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Vous pouvez télécharger le dossier 2022 au format pdf (inclus Post-Scriptum jusqu'au 23 avril 2024) (21 Mo, 250 pages)
De Jean-Michel à Brigitte Trogneux,
mensonges à l'Elysée
Les Post-Scriptum 2023 et 2024
au dossier Pressibus 2022


Post-Scriptum


  1. Le 16 février 2023. Suite à la plainte présentée en Annexe D 18, le Tribunal de Lisieux a déclaré coupables, ce 14 février, Natacha Rey et Amandine Roy de diffamation à l’encontre du couple Jean-Louis Auzière et Catherine Audoy (article, photo ci-dessous). Il apparaît que Catherine Auzière aurait prouvé qu'elle ne pouvait pas être la mère des trois enfants Auzière, comme nous le pensons dans le présent dossier (Chapitre 27), depuis avril 2022. Bien sûr, des médias pratiquent l'amalgame pour prétendre ou suggérer que tout ce qui se dit d'autre sur la transsexualité de Brigitte Macron est faux et pour la considérer comme une victime (exemple).



  2. Le 22 février 2023. Nous apprenons qu Brigitte Trogneux aurait eu son baccalauréat en 1972, à Amiens, en série A, mention Assez Bien (article du Courrier Picard du 30 juin 1972). Il convient alors de corriger légèrement le scénario ici présenté en estimant que ce serait en 1971, plutôt qu'en 1972 (ce qui reste possible), que Jean-Michel Trogneux et sa future fiancée Brigitte Auzière seraient arrivés à Amiens (Brigitte pouvant donc y être un an avant sa soeur Laure). Dès 1971, Brigitte née Auzière aurait pris l'identité de Brigitte née Trogneux. Ensuite, 1972 serait l'année du Bac, 1973 celle des fiançailles, 1974 celle du mariage. Pour autant, on ne peut pas écarter l'hypothèse où Brigitte née Trogneux serait vivante en 1972, ni celle où elle aurait été remplacée plusieurs années auparavant, avec dans tous les cas sa substitution par son frère Jean-Michel en 1985.



  3. Le 25 février 2023. Nous apprenons que Brigitte Trogneux aurait eu son brevet des collèges (BEPC) en 1969, d'après un bulletin du collège Sacré-Coeur-Sainte-Clotilde d'Amiens. Comme écrit ci-dessus il y a trois jours, il reste deux alternatives : 1) "Brigitte née Trogneux serait vivante en 1972" (et auparavant au collège), 2) "elle aurait été remplacée plusieurs années auparavant". Sans écarter la première hypothèse, nous optons pour la deuxième, car nous nous rendons compte que, en définitive, elle renforce le scénario que nous avons présenté. Voici donc un correctif  :
    Correctif n°1 à notre dossier 2022, sur la période 1961-1974 (et aussi avant...)
    A plusieurs reprises dans ce dossier, notamment en Annexe A 31, nous avons insisté sur l'importance de Louis Auzière, grand frère de Jean-Louis et père de Brigitte, "agent spécial" de la France. En Annexe A 28, nous avons posé la question : "Jean Trogneux [père de Jean-Michel et Brigitte] a-t-il connu Louis Auzière ?". Bien que nous n'ayons pas trouvé d'indice factuel nous permettant de l'affirmer, nous pensons que oui, ils se sont vraiment bien connus. Jean est né en 1909, Louis est né en 1917. Ils n'ont sûrement pas fait leur service militaire ensemble, mais ils ont pu se connaître lors des remous de la seconde guerre mondiale. Ils ont pu aussi avoir un ami commun ou avoir une autre occasion de se rencontrer.
    Arrive l'année 1961 (environ). Brigitte née Trogneux décède dans des circonstances qui nous sont inconnues et ses parents ne l'acceptent pas, allant jusqu'à ne pas déclarer son décès. C'est là que Jean Trogneux fait appel à son ami l'agent secret Louis Auzière afin qu'il trouve une solution. Nous ignorons les termes de cet accord, mais nous en connaissons les conséquences : Brigitte, la fille de Louis, devient à Amiens Brigitte Trogneux, défunte fille de Jean (peut-être à l'occasion d'un changement d'école, éventuellement après une ou plusieurs années d'absence) et Jean-Michel, fils de Jean, se retrouve à Alger (au moins en 1963, cf. Annexe A 22) en une époque très troublée, probablement pour s'occuper à des tâches de renseignement que lui assigne Louis Auzière.
    La suite, on la connaît, Jean-Michel rentre à Amiens au plus tard en 1973. C'est alors que naît l'idylle entre Jean-Michel et Brigitte, au point qu'ils veulent se marier. Mais, là, catastrophe, c'est impossible puisque Brigitte Auzière est devenue Brigitte Trogneux, la soeur de Jean-Michel. Comment résoudre cela ? Les manigances des anciens ne doivent pas empêcher l'amour des tourtereaux... Jean et Louis cogitent... Avec l'aide de Jean-Louis, le petit-frère de Louis, avec celle de Léonce Deprez, grand ami de Jean (Annexe A 50), et avec celle de Pierre Herreman, l'aumônier de La Providence (Annexe A 48), ils trouvent la solution du mariage truqué de 1974.

    Ainsi, nous en arrivons à expliquer la venue de Jean-Michel à Alger et la raison du mariage falsifié de 1974, avec un fort appui des deux familles Trogneux et Auzière.
    Jusqu'à présent, nous pensions que ce mariage de 1974 avait été créé pour permettre à Brigitte Auzière de remplacer Brigitte Trogneux, nous nous rendons compte que ce remplacement est antérieur et que le mariage a été réalisé pour permettre à Jean-Michel, sous l'identité administrative fictive d'André Auzière et sous l'identité physique ponctuelle de Jean-Louis Auzière, d'épouser sa soeur Brigitte Trogneux, défunte mais administrativement vivante, en fait remplacée par Brigitte Auzière. A ce stade, ce n'est pas encore la connivence entre Jean-Michel et Jean Louis qui est à l'oeuvre (elle le sera en 1985), c'est celle de Jean et Louis. Une participation de Marius Auzière, père de Louis et Jean-Louis, "officier du chiffre", est envisageable.
    Certes il nous manque des faits pour étayer ce scénario (surtout aux alentours de 1961), mais il permet d'emboîter et de réunir les éléments du vaste puzzle qui s'est construit en plus d'un demi-siècle.
    Désormais, il devient primordial de trouver une photo de classe de Brigitte Trogneux au collège ou au lycée (connaissez-vous quelqu'un ayant été dans la classe du brevet ou du bac de Brigitte ? Rappel des listes : 1 2). Si elle est de bonne qualité, elle pourrait permettre de trancher entre les deux hypothèses : cette collégienne ou lycéenne ressemblera-t-elle à Brigitte née Trogneux de 1954/1955 (sur la photo de famille) ou à la mariée de 1974, que nous croyons être Brigitte née Auzière ?
    La comparaison Betaface ci-jointe entre la mariée de 1974 et Laurence Auzière en 1991/1992 classe de 3ème (Annexe A 10) montre une forte ressemblance, à 83%, et semble appuyer le fait que Laurence serait fille de Brigitte née Auzière.



  4. Le 9 mars 2023. Comme prévu (Annexe D7), la plainte-esbroufe déposée par Jean-Michel Trogneux / Brigitte Macron et ses trois enfants a tourné court. L'information est reprise à l'unisson par de nombreux médias (exemple Closer, titre ci-dessous) : "Le tribunal de Paris a déclaré nulle l'assignation pour atteinte au respect de la vie privée et au droit à l'image, estimant que les faits qu'ils dénonçait auraient dû être qualifiés de diffamation publique". Les articles concluent tous ainsi : "Brigitte Macron a intenté une action distincte, au pénal, avec une plainte avec constitution de partie civile pour diffamation publique. Cette dernière, dont la procédure est toujours en cours, a été déposée le 31 janvier 2022". On ne sait rien d'autre sur cette procédure fantôme. Habituellement, les plaintes en diffamation sont rapidement jugées, là ça s'éternise, il n'y aurait même pas de mise en examen... Pourquoi est-ce si difficile à traiter ?



  5. Le 11 mars 2023. On en apprend davantage avec un article du blog de Dominique Droin. A propos de la plainte en diffamation : "Natacha et Amandine ont été mises en examen à ce sujet le 24 décembre 2022, mais n’ont toujours pas été convoquées par le juge. Si l’affaire devait s’enliser et en rester là, comme on peut le craindre, on serait alors privé d’un déballage qui pourrait s’avérer passionnant". Et aussi : "Dans la troisième affaire, celle concernant la diffamation des époux Auzière du Calvados, Natacha et Amandine ont été condamnées le 14 février dernier… sans avoir pu se défendre. Leurs avocats vont tenter de faire annuler cette ordonnance pour vice de forme et, en attendant la réponse, ont déposé un appel qui sera jugé au tribunal de Caen le 10 mai prochain".



  6. Le 16 mars 2023. Hier, Maud Marian, avocate de Natacha Rey et Amandine Roy, s'est entretenue avec Eric Verhaeghe dans un entretien vidéo de 49 mn dont la deuxième moitié (à partir de 19 mn 40) est consacrée au brigittegate. Propos tenus à 37 mn 40 sur la plainte en diffamation : "C'est une plainte, à Paris, devant le juge d'instruction, pas en citation directe, donc c'est une procédure beaucoup plus longue, compliquée, lourde ; pour deux raisons, Brigitte Macron et son frère Jean-Michel sont les demandeurs, il n'y a plus les enfants. Les faits reprochés à Natacha et Amandine, c'est d'avoir dit qu'il y avait eu des actes de pédophilie qui avait été commis, puisque Emmanuel était mineur, et d'avoir dit, dans ces quatre heures d'entretien, que des actes d'état civil, ceux de madame Macron, de son frère Jean-Michel et, du coup, tous les actes de divorce, de mariage avaient été falsifiés". L'avocate estime que le sujet de fond, à savoir que Brigitte Macron serait née homme, n'est pas traité. En ce jour de révolte populaire, où, après avoir dilapidé l'argent public avec son "Quoiqu'il en coûte" en faveur de Big Pharma, l'irresponsable Macron passe en force pour imposer la retraite à 64 ans, les médias dits d'opposition vont-ils enfin frapper son talon d'Achille, qui s'appelle Jean-Michel Trogneux (Annexe D26) ?



