés à affirmer et vivre socialement leur sexualité spécifique considérée comme marginale, déviante ou psychopathologique.



      Le pasteur Doucé, sa boutique, sa permanence, ses réunions

      Le provincial Jean-Michel Trogneux, alias Véronique, a donc très certainement connu le pasteur Doucé. Pour Françoise Noguès, c'est moins évident, mais vouloir accompagner ceux qui veulent changer de genre amène logiquement à passer dans les locaux du pasteur. Elle a pu, cependant, avoir cette vocation plus tardivement, après sa thèse de 1980, consacrée à "La maladie coeliaque chez l'enfant" (Annexe A 13), où, sur la dédicace, elle semble très proche de son mari et de ses deux enfants. Il est possible que son amitié avec Jean-Michel Trogneux l'ait guidée vers cette vocation tardive, mais après 1980. De plus, la bonne opinion qu'Alexandra Brazzainville a de Françoise Noguès éloigne l'éventualité qu'elle ait eu une vie dissolue lors de la première année de son mariage.

      Pour cette raison, la probabilité qu'Emmanuel Macron soit fils de Françoise Noguès et Jean-Michel Trogneux apparaît faible. Pareillement, la probabilité qu'Emmanuel Macron soit fils de Françoise Noguès et du pasteur Joseph Doucé semble faible (hypothèse soulevée au Chapitre 24).

      Mais Françoise Noguès pourrait ne pas être la mère, ce qui permettrait plus facilement à Jean-Michel Trogneux, à Joseph Doucé ou à David de Rothschild d'être le père. On serait dans le cas où les amiénois Jean-Michel Trogneux et Françoise Noguès se seraient connus avant 1977, et où Jean-Michel Trogneux aurait entraîné Françoise Noguès vers une aventure moins invraisemblable qu'elle peut paraître de prime abord :

      L'hypothèse d'une adoption clandestine (cas où Françoise Noguès ne serait pas la mère)

      En 1977, Jean-Michel Trogneux fréquente les boîtes de nuit parisiennes, qu'il connaît bien depuis ses années d'étudiant dans la capitale, il fréquente aussi les réunions du pasteur Doucé. Cela l'amène à connaître une jeune femme enceinte qui ne veut pas garder son enfant, mais souhaite, avec le père, qu'il vive et bénéficie d'un soutien matériel.

      A supposer ou pas que Françoise Noguès ait accouché d'une fille mort-née (Annexe T 2), on peut imaginer qu'elle ait eu peur de ne plus avoir d'enfant et qu'elle ait été attentive à une proposition de son ami Jean-Michel Trogneux d'adopter clandestinement le bébé dont nous venons de parler. L'accord de son mari Jean-Michel Macron et le soutien de milieux médicaux amis auraient permis de faire croire à une naissance de sa part.

      Ensuite, le parent biologique Rothschild, s'il y en a un, aurait veillé à l'éducation et à l'ascension sociale de son enfant Emmanuel Macron. S'il n'y a pas de parent Rothschild, David de Rothschild aurait pu, en variante, lui aussi prendre le bébé sous son aile, afin qu'il soit soumis au projet MK-Ultra.

      Un tel scénario a l'avantage d'expliquer le soutien Rothschild, avec un fort consentement des parents "légaux" d'Emmanuel. Il explique aussi la distance entre l'enfant adopté et les enfants biologiques des parents Macron, cette distanciation étant apparue avec la naissance de Laurent et d'Estelle.

      On peut supposer que Manette, la grand-mère adorée, était au courant des circonstances de la naissance d'Emmanuel. Son attitude pourrait être une réaction à la préférence des parents pour Laurent et Estelle. Elle a pu approuver la prise en main par les Rothschild, davantage que sa fille et son gendre. Elle aurait compris que l'éducation d'Emmanuel devait être orientée vers l'avenir prometteur qu'allaient lui procurer les soutiens dont son protégé bénéficiait désormais.

      A ce stade s'ouvre un éventail de possibilités :
      • Le père peut-être David de Rothschild ou le pasteur Doucé ou Jean-Michel Trogneux lui-même, ou quelqu'un d'autre. Eventuellement Jean-Michel Macron, mais alors il est difficile d'expliquer l'influence des Rothschild.
      • La mère peut être une Rothschild ou quelqu'un d'autre.
      • Le père et la mère peuvent avoir anonymement abandonné leur enfant. Les Rothschild seraient alors intervenus pour lui assurer un bel avenir télécommandé, dans le cadre du projet MK-Ultra.

      Suite à ce qui a été étudié précédemment, au cas où un des parents serait un Rothschild, les parents biologiques les plus probables seraient, par ordre décroissant de probabilité :
      • David de Rothschild et une femme qui se serait désintéressée de l'enfant,
      • le pasteur Doucé et une femme Rothschild,
      • Jean-Michel Trogneux et une femme Rothschild.