  7. Le 2 avril 2023. Le 25 novembre dernier nous signalions, en Annexe D 27, la démission du directeur de cabinet de Brigitte Macron. Ce poste est devenu à très haut risque puisque le nouveau directeur, Jean Spiri, est déjà hors-circuit, victime d'une sorte de burn-out, se plaignant que "l’Elysée est une maison terrible où hélas courent toutes les rumeurs..." et cherchant un autre travail. La presse nationale et régionale s'en fait l'écho (exemple). D'après Eric Verhaeghe (article), "l’affaire fait les choux gras du Tout Paris". Parallèlement, l'agenda de Brigitte Macron, sur cette page du site de l'Elysée (déjà signalée en Annexe A 6), semble être vidée de toute substance depuis le 1er février dernier (19 avril : c'est reparti sur mars, au ralenti)...



  8. Le 7 avril 2023. L'Elysée est devenu le bunker de Brigitte Macron. "La première dame a décidé de ne plus quitter l'Elysée" explique un article du magazine Closer. Certes, en France, la révolte contre la loi sur les retraites bat son plein, mais Jean-Bri-Bri n'accompagne même pas Emmanuel pour sa visite officielle en Chine. Il est vrai que le 8 mars 2022, le journal télévisé chinois montrait les explications de 'Faits & Documents" sur la transformation de Jean-Michel en Brigitte (Annexe D 13). En France, on est loin d'avoir, sur ce type d'information, une telle ouverture d'esprit. Les opposants à Macron refusent toujours de s'en prendre à son talon d'Achille (Annexe D 26). Sur son blog, Lionel Labosse montre à quel point les médias d'opposition, même antivax, restent contrôlés (article). Pourtant, comme indiqué sur un tweet, parmi d'autres, il se peut que "Seule l'affaire Jean-Michel fera tomber la macronie".



  9. Le 16 mai 2023. La Macronie est en souffrance. Le 12 mai, elle a été contrainte d'enfin réintégrer les soignants suspendus, parce que tous les autres pays l'avaient fait (article). Alors que sa Majesté abuse de son droit d'accaparer les médias et pulvérise le record d'interdictions de manifester, les casserolades ne cessent de perturber son action. La dernière, d'hier soir, a même été accompagnée de l'agression physique imbécile de Jean-Baptiste Trogneux, le chocolatier, petit-neveu de Brigitte Macron (articles : 1 2 3). Ne vaut-il pas mieux s'enquérir avec compassion de ce que devient Jean-Michel Trogneux, son grand-tonton étrangement disparu, que sa famille ne cherche pas à retrouver ? (avis de recherche : 1 2) Et aussi demander ce que ce fantomatique Jean-Michel est allé faire en Algérie en 1962 ? Lionel Labosse a justement enquêté à Alger, et publie un article où il ne peut que soulever trois hypothèses. La première est la nôtre : formation d’un jeune agent de renseignement, non pas par la CIA mais par les services secrets français mobilisés par un de ses tous puissants chefs en Algérie, Georges Costes (liens : 1 2 3), beau-frère de Louis Auzière, témoin du mariage de 1974 (Annexe A 48).
    Georges Costes, en tant que témoin du mariage de 1974, était très proche des Auzière, de Louis et de Marius, travaillant pour les services secrets... Il n'est probablement pas étranger au séjour de Jean-Michel Trogneux à Alger en 1963.

    Ci-dessus, article de "L'écho d'Alger" du 28 mai 1852.
    P.R.G. = Police des Renseignements Généraux

    Ci-contre extrait du livre de Yves Courrière "Les fils de la Toussaint".



  10. Le 1er juin 2023. Lors d'un extrait d'entretien, signalé sur la page "Casserolades & Brigolades" de Lionel Labosse, Xavier Poussard fait le point sur l'affaire durant 27 mn. Alors que la plainte Trogneux en diffamation est en dormance, le jugement en appel de la plainte Auzière en diffamation sera rendu le 28 juin. Dans les pièces fournies par les plaignants figureraient des témoignages selon lesquels Catherine Audoy n'était pas enceinte un peu avant la naissance de Tiphaine et - à peine croyable - une étrange photo d'un chauve en maillot de bain censé illustrer un avis de décès d'André Louis Auzière ! Il est aussi confirmé que, malgré le mutisme médiatique généralisé, de plus en plus de personnes comprennent ce qui se passe. La présente page, créée en janvier 2022, vient d'ailleurs de dépasser le million de visites...



  11. Le 1er juillet 2023. Natacha Rey et Amandine Roy, pour leurs propos envers le couple Auzière, avaient été condamnées en première instance, le 14 février dernier, à 2.000 euros d'amende par le tribunal judiciaire de Lisieux, dans le Calvados. La cour d'appel de Caen a décidé une peine inférieure : Natacha a été condamnée à 1.000 euros d'amende et Amandine à 2.000 euros dont 1.600 euros avec sursis. Cela ressemble à une farce quand on compare la légèreté des peines et les grandiloquentes accusations imaginaires des grands médias, ignorant parfois le nom des Auzière et reprenant le refrain de transphobie, complotisme, extrême-droitisme (exemple). On aimerait connaître les attendus du jugement... Après les gilets jaunes, les antivax, les anti loi-retraites, les anti bassines et Lyon-Turin, les banlieues se révoltent : virer Macron tous ensemble ne devrait-il pas être la priorité ?


Le 5 juillet 2023. Un nouveau dossier Pressibus : Derrière la légende de Jeanne d'Arc (avec son pdf, 112 pages, 46 Mo). Les Natacha Rey et Xavier Poussard de l'époque le savaient, les réseaux sociaux répandaient l'info : la Pucelle n'est pas née à Domrémy et elle n'est pas morte sur le bûcher à Rouen en 1431. Le Macron de l'époque, Charles VII, avait imposé aux médias serviles la légende officielle. Mais les faits, camouflés, sont restés là, têtus. De nos jours, la légende commence à régresser, Jeanne n'est plus une bergère qui gardait les moutons, avec Dieu en ligne directe. Qui peut croire qu'à coups de baguette magique, une campagnarde de 17 ans parlait le langage de la Cour et se transformait en brillant chef de guerre ? La réalité était tout autre. De même que pour comprendre le mystère Brigitte Macron, il faut deviner qu'elle est née en tant que Jean-Michel Trogneux, de même pour la Pucelle, il faut deviner qu'elle est soeur ou demi-soeur du roi. Alors oui, tout s'éclaircit... Et on se rend compte que, si elle n'est plus une exaltée guidée par ses hallucinations, Jeanne d'Arc devient une femme ordinaire au tempérament extraordinaire !

Autres dossiers : Derrière la légende de Victorina (souveraine des Gaules) (une légende niée par les historiens, mais qui était véridique), Derrière la légende de Martin de Tours, Derrière la légende d'Héloïse (et Abélard) (deux légendes à nuancer), et bien sûr, Derrière la légende du Covid-19, autant bidonnée que celle de Brigitte Macron... Avec une nouvelle page d'Accueil.
Cocasse : article "Brigitte Macron : « J’ai épousé Jeanne d’Arc »".
L'énormité des mensonges autour de Jeanne d'Arc et du couple Macron est effectivement comparable...




  1. Le 18 juillet 2023. Voici des nouvelles de Jean-Michel Trogneux. Commençons par cette comparaison d'yeux : elle montre qu'il avait un oeil un peu plus ouvert que l'autre, caractéristique que l'on retrouve chez Brigitte Macron, un indice parmi tant d'autres...
    Jean-Michel est malade, il a produit un certificat médical pour ne pas se présenter au Tribunal d'appel de Caen. Brigitte Macron était aussi convoquée, mais son agenda était trop chargé... Quand donc les verra-t-on tous les deux ensemble ? La Justice ne s'en préoccupe pas... Sur le fond, elle estime qu'il est "tout à fait admissible d'étudier et commenter ou critiquer dans les détails la biographie d'une personnalité publique", si bien qu'il n'est "pas reproché à Mme Rey sa volonté d'enquêter". Si quelques points reprochés à Natacha Rey et Amandine Roy peuvent apparaître justifiés, deux d'entre eux ne le sont assurément pas. 1) la thèse soutenue par Mme Rey serait "irréaliste", son enquête ne serait ni fiable ni documentée, ses "raisonnements incompréhensibles" avec cette perle : Jean-Michel Trogneux serait "devenu une femme nommée Brigitte Macron, alors même que Mme Rey a fait citer cet homme (qui est bien vivant) et Mme Brigitte Trogneux épouse Macron". On a là un tribunal qui a refusé de comprendre ce que nous sommes des millions à avoir compris. Il avait pourtant la possibilité de confronter Jean-Michel et Brigitte, voire d'exiger une analyse ADN. Et cela aurait mis fin à toute cette affaire, dans un sens ou dans l'autre. On devine la raison de ce refus... 2) Natacha Rey "ne peut soutenir avoir agi de bonne foi" suite à "l'émotion provoquée chez elle" par "son placement en garde à vue, ce qui est de nature à faire naître une certaine animosité envers les époux Audoy-Auzière". C'est là un comble : subir une injustice (ici une garde à vue arbitraire) provoquerait la mauvaise foi !! Merci Natacha et Amandine d'avoir défendu vos idées ; votre défaite est, en réalité, une victoire, car vous avez démontré qu'il n'est pas possible de prouver que Brigitte Macron est biologiquement une femme. Sur ce point primordial, vos accusations ont été légitimées par l'attitude de la Justice. Cette affaire va donc continuer à gonfler et votre rôle de lanceuses d'alerte sera reconnu. Mais force est de constater, une fois de plus, que nous sommes dans un pays où Justice et médias ne sont pas des contre-pouvoirs, permettant une telle tromperie au plus haut sommet de l'Etat.



  2. Le 28 juillet 2023. La moitié du dernier numéro, 520, de "Faits & Documents" est consacrée au premier volet d'un dossier titré "Jeunesse, éducation et sexualité en Macronie", sujet brièvement abordé ici en fin d'Annexe A 17. En son introduction, Xavier Poussard cite des propos récents d'Olivier Todd (article de "Marianne") qui résonnent avec ceux du psychiatre Adriano Segatori (Chapitre 19) : "Le rapport d'Emmanuel Macron aux Français fait penser à celui d'un enfant excité qui teste les limites avec un adulte et attend de celui-ci qu’il l'arrête". Bien sûr, ce n'est pas un sujet qu'aborde Wikipédia. Mais, après un long silence, l'encyclopédie collaborative de la bien-pensance numérique (qui, nonobstant, a de grandes qualités) a ajouté sur sa page Brigitte Macron un paragraphe "Affaire Jean-Michel Trogneux". Il y aurait une "rumeur", seulement sur Twitter... Deux femmes auraient été condamnées suite à une plainte de Brigitte Macron, alors qu'elle vient du couple Auzière. Donc deux grosses erreurs, orientées, mais on a échappé à la transphobie...



  3. Le 16 août 2023. En cette page, Lionel Labosse fait "Le point sur le Brigittegate". Il y présente trois extraits (1 2 3) de deux longs entretiens du 12 août avec Natacha Rey et son avocat Me François Danglehant (entretiens censurés par Youtube et les plateformes officielles). Le 1er extrait présente l'étonnante preuve de décès (ci-dessous) d'André Louis Auzière (déjà évoquée ici le 1er juin dernier). Le 2ème traite du refus de la Justice de traiter le fond du dossier. Dans le 3ème extrait, Natacha Rey interroge sur les liens potentiels entre Jean-Michel-Brigitte Trogneux et le pasteur Doucé ("Un travesti du nom de Trogneux, se prostituant, fréquentait l'officine du pasteur Doucé"). Elle révèle aussi qu'elle a demandé une analyse ADN de Brigitte et de Jean-Michel Trogneux. La Justice n'a apporté aucune réponse.

    L'étonnant document accepté par la Justice.
    Les deux photos censées représenter André Auzière ont une ressemblance Betaface de 75%.



  4. Le 20 août 2023. Natacha Rey a accompagné l'un de ses entretiens du 12 août par ce document pdf de 114 pages illustrées (25 Mo), dédié à André Louis Auzière. Les anomalies des annonces de mariage et de décès y sont détaillées. Un témoignage en deux pages (1 2) est ajouté : Carine, ex-employée du Crédit du Nord, affirme (en un document CERFA, solennel), qu'à sa connaissance aucun André Louis Auzière n'aurait travaillé dans un des établissements de cette banque. De plus, à sa connaissance, le Crédit du Nord n'aurait eu une agence à Strasbourg qu'en 1991, alors que André Louis est censé y avoir travaillé depuis 1985.

    Extrait du document de Natacha Rey, montrant que le mariage Auzière de 1974 n'est pas présenté comme les autres mariages.



  5. Le 29 août 2023 (complément au P.-S. précédent). D'après les annuaires téléphoniques, le Crédit du Nord avait une agence à Strasbourg, de 1979 (vue) à 1990 (au moins).



  6. Le 14 septembre 2023. Des trois plaintes déposées à l'encontre de Natacha Rey et Amandine Roy, une seule n'a pas été traitée, celle en diffamation intentée par Brigitte Macron. On apprend par un tweet (vidéo) de Mike Borowski reprenant des propos de Me Danglehant, avocat de Natacha, que la diffamation est "ordinaire" portant sur sept propos, mais que ce n'est pas une diffamation portant sur le genre de Brigitte Macron. Ainsi, outre de molles dénégations non argumentées (la dernière du 22 juin dernier, de Closer,titre ci-dessous), la "première dame" admet implicitement, indirectement, qu'elle est née avec un genre masculin. Les médias et les politiques de tous bords s'obstinent à cacher ce mensonge d'Etat de portée internationale, refusant même toute interrogation publique. Ce sont les mêmes qui se prétendent ardents défenseurs de la Vérité... et qui se plaignent du manque de confiance à leur égard.
    Ce qui est considéré comme une "rumeur" n'a pas faibli depuis décembre 2021. Aisni en, en 2023, les Une à gauche de fin janvier, à droite de début sept. et le titre ci-dessous de mi septembre.
    Victimisation théâtrale... Quand il est si facile de montrer que l'on est une femme... Ou publier sa photo avant ou après la naissance d'un enfant... Ou prouver que son introuvable frère Jean-Michel est vivant... Une rumeur ne peut pas s'éteindre quand elle est l'écho d'une réalité. Avec le soutien des journalistes passant outre leur premier devoir de respecter la vérité (Charte de Munich), il est seulement possible de retarder le moment de la révélation à tous.
    La population, pour une part de plus en plus large, depuis maintenant presque deux ans, approche la vérité et juge sévèrement les aveugles, sourds et muets défenseurs de mensonges...



  7. Le 3 octobre 2023. En Macronie, les obsédés de la vaxxination continuent leurs harcèlements en tous sens. La piquouze anti-covid reprend, certes à moindre échelle qu'auparavant, mais avec autant de risques niés par l'Etat (cf. sa FAQ). La pharmacovigilance est ignorée (lien), la surmortalité est interdite d'étude (sauf en Grande-Bretagne où elle s'avère plus forte chez les personnes injectées, cf. vidéo de Pierre Chaillot, qui interroge aussi sur la baisse des naissances, lien). Des résistants sont pourchassés, que ce soit par le Conseil de l'Ordre (Louis Fouché récemment ciblé, lien) ou par la Justice qui monte en épingle des dérapages sans commune mesure avec la mise en danger impunie de millions de personnes (article). Les collégiens de 5ème sont désormais ciblés par une vaxxination massive "Papillomavirus", sur base d'informations malhonnêtes (articles : 1 2 3). Et voilà que l'on s'en prend maintenant à des dizaines de millions de canetons (article)... Ils nous assaillent jusque dans nos assiettes... Heureusement les Japonais n'en veulent plus. Puissent-ils être suivis... Seule amélioration (?) : tout ceci n'est plus annoncé avec fanfares et trompettes médiatiques, les obsédés provax font profil bas...



  8. Le 25 novembre 2023. A ce jour, les nouvelles campagnes de vaccination Covid et Papillomavirus sont des échecs dans la population dite à risque (17% des plus de 65 ans) et - encore plus significatif - chez les soignants (moins de 5 %) (articles 1 2 3). Seules les personnes endoctrinées par les médias (pourtant beaucoup moins oppressants que les deux années précédentes) persévèrent à jouer à la roulette russe, en se faisant piquer ou en en faisant piquer un proche (8 effets secondaires graves sur 1000 en Allemagne, 0 en France ? Articles 1 2 3). Certains s'obstinent même à s'esquinter la santé en portant des masques durant des heures. Cette prise de conscience d'une vaste partie du public s'est faite, en France, sans aucun mea culpa des autorités et médias provax, seulement en prenant en compte l'inefficacité et les effets indésirables autour de soi.
    Du côté de Jean-Michel Macron, pareillement le public sait ou s'interroge par millions, tandis que les médias le nient et cachent la réalité. Par exemple dans un échange entre Dominique Jamet et Pascal Praud le 30 août sur CNews (vidéo de 1 mn 29) ou, à propos de l'atteinte sexuelle sur mineur (Emmanuel 15 ans, Jean-Michel 47 ans, ayant autorité, article 222-28) un moment de grand malaise avec le même Pascal Praud et ses invités (vidéo de 1 mn 03). Sur ce thème, la presse US commence timidement à s'exprimer (article du New York Post, 19 novembre). Elle a beaucoup plus à dire, mais la docile marionnette Macron est encore trop précieuse...
    A gauche une allusion dessinée à la scène d'origine (publiée sur le fil telegram des Perruques Jaunes, lien), puis Vincent Hervouët qui, dans la vidéo précitée, y fait une allusion parlée, puis Pascal Praud et les trois qui ont compris et restent sans voix, gênés par leur incapacité crasse à faire la moindre allusion, la moindre interrogation, à une réalité qu'ils veulent maintenir cachée. Et on se prétend journaliste, et on se prétend un média d'information... Un bon point tout de même pour le journaliste Vincent Hervouët qui, malgré sa grande prudence, montre que ça peut bouger. En attendant le grand chambardement ?



  9. Le 27 novembre 2023. Dans le nouveau numéro de "Faits & Documents", n°525, Xavier Poussard, par une série de recoupements, valide l'article de Mary Josephson "Le Dr Bui Quy Minh, expert des opérations de changement de sexe, a opéré Brigitte Macron" paru le 22 septembre dernier sur le site apar.tv. Ce docteur qui, depuis 25 ans, est un spécialiste mondialement connu de la "féminisation du squelette facial dans le cadre du transsexualisme" apparaît être "une pièce centrale du puzzle".

    En juillet 2019, Brigitte Macron s'est faite opérer à l'hôpital américain de Paris dans l'unité de chirurgie plastique et esthétique.
    Voir l'article de Patrick Bui sur les pages 96 à 103 du n°3 de la revue Team (août 2015) ou ici.
    Dans ce même numéro (disponible ici), le dossier Trump sur les Macron est analysé (sur des bases très parcellaires), avec ce propos d'un proche de l'ancien président des Etats-Unis (Mike Lindell, avril 2021) : "Nous faisons des recherches sur Emmanuel Macron, et s'il a fait quelques chose d'illégal - qui ne relève pas de la politique... C'est un homme horrible. Un homme horrible, horrible. Les choses qu'il a dites au téléphone : il est sur des enregistrements...". Vrai ou faux, cela s'éclaircira-t-il un jour ? Pourquoi garder le secret sur ce dossier ?


Le point de la situation au 29 novembre 2023
    Le 29 novembre 2022 se terminait le dossier Pressibus 2022 sur Brigitte Macron. Un an exactement plus tard, les Post-Scriptum sont séparés du dossier principal afin d'en alléger l'accès. C'est l'occasion de faire un rapide bilan.

    Notre dossier, mêlant certitudes et hypothèses, garde sa pertinence. Seul le Post-scriptum n°3 du 25 février a apporté un correctif, les 19 autres ont affermi nos positions, de même que les autres informations recueillies, non répertoriées. Nous sommes les seuls, à notre connaissance, à mettre à disposition de tous un scénario global permettant de connaître ce qui s'est réellement passé; notamment pour la naissance des trois enfants Auzière. Il repose sur l'existence successive de trois Brigitte Trogneux :
    1. celle née Brigitte Trogneux en 1953, probablement décédée vers 1961, sans que ce soit déclaré,
    2. celle née Brigitte Auzière, remplaçant la première vers 1963, se mariant avec le fictif André Louis Auzière en 1974 et donnant naissance aux trois enfants Auzière, avant d'être probablement exfiltrée,
    3. et enfin celle née Jean-Michel Trogneux, grand-frère de la première Brigitte, père des trois enfants, devenu Brigitte Trogneux mariée Auzière vers 1985, devenue Brigitte Macron en 2007.

    Ce scénario à plusieurs avantages :
    • Il est assez complexe et ancien pour comprendre qu'on ait pu le cacher derrière une légende romancée.
    • Le premier mensonge (la disparition de la première Brigitte) provoquant les suivants, il explique le silence complice de la famille Trogneux et de quelques membres de la famille Auzière.
    • Il repose sur un minimum de falsifications, surtout deux, les mariages de 1974 et 2007 orchestrés par Léonce Deprez ; le mariage de 1980, qui certifie l'existence de Brigitte née Auzière (c'est elle et non Brigitte née Trogneux qui est le témoin du marié, Jean-Michel, cf. Chapitre 30), n'apparaît pas falsifié.