      On a vu qu'il est difficile de trouver une femme Rothschild qui puisse être la mère, alors que pour le père, c'est facile avec David.

      Pourquoi donner tant d'importance au pasteur Doucé ? A cause de ce que nous avions remarqué au Chapitre 24 :
      • A l'âge de 12 ans environ, donc en 1989 / 1990, Emmanuel Macron s'est fait baptiser et c'est à ce moment-là seulement que des photos de son enfance nous sont parvenues. Avant, c'est l'opacité. Seul un événement important a pu provoquer un tel bouleversement. Or 1990 est l'année de la disparition du pasteur Doucé. Perdre un père religieux peut provoquer un élan religieux, même si l'un est protestant (le pasteur), l'autre catholique (l'enfant, dans un collège catholique).
      • Ajoutons que dans les années 1980, être fils de Joseph Doucé, personnage connu, ne devait pas être facile. Outre une mère peu présente, occupée par son foyer officiel, Emmanuel n'avait vraiment pas une famille traditionnelle, d'où l'obscurité qui enveloppe son enfance. D'ailleurs, celle-ci s'est-elle passée à Amiens ?
      • On remarque également qu'Emmanuel est né en 1977, un an seulement après la création du CCL quand le pasteur s'est fixé à Paris. De plus, Emmanuel est un prénom qui signifie "Dieu est parmi nous", prénom messianique qu'un religieux pourrait donner. Avec ce prénom et une telle enfance, il ne serait pas étonnant qu'il ait voulu forcer le destin...


    7. (T) Comparaisons photographiques

      On brandit trop souvent des comparaisons de photos en disant "Voyez comme ils se ressemblent, ils ne peuvent qu'être frères". C'est particulièrement vrai pour Emmanuel Macron et Jean-Jacques Trogneux. Or quand on y regarde de plus près...


      Jean-Jacques Trogneux (fils de Jean-Michel) et Emmanuel Macron. A gauche, comparaison Betaface (68 %).
      Au centre et à droite, comparaisons Face++, probabilité basse.


      Effectuée en Annexe A 15, comparaison Betaface de Jean-Michel Macron avec ses deux enfants Laurent et Emmanuel
      (64, 62, 61 %) puis de Laurent avec Emmanuel (74, 73 %)


      Jean-Michel Macron, Laurent Macron, Emmanuel Macron (64, 62, 61 %)- Laurent et Emmanuel Macron (74, 73 %)


      Emmanuel Macron et Joseph Doucé (69, 67, 65 %)


      David de Rothschild et Emmanuel Macron (normale, basse) - Emmanuel Macron et Nelly de Rothschild (62%)

      Nous avons présenté ces comparatifs par volonté de ne pas les cacher, pour montrer qu'on ne peut rien en déduire et qu'il convient de conclure sans les prendre en compte.


    8. (T) En conclusion, un éventail d'hypothèses

      Nous regroupons ici les hypothèses émises dans les annexes précédentes en les rangeant de la même façon qu'en 2022 au Chapitre 33, selon le barème suivant : 0 - rejeté, 1 - peu probable mais plausible, 2 - peut-être, 3 - assez probable, 4 - probable, 5 - presque sûr (intime conviction), 6 - certain. A cela, nous ajoutons les caractéristiques suivantes par ordre de probabilité décroissante :
      • ** : cas où Françoise Noguès est mère et où le père n'est pas Jean-Michel Macron.
      • + MK-UltraX : cas où le jeune enfant Emmanuel Macron est soumis à un conditionnement par les Rothschild (directement ou indirectement), par le projet MK-Ultra, ou par X, c'est-à-dire un endoctrinement similaire (notamment avec une liaison sexuelle). Ce sont les cas où il n'y a pas de parent biologique Rothschild. De la sorte, l'empreinte Rothschild est présente sur tous les scénarios.
      • * : cas d'une adoption clandestine exposée dans l'encadré de l'Annexe T 5. Ce sont les cas où Françoise Noguès n'est pas la mère biologique.

      NiveauHypothèse des parents biologiques d'Emmanuel MacronRéférence
      4 - Probable TFJ. Jean-Michel Macron et Françoise Noguès + MK-UltraX Annexe T 6
      3 - Assez probable TRF. David de Rothschild et Françoise Noguès ** Annexe T 5
      2 - Peut-être TDF. Joseph Doucé et Françoise Noguès ** + MK-UltraX Annexe T 6
      TTF. Jean-Michel Trogneux et Françoise Noguès ** + MK-UltraX Annexe T 2
      TXR. La mère est une Rothschild * Annexe T 5
      1 - Peu probable
      mais plausible
      TXF. un autre homme que JMM, DR, JD, JMT et Françoise Noguès ** + MK-UltraX Annexe T 6
      TJY. Jean-Michel Macron et une autre femme que Françoise Noguès * + MK-UltraX Annexe T 6
      TDY. Joseph Doucé et une autre femme que Françoise Noguès * + MK-UltraX Annexe T 6
      TTY. Jean-Michel Trogneux et une autre femme que Françoise Noguès * + MK-UltraX Annexe T 2
      TXY. un autre homme que JMM, DR, JD, JMT et une autre femme que Françoise Noguès * + MK-UltraX Annexe T 6