    L'engrenage des mensonges est le suivant :
    1. 1961/1963 la disparition de Brigitte née Trogneux est niée, provoquant son remplacement par Brigitte née Auzière,
    2. 1974 Jean-Michel Trogneux veut l'épouser mais elle est officiellement sa soeur, d'où la nécessité de truquer le mariage de 1974,
    3. 1985/1986 Brigitte née Auzière ne veut plus (ou ne peut plus) tenir le rôle de Brigitte Trogneux, la famille Trogneux accepte que Jean-Michel la remplace,
    4. 2007 Jean-Michel et Emmanuel Macron veulent vivre comme un couple officiel, ils truquent leur mariage avec l'aide de celui qui avait faussé le mariage de 1974, le très respectable Léonce Deprez.

    D'autres scénarios, plus ou moins esquissés, restent possibles, mais, à ce jour, ils n'ont pas ces avantages. Tous s'accordent à considérer que Brigitte Macron est née Jean-Michel Trogneux ; la principale divergence concerne la mère (voire les mères) des trois enfants.

    Des hypothèses sont aussi émises sur Emmanuel Macron, notamment sur l'identité de son père. Là, l'opacité n'est guère percée, pas plus en 2023 qu'en 2022 ; nous avons vaguement ouvert quelques pistes, sans aller plus loin.


  1. Le 30 novembre 2023. Nous avons vu à plusieurs reprises que certains souvenirs de Brigitte Macron sont ceux de Jean-Michel, de 7 ans et demi son aîné. Notamment pour ses études à Alger (Annexe A 22) et pour sa présence aux Etats-Unis en 1969 (fin du Chapitre 8). Voici un nouvel exemple d'impossibilité chronologique révélé, le 17 novembre, par le fil telegram "L'affaire Jean-Michel Trogneux" (lien). Le 12 janvier dernier, la presse se faisait l'écho des propos de Brigitte Macron : " J’ai porté l’uniforme comme élève : quinze ans de jupette bleu marine, pull bleu marine." (article du Monde). Or le livre "Brigitte Macron l'affranchie" (Maëlle Brun, 2018) contient le témoignage de Béatrice Lepage, épouse Jean-Jacques Leroux, qui a connu Brigitte Trogneux (la n°2) lors de sa scolarité. Elle déclare qu'à la rentrée de 1969 "l'uniforme est abandonné" (comme en de nombreux autres établissements, suite à Mai 1968). Née en 1953, alors âgée de 16 ans, Brigitte Trogneux n'a pas pu porter l'uniforme durant 15 ans, loin de là... Par contre son grand-frère, né en 1945, qui avait 24 ans en 1969, a pu porter l'uniforme (masculin) durant 15 ans.

    Quand l'AFP diffuse une information mensongère, tous les médias français la considèrent comme véridique...
    Ce même fil telegram soulignait, le 3 novembre dernier, que Jean-Michel Trogneux a vendu les parcelles qu'il possédait à Blangy Tronville le 4 décembre 1984, un peu avant que Brigitte Trogneux (la n°3) s'installe en Alsace, en 1985. Nous avons déjà présenté un similaire passage de relais de Jean-Michel à Brigitte (la n°3), quand le premier a vendu sa maison de La Neuville sur Oudeuil en 1990, un an avant que la seconde (et identique) achète, en 1991, une maison à Amiens (Annexe A 51).



  2. Le 1er décembre 2023. La Macronie a été contrainte d'abandonner l'apartheid Covid de 2021, mais elle tente d'y revenir pas petites touches. Les Jeux Olympiques de Paris 2024 en sont une première occasion. Dans la capitale, les S.D.F et les bouquinistes des bords de Seine seront interdits, on ne pourra entrer dans certaines vastes zones habitées qu'en montrant un QR Code (article). L'avocat Fabrice Di Vizio tire la sonnette d'alarme en une vidéo de 3 mn 41. Par touches successives, sous prétexte de dangers en tous genres, on sent la volonté de contrôler la population par QR-Code, reconnaissance faciale, censure, interdictions, pistages numériques etc. L'orientation totalitaire est maintenue avec l'aide des médias unanimistes et anesthésiants, conformement à d'autres puissances occidentales, parallèlement à une militarisation et une nucléirasation accrues. Jusqu'où nous mènera cette dérive, dont le couple Macron est un important rouage ?
    Dans sa publication "Faits & Documents" (site), Xavier Poussard montre l'effrayante face cachée de la Macronie, en trois gros dossiers, dont celui sur Brigitte Macron. On y fait la connaissance de tortueux personnages comme Jean-Marc Borello. Dans un entretien vidéo-audio de 33 mn avec Eric Verhaegue, Xavier Poussard présente ce discret pilier du pouvoir (entretien plus long de 1h 32 mn, avec Mike Borowski, notamment sur Cyril Hanouna, et aussi sur Brigitte Macron à 1:07:50).


  3. Le 13 décembre 2023. Le numéro 527 de Faits & Documents vient de sortir (page 1), il constitue le 8ème épisode du "Mystère Brigitte Macron". Il s'appuie sur une nouvelle photo de Jean-Michel Trogneux, en classe de 9ème (CE2) à La Providence. De nombreuses comparaisons de photos sont présentées. C'est un exercice délicat et nous allons prendre le temps d'analyser ce nouvel élément. De prime abord, ont peut déjà dire qu'il y a une forte ressemblance avec Brigitte Macron... Comme frère et soeur ou comme la même personne ? Le contexte ne peut pas être ignoré et il est sans appel : cela s'ajoute à un tas d'autres indices en tous genres, graves et concordants, accréditant la deuxième hypothèse...



  4. Le 15 décembre 2023. Voici donc l'analyse de ce que présente Xavier Poussard dans le numéro 527 de F&D. C'est un numéro très différent des autres pour s'appuyer principalement sur de nombreuses comparaisons de photos, réalisées avec le réputé logiciel chinois Megvii Face++. Il en résulte quelques conclusions. A notre avis, on ne peut pas considérer que ce sont des preuves : les photos d'origine sont souvent de mauvaise qualité et un comparatif de photos, surtout entre enfant et adulte, n'a pas la validité d'une comparaison de voix entre adultes, telle qu'elle a été présentée au Chapitre 14. Elle la corrobore tout de même pour la conclusion principale : Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux sont la même personne. A 52 % pour Face++, au-dessus de son seuil critique de 50%.
    Par un autre logiciel, Betaface, Jean-Michel serait Brigitte Macron, à 74% (ci-dessus), juste en dessous de son seuil critique de 75%. Avec la photo de l'écolier légèrement retouchée (provenant d'un fil telegram), la ressemblance passe au dessus, à 77 et 76 %. Enfin, ci-dessus à droite, Betaface estime que l'écolier (en CE2, il a 8/9 ans, donc 1953/1954) est bien le Jean-Michel Trogneux de la photo de famille (estimée à 1954/1955), avec 76%, là encore de façon plus modérée que les 100% de Face++. C'est surtout assuré par l'enquête de F&D ayant permis la découverte de cette photo de classe.
    Analysons rapidement les 12 pages de F&D527.
    1. (page 2) Cela confirme notre opinion : Catherine Audoy, épouse de Jean-Louis Auzière, a apporté des preuves qu'elle n'est pas la mère des enfants Trogneux. C'est la cause première de la condamnation de Natacha Rey dans le procès intenté par les époux Auzière.
    2. (page 2) Par contre les preuves de l'existence d'André Louis Auzière nous apparaissent légères, en particulier celle sur le livret de famille, quand on prend en compte les liens des Auzière avec les services secrets, et aussi les liens des Trogneux avec le maire du Touquet (Annexes A 31, 50).
    3. (page 2) La photo du mariage de 1974 apparaît effectivement authentique pour être parue dans plusieurs journaux, mais il n'empêche que c'est une photo qui pourrait être retouchée, avant parution (Annexe A 9, 43, 48). Les retouches étaient alors maîtrisées et habituelles (fin de l'Annexe A 48). En cela elle pourrait ne pas être pas authentique.
    4. (page 2 et page 7) Les photos du "petit gros" ne nous apparaissent pas être celles de Jean-Michel Trogneux. En particulier, la forme des oreilles n'est pas la même. Et le journaliste Moadab qui a légendé une photo n'est pas fiable (Annexe A 7). Face++ va en ce sens, avec un score de ressemblance (pour la photo de l'écolier) faible, égal à 42%.
    5. (page 3) L'état civil de Jean-Michel Trogneux a certes une allure correcte, mais il y manque l'indication de sa transition de genre, de son changement d'identité et de son mariage de 2007. Pour André Louis Auzière et pour Brigitte Macron estimée Trogneux, l'état civil a pu être corrigé sur la base des mariages de 1974 et 2007, déclarés par le maire du Touquet, Léonce Deprez (Chapitre 30). Et le document de décès de 2019, avec la photo bizarre, a un étrange aspect (P.-S. 14).
    6. (page 3) Personne n'a réussi à prouver qu'un Jean-Michel Trogneux vivrait au 14 rue des Vergeaux à Amiens. Il n'y a donc pas lieu de le croire. La présence d'une boîte aux lettres à son nom est insuffisante (Annexe A 8).
    7. (page 4) Cet arbre généalogique est celui de la légende Brigitte Macron.
    8. (page 7) En P.-S. 14, nous avions comparé par Betaface les photos attribuées à André Louis Auzière lors de son mariage et de son décès. Le score était de 75 %, exactement le seuil critique Betaface. Face++ considère que c'est la même personne, avec 100% (!) (alors que de visu c'est loin d'être évident). Par ailleurs, Face++ réfute qu'André Louis de 2019 (chauve) soit Jean-Louis Auzière âgé (chevelure épaisse) par un score de 25% ; il n'y a effectivement guère de doute. Il n'en est pas de même entre Jean-Louis et le marié de 1974 (tous deux à chevelure épaisse), avec un score Betaface de 71% (Annexe B 6) et avec une ressemblance reconnue de visu. Il n'y a pas là de quoi appuyer pleinement l'hypothèse que Jean-Louis ne serait pas André Louis. Cela la rend seulement un peu plus probable. Il y a déjà eu deux faire-valoir démasqués : Claude Hugot et Jean-Paul Debes (Chapitre 9).
      Ajoutons que la mise à l'écart de l'agent secret Jean-Louis Auzière apparaît peu pertinente pour n'être basée que sur la photographie du marié de 1974. Il serait nécessaire de disposer de photos de Jean-Louis à cette époque. Et même si ce n'est pas lui, cela ne serait pas significatif : un acteur a pu être embauché au mariage de 1974 et sa photo, quand il était âgé, a pu être reprise pour son décès. C'est un point secondaire, cela n'ôte pas grand chose à l'inexistence d'André Louis et au rôle de Jean-Louis Auzière. .
    9. (page 8) Face++ estime que Brigitte Macron ne serait pas la mariée de 1974, avec 37,5 %. Betaface attribue une ressemblance entre 65 et 71% (Annexe A 9). Cette mariée ne serait donc pas Brigitte Macron, comme l'indiquait le titre de notre Chapitre 29. Quant à savoir si elle est Brigitte née Trogneux, on va y revenir dans l'encadré ci-dessous.
    10. (page 9) Face++ estime que Brigitte Macron n'est pas la communiante présentée comme étant Brigitte Trogneux. Betaface estimait la comparaison à 72 %, contre 74% entre la communiante et Tiphaine Auzière (Annexe B 2). Comme on estimait déjà que cette communiante n'était pas Brigitte Trogneux, cela reste accessoire. Rappelons qu'il y a deux autres fausses photos de Brigitte Trogneux (Chapitre 7).
    11. (page 10) Vu en début de ce Post-Scriptum, Brigitte Macron serait Jean-Michel Trogneux.
    12. (page 11, résumé des scores Face++ déjà présentés)

    Remarquons que Face++ et Betaface ne traitent pas les comparaisons frère-soeur et parent-enfant. Faisons-le avec Betaface.
    Entre 72 et 79 %, Brigitte et Jean-Michel Trogneux sont frère et soeur. Avec 72 %, Jean-Michel n'est pas la mariée de 1974.
    Avec 80%, la communiante Tiphaine Auzière est fille de la mariée de 1974.
    En résumé, nous sommes d'aplomb avec Xavier Poussard, sauf principalement en ce qui concerne la véritable identité de la mariée de 1974, et accessoirement sur l'identité du marié. Même si cela a déjà été effectué en partie (dernièrement le 29 novembre), voici une série d'arguments expliquant notre positionnement à ce jour.
    Les raisons pour lesquelles la mariée de 1974 ne serait pas Brigitte née Trogneux
    Brigitte née Trogneux, puisqu'elle n'est pas Brigitte Macron, a disparu dans des conditions que nous ignorons. Soit elle a été exfiltrée, soit elle est morte, sans que son décès ait été légalement déclaré. De quand date cette disparition ?
    • Avant 1974, hypothèse A. Alors Brigitte née Trogneux ne serait pas la mariée de 1974, elle aurait disparu auparavant, probablement vers 1961, entre la photo de famille de 1954/1955 et sa présence au collège vers 1963. Il y aurait alors trois Brigitte Trogneux, celle, l'authentique, de 1953 à 1961, celle de 1961 à 1985 (en fait Brigitte née Auzière ou une autre personne) et celle d'après 1985 (en fait Jean-Michel Trogneux devenu Brigitte Macron).
    • Après 1974, hypothèse B. Alors Brigitte née Trogneux serait la mariée de 1974 et elle aurait disparu vers 1985, après la naissance de Tiphaine, et avant l'arrivée de la dernière Brigitte Trogneux, future Brigitte Macron, à Truchtersheim, en 1986.
    Chacune de ces deux hypothèses apparaît plausible à ce jour. Quelle est la plus probable ?
    1. Il s'est passé quelques chose de très grave vers 1961, Brigitte Macron, alias Jean-Michel Trogneux, a été marquée par le décès d'une nièce. Or aucune de ses nièces n'est décédée alors. Dans l'hypothèse A, ce serait sa soeur Brigitte (Chapitre 20). L'hypothèse B n'apporte aucune explication sur ce drame étonnant.
    2. Le grand avantage de l'hypothèse B est d'être plus simple. Mais c'est aussi une faiblesse car elle devrait être plus facile à vérifier. L'absence de photos de famille de Brigitte Trogneux entre 1957 et 1986 (seule celle du mariage de 1974 ferait exception) est extraordinaire. Un trou noir de 30 ans. Pour les deux hypothèses, on a une explication : les photos montreraient la supercherie d'une jeune fille trop différente de Brigitte Macron, ce serait encore plus net qu'avec la photo de 1974. Il y aurait tout de même de quoi trouver une photo de groupe, pas trop nette, vers 1960, avec le frère et la soeur ensemble. Non, rien. Comme si c'était impossible. Avec A c'est effectivement impossible, avec B ce serait possible.
    3. Le mariage de 1974 apparaît truqué, à cause de la méconnaissance des mariés qui semblent parachutés, sans antériorité proche, à cause de la photo éventuellement retouchée et à cause de sa présentation inhabituelle dans la presse. Et aucune autre photo de ce mariage. A cause aussi de la personnalité de l'ordonnateur, le maire du Touquet Léonce Deprez (alors qu'un mariage à Amiens aurait été plus naturel...), grand ami de Jean Trogneux, le père de Jean-Michel, et à cause de la présence des Auzière et de Georges Costes, proches des services secrets (P.-S. 9). Il y a aussi l'étrange "absence de communication dans le Carnet mondain du Courrier Picard, comme les Trogneux en ont l'habitude" [F&D501p08]. Dans l'hypothèse B, on ne comprend pas la nécessité de ces étrangetés. Dans l'hypothèse A, on a une explication flagrante : Jean-Michel Trogneux et Brigitte née Auzière, futurs parents des trois enfants Auzière, ne peuvent pas se marier, car la mariée a pris l'identité de la soeur du marié. Seul un bidouillage d'état civil avec l'aide de Deprez et des Auzière, associé à une apparence fabriquée, pouvait le permettre.
    4. Avec un Betaface de 70% (illustration ci-contre), la mariée de 1974 ne serait pas Brigitte née Trogneux. Surtout, elle n'ont pas les mêmes oreilles, alors que Jean-Michel Trogneux et Brigitte Macron ont les mêmes oreilles (qui ressemblent à celles de Brigitte née Trogneux) (fin du Chapitre 8). C'est confirmé avec la nouvelle photo.
    5. L'hypothèse B peut être décomposée en B1 et B2. B1 : André Louis Auzière est un personnage fictif (comme dans l'hypothèse A). B2 : il est une personne réelle. Xavier Poussard semble opter pour B2, alors que la comparaison photographique Face++ n'est pourtant pas formelle (52 %). Or tout l'argumentaire du personnage fictif (Chapitre 9) reste valable. Il y a trop peu de preuves de l'existence de ce personnage.
    6. De plus, si André Louis existe, cela signifie que Brigitte Macron / Jean-Michel Trogneux n'est pas le père des trois enfants Auzière. Ni la mère. Or l'attachement que leur témoigne Brigitte Macron a tout d'un attachement parental. C'est certainement l'argument le plus fort pour réfuter B2. Et il fragilise fortement B1, car pourquoi aurait-t-on effacé de façon aussi spectaculaire un personnage qui serait bien réel, ayant eu de 1974 à 1985 une vie banale, au vu et au su de ses voisins et de ses collègues de travail ? Il n'y a pratiquement pas de témoignage...
    7. Brigitte née Auzière existe, sauf si le mariage de 1980, où elle a signé comme témoin, est lui aussi truqué. Or rien ne le suggère... (Chapitre 30 partie 2)
    8. A supposer que la mère des trois enfants Auzière soit Brigitte née Trogneux (hypothèse B), Brigitte Macron serait leur oncle. Pourquoi donc a-t-il voulu à ce point devenir leur mère, alors qu'il est déjà le père de deux enfants (Jean-Jacques et Valérie, issus du mariage de 1980), qu'il semble avoir délaissés ? Cela apparaît peu vraisemblable. Alors que dans l'hypothèse A, le père devient la mère, cela se comprend beaucoup mieux.
    9. La présence de Jean-Michel Trogneux à Alger en 1963 s'explique avec l'hypothèse A (un service rendu aux Auzière en échange du remplacement de Brigitte née Trogneux), elle apparaît inexplicable dans l'hypothèse B.
    10. Dans les deux hypothèses A et B, le mariage d'une transsexuelle en 2007 avec Emmanuel Macron est illégal et a été truqué par le maire Léonce Deprez. Pourquoi l'aurait-il fait ? C'est avec Jean Trogneux, décédé en 1994, qu'il était très proche, pas avec son fils Jean-Michel. S'il l'a fait, c'est au nom de cette vieille amitié, à cause d'événements anciens concernant Jean. Par l'engrenage d'une énorme tromperie à laquelle il avait déjà participé au mariage de 1974. Tout aurait commencé avec le lourd secret d'une grande famille bourgeoise de province, qui a caché la disparition de sa fille Brigitte vers 1961 et a opéré son remplacement vers 1963 par celle qui allait devenir la mariée de 1974.
    11. Bien que présentée de manière labyrinthique, notre recherche prend en compte un spectre d'indices beaucoup plus large que les comparaisons photographiques de ce numéro de F&D : carrière professionnelle, domiciles, propriétés foncières, activités commerciales, graphologie, ascendants et devenir de chacun des protagonistes.
    Donc, si Xavier Poussard penche vers l'hypothèse B2 dans le dernier F&D (arbre de la page 12) (ce n'est pas son hypothèse, ni celle de F&D, c'est celle qu'il a déduit de son étude en suivant les indications de Face++, c'est l'hypothèse Face++), nous privilégions toujours l'hypothèse A (arbre au Chapitre 32, repris de façon simplifiée ci-dessous).

    A gauche l'arbre de l'hypothèse B2 Face++ en page 12 de F&D 527. A droite l'arbre simplifié de notre hypothèse A.
    C'est une affaire qui n'est pas simple, étalée sur 50 ans, deux générations, avec d'importants rebondissements. La tentation de la simplifier est naturelle, mais elle se heurte à certaines réalités. La découverte de nouveaux indices fera pencher la balance d'un côté ou de l'autre. L'hypothèse Catherine Audoy mère des trois enfants Auzière semble désormais écartée, on avance.
    L'essentiel reste que Jean-Michel Trogneux a usurpé l'identité de sa soeur et est devenu Brigitte Macron, en un énorme mensonge d'Etat camouflé par des médias qui, en restant complice de cette tromperie de plus en plus reconnue, s'enfoncent dans le discrédit et la défiance.