      En comparant avec le tableau 2022 du Chapitre 33, on retrouve trois lignes presque semblables, ayant cette évolution :
      • TDF = AJ Joseph Doucé est le père biologique d'Emmanuel Macron. Reste à 2.
      • TFJ = AN Jean-Michel Macron est le père biologique d'Emmanuel Macron. Passage de 2 à 4.
      • TTF = AQ Emmanuel Macron et Jean-Jacques Trogneux ont le même père Jean-Michel / Brigitte Trogneux. Passage de 1 à 2.
        (cela signifie qu'Emmanuel Macron aurait épousé son père biologique... "Incest is best", comme dit Nathalie Rheims...)

      Ainsi, de 2022 à 2025, pour la désignation des parents biologiques d'Emmanuel Macron, notre nombre d'hypothèses est passé de trois à douze, dont une estimées "probable" et une autre "assez probable". Nous avançons lentement, tant l'enfance d'Emmanuel Macron est camouflée. Comment les Français ont-ils pu accorder leur confiance à un personnage aussi obscur ?



    9. (T) Compléments

      Nous ajoutons ici quelques informations complémentaires postérieures à la première parution du 24 mars 2024.

      1. Le 26 mars 2025. L'Intelligence artificielle Grok a été interrogée sur les trous noirs et gris dans la bibliographie d'Emmanuel Macron. En consultant les archives Internet, voici sa réponse sur les années 2004-2008 :
        • Observation : Après sa sortie de l’ENA en 2004, où il intègre l’Inspection des finances, et avant son arrivée chez Rothschild en 2008, peu d’articles détaillent ses activités. Cette période de quatre ans reste floue, malgré son statut de haut fonctionnaire.
        • Contexte : Les énarques prometteurs attirent parfois l’attention des médias spécialisés ou économiques, mais Macron passe sous les radars jusqu’à son entrée dans le privé. Interprétation : Cela pourrait refléter une carrière discrète dans la fonction publique, mais aussi une absence de mise en lumière volontaire ou un effacement rétrospectif de cette période.



      2. Le 28 mars 2025. La photo de classe 1983/1984 d'Emmanuel Macron de l'Annexe T 1 est présente sur Internet depuis 2017, sur une page linkedin de Carole Muir. Il ressort des commentaires (1 2) que Carole Muir et Emmanuel Macron (qui se sont à nouveau rencontrés en 2016 ou 2018, page linkedin) ont été dans la même classe durant toute leur scolarité primaire, du CP au CM2, que Carole Muir a d'autres photos de classe et qu'elle ne les a pas montrées, probablement sur demande de l'Elysée. Pourquoi ? Contrairement au père d'Emmanuel Macron qui indique que cette classe se trouvait dans l'école Delpech d'Amiens, Carole Muir, bizarrement, ne désigne pas l'école.
        Or en recherchant sur le site des "Copains d'avant" (lien), nous trouvons, dans les années 1980, des photos de classes de l'école Delpech prises à l'extérieur, mais jamais avec le même décor que sur cette photo. De plus, logiquement, même s'il peut y avoir plusieurs classes de même niveau, Carole et Emmanuel devraient être au moins sur une de ces photos de classe de l'école Delpech : en CE2 1985, CM1 1986, CM2 1987, ou celle-ci sans niveau, en 1986. Or on n'y reconnaît pas Emmanuel.
        Dans un premier temps, nous avons cru qu'Emmanuel Macron aurait pu ne pas aller à l'école primaire située près de chez lui. Nous avons demandé à nos lecteurs de nous contacter si l'un d'entre eux reconnaissait ce décor de cour d'école, avec en arrière-plan un mur en parpaings et des arbres.
        Deux jours plus tard, le 30 mars, nous avons reçu une réponse : oui, et cette cour est bien dans l'école Delpech, comme le montre une photo de CM2 datant de 1983/1984 (lien). Notre recherche était donc incomplète. De plus, il y a un autre exemple de classe de l'école Delpech avec deux maîtresses (photo de CP 1986-1987).
        Le parcours scolaire d'Emmanuel Macron repasse donc en vert : c'est un parcours auprès des écoles correspondant à son domicile, l'école Delpech puis le collège-lycée La Providence. Le trou noir de son enfance serait-il moins noir que nous le croyons ?



      Contact mail : voir la fin d'introduction du dossier 2022