  5. Le 16 décembre 2023. Les conséquences de la révélation du dernier numéro de "Faits & Documents" se poursuivent en plusieurs points.
    1. Ce brigittegate qui continue à prendre de l'ampleur, deux ans après sa révélation, va-t-il, comme pour les médias, élargir le discrédit et la défiance envers les hommes et femmes politiques de notre pays ? En cette lettre ouverte, Lionel Labosse demande solennellement, avec une approche humoristique, aux députés et aux sénateurs de réagir "pour sauver l’honneur de « Brigitte » et de la France".
    2. Il met en avant le tort que porte cette affaire à notre pays. Car non seulement l'information circule à travers le globe sur les télévisions officielles de Russie, de Chine et d'ailleurs (Annexe D 13), mais elle il est possible qu'elle soit utilisée comme moyen de chantage pour manipuler la marionnette Emmanuel Macron. Après le coffre-fort de Donald Trump (Annexe D 17), il apparaît très vraisemblable que, en Israël, des affiches géantes aient été placardées avec ce message troublant : "Président Macron que feriez-vous si Jean-Michel était retenu en otage par le Hamas ?" (+ photo extraite d'une vidéo de 14 secondes). Et alors, là c'est sûr même si cela a pu paraître invraisemblable, la tour Eiffel a été illuminée aux couleurs d'Israël, un acte religieux juif s'est déroulé à l'Elysée (article), etc. Eric Verhaegue pourrait avoir raison quand il écrit : "Visiblement, l’évocation ou la menace d’évocation de dossiers personnels pourrait avoir suffisamment d’impact sur la stratégie française pour que des gouvernements étrangers en jouent comme d’une arme.

      Lionel Labosse demande aux députés et sénateurs d'enquêter sur cette affiche (ici sur un article de Jeune Afrique, photo AFP)
      N'hésitez pas à en parler à votre député ou sénateur, et autour de vous lors des fêtes de fin d'année... Avec le lien pressibus.org/brigitte ...
    3. La découverte d'une nouvelle photo de Jean-Michel permet de réévaluer certaines ressemblances. C'est particulièrement net pour les photos en provenance d'Alger (Chapitre 25) avec ces comparaisons Betaface :

      Avant (et toujours valable) 70, 67, 62. Maintenant : 81, 78, 69, deux sur trois au-dessus du seuil de 75%.
    4. Revenons sur les scénarios. Lors d'une enquête, on en imagine et on leur attribue une probabilité qui évolue au fur et à mesure de la connaissance de nouveaux indices, en s'approchant progressivement de la réalité. On a ainsi abandonné deux hypothèses : Brigitte Trogneux jamais née et Catherine Audoy mère des trois enfants. On s'appuie sur des acquis, la certitude que Brigitte Macron est née homme et l'intime conviction qu'elle est son frère Jean-Michel. Le scénarios B2 de Face++ récuse, avec peu de fondements, deux éléments qui semblaient acquis : l'inexistence de André Louis Auzière et Jean-Michel Trogneux père des trois enfants. Sauf surprise, cela redeviendra acquis. On devrait aussi admettre que cette affaire n'a pas débuté vers 1985, ni même vers 1974 mais vers 1961 en considérant à quel point il est extraordinaire que Jean-Michel Trogneux fasse des études à Alger en 1963, juste après l'indépendance de l'Algérie en 1962. Seul un énorme événement familial chez les Trogneux a pu l'y amener. Comme la mort non déclarée de la petite Brigitte et son remplacement par un enfant Auzière, avec une contrepartie qui permette aux services secrets français d'agir en un pays devenu hostile. Il peut exister une autre cause, à découvrir, mais le début de l'affaire Brigitte démarre là et ce sont les parents Jean Trogneux et Louis Auzière qui ont manigancé cela. Ensuite ce sera ce que nous avons appelé "l'engrenage des mensonges". Quant à l'existence de Brigitte née Auzière, elle ne fait pratiquement aucun doute à cause du mariage de 1980 célébré par des personnes étrangères à cette affaire : c'est le nom de naissance des témoins qui est inscrit sur l'acte. Rappel :


  6. Le 19 décembre 2023. L'aumônier, debout à droite de la photo de classe récemment découverte, est certainement Pierre Herriman, le Jésuite qui a célébré la messe de mariage de 1974, à considérer, ci-contre, le score de 85% en comparaison Betaface. Comme on s'en doutait (Annexe A 48), le père Herriman était très proche de la famille Trogneux. Il était probablement présent au drame qui l'a touchée vers 1961, il a couvert la non-déclaration de la disparition de Brigitte, il a été complice de son remplacement par Brigitte née Auzière et, pour protéger Jean-Michel et pour permettre son union avec sa pseudo-soeur, il a apporté sa caution au mariage falsifié de 1974.
    Hier soir, Xavier Poussard s'est longuement entretenu avec Mike Borowski (de la revue Géopolitique profonde) en une très intéressante vidéo de 1h 28 mn. Il nous confirme ses informations de F&D et en présente de nouvelles, qui nous amènent à réviser notre positionnement. Voici les principaux points que nous retenons :

    1. Les comparaisons adulte / adulte de Face²++ sont pratiquement infaillibles (100%) (d'où la certitude que Brigitte Macron n'est pas la mariée de 1974), mais que les comparaisons enfant / adulte sont plus délicates et donnent une bonne indication à partir de 50 % (d'où la très forte probabilité que Jean-Michel Trogneux enfant soit Brigitte Macron). En conséquence, et nous nous devons de l'admettre, le marié de 1974 et le décédé de 2019 (P.-S. 14), tous deux présentés comme André Louis Auzière, sont une même personne. Mais le fait que la deuxième photo soit de mauvaise qualité, présente une personne en maillot de bain et apparaisse ainsi complètement incongrue en première page d'un livret de décès (apparemment sans autre photo de lui), amène à considérer qu'elle est la photo d'un ami lointain de la famille, perdu de vue. Cela confirme plutôt que André Louis Auzière est un personnage fictif.

      Les Auzière et Trogneux connaissaient tellement peu celui qui a joué le rôle du marié sur la photo
      du mariage de 1974, qu'ils n'ont trouvé que cette autre photo de lui pour illustrer son décès en 2019,
      au risque de concourir pour la plus ridicule photo de décès à travers le monde...
      Pour quelqu'un soumis à une grosse polémique sur son existence même, censé avoir été marié
      avec la "première dame" et avoir eu trois enfants avec elle, nous ne connaissons que ces deux photos !
    2. A partir de 41 mn 43, Xavier Poussard indique que des personnes lui ont montré des photos de Brigitte Trogneux, à titre privé (donc non publiables) et qu'elles sont sures que la communiante et la mariée de 1974 sont la même personne. Il en conclut (à 41 mn 23) avoir la confirmation que "Brigitte Trogneux était bien la communiante et la mariée". Sauf, à notre avis, que ce n'est pas Brigitte n°1 née Trogneux mais Brigitte n°2 née Auzière. Brigitte n°1 a disparu vers 8 ans (1953-1961), elle a été remplacée par Brigitte n°2 vers 9 ans, que tout le monde considère, de bonne foi, comme Brigitte Trogneux. La communiante a environ 11 ans. Sauf a avoir des informations le contredisant (l'hypothèse Tiphaine ?), elle est Brigitte n°2 née Auzière qui serait aussi la mariée. Cela nous amène donc à ne plus considérer que la communiante serait Tiphaine Auzière. Par ailleurs, il y a lieu de considérer qu'il y avait une certaine ressemblance entre ces deux Brigitte, sinon la seconde n'aurait pas été choisie pour remplacer la première. Cela peut expliquer cette comparaison Betaface :

      La première comparaison (75 et 70%, en partie montrée dans l'encadré précédent) est effectuée, à partir d'une photo
      légèrement retouchée de la mariée, la seconde (80 et 75%) à partir de la photo du journal, non retouchée.
      Rappelons que nous estimons que les oreilles de la première photo ne sont pas celles de la mariée.
      On peut aussi estimer que, sur la première photo, la chevelure est moins blonde que dans les deux suivantes.
      On est aussi surpris que la fillette de 5 ans ressemble davantage à la mariée de 21 ans qu'à la communiante de 11 ans.
      Nous reconnaissons que cette comparaison donne un peu plus de crédibilité à l'hypothèse que nous avons appelée ci-dessus B2 Face++, qui devient maintenant l'hypothèse F&D 527 de fin 2023, et contredit en apparence notre hypothèse A, que nous appellerons désormais l'hypothèse Pressibus de fin 2023, à laquelle nous croyons toujours fermement, pour les raisons déjà exposées.
    3. Xavier Poussard (à partir de 1h 02 mn) a insisté sur les inquiétantes implications internationales de cette affaire. L'affiche israélienne (montrée au-dessus), apparemment largement diffusée, n'en est qu'une manifestation parmi de nombreuses autres, plus ou moins révélées. C'est assurément une des marques du déclin, mélé de mépris et d'ironie, de la France à l'étranger, notamment en Algérie et au Maroc (article pointant "des doutes sur l'identité sexuelle" de Brigitte).
    4. Il ne fait pas de doute que cette comparaison Face++ a été réalisée par de nombreux services secrets étrangers, qui savent ce qui est caché et peuvent, par leurs dirigeants, faire chanter le couple élyséen.
    Aujourd'hui même, Xavier Poussard a accordé un deuxième entretien, en une vidéo de 49 mn 24, à Eric Verhaegue (du site Le courrier des stratèges), lequel estime que "Faits & Documents" a remplacé "Le Canard Enchaîné" (ce que nous confirmons, cf. Annexe D 19). Il y a beaucoup de redites par rapport à l'entretien précédent, sans nouvelle révélation, mais il est bon de retenir les éléments suivants, déjà connus, mais non encore développés ici :
    1. (vers 28 mn 50) On peut estimer qu'il y a eu vers 1992, un acte d'atteinte sexuelle par l'adulte Jean-Michel Trogneux, 47 ans, ayant autorité, sur le mineur Emmanuel Macron, 15 ans. Mais, étant donné que nous savons très peu de choses sur Jean-Michel Trogneux auparavant, il est légitime de se demander s'il s'agit d'un "one shot" ou d'une "situation de récidive".
    2. (vers 30 mn 42) L'ascension d'Emmanuel Macron est fulgurante. En très peu de temps, en faisant croire qu'il est un génie, ce qui est loin d'être vrai, il effectué un parcours étonnant à l'ENA et à la banque Rothschild, il a écarté trois premiers ministres (Fillon, Juppé, Valls) et deux présidents de la République (Sarkozy, Hollande). Qui donc l'a ainsi "pistonné" ?
    En conséquence nous apportons le deuxième correctif suivant, après celui du 25 février dernier (sans parler de la photo 2019 du décès, que nous ne connaissions pas en 2022) :
    Correctif n°2 à notre dossier 2022, en date du 19 décembre 2023
    La photo de la communiante n'est pas celle de Tiphaine Auzière, mais, probablement, celle de Brigitte née Auzière. C'est la deuxième photo que nous avons d'elle.
    Et nous estimons comme plausibles les trois hypothèses suivantes :
    Trois hypothèses de fin 2023 sur Jean-Michel Trogneux
    Tronc commun. Brigitte Macron est une transsexuelle née en 1945 sous le nom de Jean-Michel Trogneux. Brigitte née Trogneux, petite soeur de Jean-Michel, a existé. Brigitte mariée Macron n'est pas la mariée de 1974, elle n'est pas la mère des trois enfants Auzière. Elle a usurpé une identité qui n'est pas la sienne lors de son mariage avec Emmanuel Macron, en 2007.
    Hypothèse Pressibus (déjà en fin 2022)
    • Trois personnes se sont faites appeler Brigitte Trogneux. Elles sont nées Brigitte Trogneux, Brigitte Auzière puis Jean-Michel Trogneux.
    • André Louis Auzière, premier mari en 1974 de Brigitte Macron, est un personnage fictif, qui a parfois pu être personnifié par Jean-Louis Auzière et par la personne présente sur les photos de 1974 et 2019.
    • Jean-Michel Trogneux (= Brigitte Macron) est le père biologique des trois enfants Auzière.
    • Il s'est passé un évènement essentiel vers 1961 qui a conduit Jean-Michel Trogneux à Alger en 1963 : la disparition, non déclarée, de Brigitte née Trogneux.
    Hypothèse intermédiaire
    • Deux personnes se sont faites appeler Brigitte Trogneux. Elles sont nées Brigitte Trogneux puis Jean-Michel Trogneux.
    • André Louis Auzière est un personnage fictif, qui a parfois pu être personnifié par Jean-Louis Auzière et par la personne présente sur les photos de 1974 et 2019.
    • Jean-Michel Trogneux (= Brigitte Macron) est le père biologique des trois enfants Auzière.
    • Rien d'essentiel n'a eu lieu vers 1961 et le passage de Jean-Michel Trogneux en 1963 à Alger, s'il a eu lieu, est anecdotique.
    Hypothèse F&D 527
    • Deux personnes se sont faites appeler Brigitte Trogneux. Elles sont nées Brigitte Trogneux puis Jean-Michel Trogneux.
    • André Louis Auzière est un personnage qui a vraiment existé. Il est le père des trois enfants Auzière.
    • Jean-Michel Trogneux (= Brigitte Macron) est leur oncle.
    • Rien d'essentiel n'a eu lieu vers 1961 et le passage de Jean-Michel Trogneux en 1963 à Alger, s'il a eu lieu, est anecdotique.
    Dans les deux premières hypothèses, le mariage de 1974, avec un personnage fictif, est falsifié, il ne l'est pas dans la troisième. Dans la première, la cause de la falsification est évidente : la mariée ne peut pas épouser celui qui est censé être son frère. Dans la seconde hypothèse, la cause de la falsification est énigmatique.
    Il y a aussi l'hypothèse du dossier NBI en 2022 (Annexe A 37), selon laquelle Jean-Michel Trogneux serait le père d'Emmanuel Macron. Elle peut se greffer sur chacune des trois hypothèses ci-dessus. Nous la croyons toujours très improbable et F&D ne l'a même pas évoquée. Aucun nouvel indice n'est venu la renforcer. Enfin, l'hypothèse de Natacha Rey (qui, début 2022, était dans les hypothèses Pressibus et F&D), selon laquelle Catherine Audoy serait mère des trois enfants, n'apparaît plus plausible.
    Nous formulons le voeu qu'une analyse ADN permette de savoir si Brigitte Macron est le père des trois enfants Auzière.



  7. Le 21 décembre 2023.
    1. 215 millions de doses de vaxxins Covid ont été jetées dans les différents pays de l'Union européenne, pour une valeur estimée à plus de 4 milliards d'euros (article). Quel énorme gâchis, alors que les soignants européens sont mal considérés et trop peu nombreux... On revit en plus important le gâchis des vaccins H1N1 (383 millions d'euros gaspillés en France, d'après la cour des comptes, article de 2011). Et la dette monte, monte... Plus il y a de Macron, pire c'est. Le bilan 2023 est terrible et c'est parti pour encore empirer... Et il faudrait protéger son romantique amour avec Brigitte ? Alors que c'est son talon d'Achille...

      Extrait de la couverture de "Paris Match" de fin mars 2023, image du site "La Macrothèque" et image sur Telegram.
      La Macrothèque présente une page de tweets de Jol Vil traitant des Trogneux, des Auzière... Et elle pointe sur un
      article montrant que Macron n'aurait déclaré que 3,3 millions d'euros sur les plus de 40 gagnés chez la banque Rothschild.
    2. Voilà deux ans que l'affaire Jean-Michel Trogneux, ou Brigittegate, a éclaté. La situation médiatique a évolué. Alors qu'en décembre 2021 et début janvier 2022, les médias bien pensants, de Valeurs Actuelles à Libération, souvent sur la base de l'AFP, poussaient des cris d'orfraie (la fameuse et honteuse "rumeur transphobe"), les réseaux sociaux s'enflammaient (vite partiellement censurés) et quelques rares petits médias indépendants reprenaient les informations de Natacha Rey et Xavier Poussard / F&D. Cette "rumeur" n'a guère faibli durant ces deux années et elle colle à Brigitte Macron comme le sparadrap du capitaine Haddock. Pardi, chacun peut se rendre compte que l'Elysée est incapable d'apporter un démenti factuel, simplement parce que Brigitte Macron est véritablement née Jean-Michel Trogneux ! Les preuves s'accumulent, les médias étrangers le disent de plus en plus largement, les journalistes français n'osent même plus prétendre que c'est faux et évitent le sujet... Le couvercle de la désinformation a été remplacé par celui de la censure, mais la vérité reste en ébullition. Jusqu'à quand le couvercle tiendra-t-il ?
    3. En cette situation intermédiaire, faisons un point de la situation sur la Toile francophone. Les médias généralistes se divisent en trois catégories :
      Les désinformateurs
      Arrêt sur images, 20 Minutes, AFP, Atlantico, L'Avenir, BFM TV, Blast, CNews, Conspiracy Watch, La Dépêche, Le Devoir, Les Envahis, Europe 1, L'Express, Le Figaro, Franc-Tireur, France-Bleu, France TV Info, Front Populaire, Le Huffington Post, Le Journal de Québec, Libération, La Libre Belgique, Marianne, Le Monde, Numerama, L'Obs, Ouest-France, Le Point, La Presse, Le Progrès, RTL, Senego, SeneWeb, Sud-Ouest, TF1, Valeurs actuelles, etc.
      Les non-informateurs
      Algérie Patriotique, Basta ! Le Canard Enchaîné, Challenges, La Croix, Les Echos, France-Soir, Le Juste Milieu, Médiapart, Le Monde Diplomatique, Pas si dupes Quartier Général, Sud Radio, La Tribune, TVA Nouvelles, Le Vilain Petit Canard, etc.
      Les informateurs
      Le 360, Agoravox TV, Apar.tv, Le Courrier des Stratèges, L'Echelle de Jacob, Egalité Réconciliation, Freelance Infos, Géopolintel, Jem'InformeTV, Le Libre Penseur, Le Média en 4-4-2, Moins de Biens Plus de Liens, Planète 360, Nakala.net, Profession Gendarme, Qactus l'Informateur, Regards sur l'Economie, Réseau International, Riposte Laïque, Top Vidéo Service, Les Zarceleurs, et c'est à peu près tout.
      Les "informateurs", selon les cas, prennent position ou adoptent une position neutre. Pour le futur, il serait bon d'ajouter une colonne "Les désinformateurs repentis", mais elle risque d'être réduite... En cet article, Lionel Labosse a élargi les "informateurs" à une liste de personnalités, artistes, humoristes, blogueurs...
      Faisons un détour par la page Wikipédia de Brigitte Macron et mémorisons son désinformateur chapitre "Affaire Jean-Miche Trogneux", sachant que la page Jean-Michel Trogneux n'existe pas et que celle sur la Famille Trogneux a été supprimée (l'ancienne). Terminons ce tour d'horizon Web par les moteurs de recherche, à commencer par le plus utilisé, celui de Google, interrogeons-le de la façon suivante (à la date d'aujourd'hui 21 décembre 2023, matin) :
      1. "Brigitte Macron". Réponses par onglets : Tous, Actualités, Images, Vidéos.
      2. "Jean-Michel Trogneux". Réponses par onglets : Tous, Actualités, Images, Vidéos.
      3. Trogneux Poussard. Réponses par onglets : Tous, Actualités, Images, Vidéos.
      Les deux premières requêtes ne montrent que des liens désinformateurs. Elles sont l'objet d'une sévère censure par l'Europe et Google, indiquée par cette phrase : "Certains résultats peuvent avoir été supprimés conformément à la loi européenne sur la protection des données". La dernière requête, non censurée donc basée sur les liens les plus visités, pointe sur des sites informateurs, sauf quelques exceptions. On comprend là qu'il convient de fuir les requêtes désinformatives avec le message de censure, et d'être inventif dans les libellés de requête...
      Avec d'autres moteurs de recherche, les résultats sont similaires, sauf que l'indication de censure est souvent absente (exemple avec Yahoo).
    4. L'interrogation Google sur Trogneux et "Pasteur Doucé" donne des résultats à peu près corrects, mais ne pointe pas sur la mystérieuse photo qui réunirait, on l'a supposé, Jean-Michel et le pasteur. Nous l'avons présentée en fin du Chapitre 24 et la voici à nouveau ci-dessous à gauche. Bien que son origine soit indéterminée, nous pensons fortement y reconnaître Jean-Michel Trogneux féminisée (la "Véronique" de l'émission de TV 1977, Chapitre 14) et, moins sûrement, le pasteur. Avec la nouvelle photo de Jean-Michel écolier, nous avons effectué une comparaison :

      Pour Joseph Doucé, la comparaison Betaface n'est pas possible, à cause de la tête trop penchée. Pour Jean-Michel Trogneux,
      la comparaison (77 et 69%) apparaît assez probante, confirmant qu'iel n'est pas la mariée de 1974 (63%).
      Dans le téléfilm "Faites entrer l'accusé" sur le pasteur, il a été trouvé une silhouette qui pourrait être... (1 2)
      Correctif du 8 janvier 2024 : la première photo serait prise à Amiens, avec Brigitte et une autre personne que le pasteur (lien 2017).
      Au Chapitre 24, nous avons soulevé, avec prudence, l'hypothèse que le pasteur Doucé pourrait être le père biologique d'Emmanuel Macron. Rien n'est allé en ce sens en 2023, mais le scénario, bien que relativement improbable, reste plausible et se superposerait aux trois hypothèses principales. Ainsi semble se terminer notre évocation des scénarios résultants des diverses recherches, à la fin 2023.
    5. Suite à son entretien avec Xavier Poussard, Eric Verhaeghe a été "conduit au commissariat menottes aux poignets" pour une garde à vue de 24 heures. C'est ce que révèle un article d'Henri Dubost du 21 décembre sur "Riposte Laïque", rappelant aussi les ennuis fiscaux supportés par Xavier Poussard (texte des propos de Poussard, suivi d'interrogations).












  8. Le 23 décembre 2023. Haut les coeurs, voici les fêtes de fin d'année, rions de nos malheurs... Voici une sélection d'illustrations...



    Ci-dessus, une sélections de tweets. Ci-dessous deux affiches parodiques de CPolitic et de La Macrothèque.


    Et, pour finir, deux attitudes étrangement similaires et une chanson à entonner en choeur ou à siffloter discrètement,
    intitulée "Brigitte Macron, c’est Jean-Michel Trogneux" (mp3, vidéo), par Monsieur Zurlu.



  9. Le 12 janvier 2024. A la mi-novembre 2023, la chaine de télévision C8, en son émission TPMP, animée par Cyril Hanouna, a fait l'apologie du détournement de mineur par adulte ayant autorité, en se basant sur le couple Brigitte - Emmanuel. Ce serait une belle histoire d'amour entre un professeur de 39 ans et son élève de 15 ans, racontée dans un numéro de Paris Match... Les commentaires sur Youtube de la vidéo de 13 mn 40 font foi de l'indignation des nombreux internautes qui ne sont pas dupes. Un exemple : "Sérieusement, vous avez pas l'impression qu'on vit dans un monde de fou ?". A 4'32" on apprend qu'avant d'être professeur Jean-Bri-Bri aurait été "attaché(e) de presse pour la chambre de commerce du Nord Pas-de-Calais", ce qui apparaît nouveau, et iel aurait passé le Capes avant d'être professeur, ce que l'on sait faux (Annexe A 32). Le matraquage publicitaire du couple Macron se poursuit donc. En janvier, comme chaque année, c'est l'opération médiatique des pièces jaunes, qui, notamment, aide les adolescents dont la santé mentale a été fragilisée par la gestion macronienne du Covid (lien). La prof de théâtre (au sketch hilarant) reste fascinée par les adolescents. Avec le soutien constant des grands médias, le déni de réalité verse dans l'outrance... Et trop de nos concitoyens se résignent encore au camouflage de ces mensonges d'Etat... Quand seront nettoyées les écuries d'Augias ?


    Début des 419 commentaires au 12 janvier. Et commentaires sur une pub Gala.

    Et pour cette nouvelle année 2024, rappelons notre hypothèse de 2022, confortée en 2023 :

    Ce schéma peut être accompagné de la lecture du préambule "Courtes réponses à 10 questions fréquentes".



  10. Le 14 janvier 2024. La nomination par Emmanuel Macron du nouveau premier ministre Gabriel Attal, le 9 janvier, est un effet flagrant de l'emprise des Young Global Leaders sur nos pays (voir une liste restreinte des YGL sur Wikipédia, compléments en liens de l'Annexe D 5). Ci-dessous, le panneau de l'affichiste Michel-Ange Flori et les extraits d'un article de Juan Branco illustrent la vaste manipulation qui propulse ce Macron boy. Ou plutôt Brigitte boy...

    Comment faisait-il ? Paris bruissait et commençait à s’interroger. Gabriel, lui, fonçait. C’est qu’après avoir fait le siège de son amoureux versaillais, Séjourné lui avait arrangé une rencontre auprès de Brigitte qui au gouvernement, auprès de Blanquer l’avait promu, et de Mimi Marchand et quelques autres proxénètes et trafiquants, l’introduisait. C’était eux qui, à la manoeuvre, avaient fabriqué ces articles que Paris Match et Bruno Jeudy s’étaient contentés de publier.
    [...]
    Gabriel avait compris que pour les êtres sans qualité, la solution était de courir, et de courir vite, sautant de maroquin en maroquin comme il irait de conjoint en conjoint, imitant Emmanuel Macron, c’est-à-dire recherchant ses promotions avant que le moindre résultat puisse lui être attribué. Avant que le moindre échec ne pût lui être imputé.
    [...]
    Agitation, mouvement et une importante équipe de communication – les seuls conseillers qui l’ont partout suivi traitent de ces questions : l’obsession, recouvrir l’imposture et se protéger de ses effets.



  11. Le 30 janvier 2024. Rémy Watremez anime avec faconde le blog Le juste milieu. Sa clairvoyance acide était d'une élégante pertinence lors de la crise Covid. Sur le sujet clivant du Brigittegate, il semblait se plier à l'omerta des grands médias. Il entre enfin dans ce qui pourrait être appelé le camp de la vérité, ou, pour le moins, celui de l'exigence de vérité. Il a étudié le dossier et a choisi ses angles d'attaque, privilégiant le détournement de mineurs et l'impact international, laissant de côté l'usurpation d'identité. Pourtant l' acte illégal du mariage de 2007 pourrait juridiquement justifier la destitution par les parlementaires d'un président de la République hors la loi, qui ne cesse de nuire à son pays. Comme l'avait prévu en début 2017 Alexis du Réau (chapitre 18), les manifestations s'enchaînent. Actuellement les agriculteurs tentent de bloquer la capitale, mais les moutons (médias, citoyens, parlementaires...) ne se décident pas à évincer la marionnette de l'Elysée...

    Deux images extraites de la vidéo de 35 mn, intitulée "Ce qu’il ne faut PAS dire sur Brigitte Macron". On lira avec curiosité les quelques 2.500 commentaires, montrant à quel point l'information s'est répandue, malgré l'omerta. A gauche la pédocriminalité de Brigitte ("Brigitte et le harcellement scolaire, c'est Zidane donnant des leçons de coup de boule", à 17'25). A droite, sur CNN en septembre 2022, Emmanuel feint de s'amuser du dossier 'French president" de Donald Trump (à 5'30). Ce dossier (lien) est toujours gardé secret, contrairement à ce que prévoyaient certains commentateurs.



  12. Le 15 février 2024. Le site "Faits & Documents" vient de publier la Une de son nouveau numéro, 528, entièrement consacré à "L'affaire Jean-Michel Trogneux", épisode 9 du "Mystère Brigitte Macron". 8 documents exclusifs et 5 photos inédites y sont annoncés. Avant d'en prendre connaissance et de les analyser, nous remarquons, à la lecture de l'éditorial, un tournant essentiel dans l'approche de Xavier Poussard. Jusqu'alors interrogatif et conditionnel, il est maintenant affirmatif : ""Brigitte" est en effet née homme sous le nom de "Jean-Michel Trogneux". Cet individu, qui se fait aujourd'hui appeler "Madame la Présidente" s'est fait connaître sous l'identité de naissance de sa soeur, Brigitte Trogneux". On y apprend aussi que, au terme de l'audience du 29 janvier dernier, le procès en diffamation intenté par "Brigitte" (et son double Jean-Michel Trogneux) contre de Natacha Rey et Amandine Roy (mais pas contre Xavier Poussard) (cf. P.S. 6 et P.S. 17) a été reporté en mars 2025. Encore un effort et on arrivera à la fin du mandat présidentiel. C'est la fuite en avant pour retarder au maximum la révélation du mensonge.


    Jean-Michel Trogneux, champion du monde de l'inversion accusatoire.
    Les moteurs de recherche présentent déjà en premier cette photo pour la requête "Brigitte Macron mensonges" (exemple).



  13. Le 19 février 2024. Le numéro 528 de Faits & Documents se décompose en deux parties. La première, de 5 pages, présente de nouvelles photos et des comparaisons associées. La seconde, de 11 pages, présente des pièces des trois procès intentés contre Natacha Rey et Amandine Roy. En tout, 39 pages des documents de jugement sont reproduites. Nous y reviendrons ultérieurement.

    La découverte de nouvelles informations permet de les confronter à la grille de lecture de notre scénario (des trois Brigitte Trogneux). Celui-ci pourrait s'en trouver conforté ou fragilisé, voire totalement invalidé ou confirmé. Dans le cas présent,nous restons dans un statu-quo, qui va plutôt dans le sens d'une légère consolidation. De son côté, Xavier Poussard reste sur son scénario précédent (des deux Brigitte Trogneux), restant aussi sur le statu-quo.


    Trois nouvelles photos de classe de Jean-Michel Trogneux, ci-dessus, sont présentées, de 1953, 1954, 1955. Les comparaisons avec Face++ confortent les ressemblances avec ses autres photos et celles de Brigitte Macron, ainsi que la dissemblance avec la mariée de 1974 et le "petit gros". C'est l'accumulation, maintenant impressionnante, de ces quasi-certitudes qui amènent Xavier Poussard à affirmer que Brigitte Macron est Jean-Michel Trogneux. Qui pourrait argumenter du contraire ? Et nous ajoutons la comparaison de voix avec Véronique la transexuelle en 1977 (lien dans le Chapitre 14) qui, à, défaut de comparer avec Jean-Michel, prouve que Brigitte est née homme. Ce sont là des preuves scientifiques qu'un Tribunal indépendant ne pourrait qu'accepter.


    Dans le cadre de son action en Justice contre Natacha Rey, Jean-Louis Auzière a fourni deux photos de lui-même, ci-dessus à gauche, datées de 1974, l'année du mariage. Ce sont là des confirmations de ce que nous avons admis le 19 décembre dernier (P.-S. 26) : Jean Louis Auzière n'est pas le marié André Louis Auzière photographié en 1974 et ce marié est l'individu en maillot de bain du document de décès de 2019 (photos ci-dessus à droite). C'est tout.

    Donc, quand Xavier Poussard, conclut que cela "referme définitivement la piste d'une équivalence entre les deux individus", ce n'est vrai que pour une équivalence totale, mais il est possible que, dans d'autres circonstances que ces deux photos, Jean-Louis Auzière ait pu prendre l'identité de André Auzière. Nous en avons d'ailleurs un indice probant dans la publication en 1969 d'un livre signé "André Auzière", : le fictif André Louis avait alors 16 ans environ et ne pouvait pas écrire un tel ouvrage de voyages. Voir la fin de l'Annexe A 30.

    Plus loin, dans ce numéro 528 (page 10), Xavier Poussard affirme à nouveau que "André Auzière et Jean-Louis Auzière sont bien deux personnes distinctes". Oui, mais, une fois de plus, il s'appuie sur les deux photos, en y ajoutant le livret de famille de ses parents (facile à corriger, pour des agents secrets) et une reproduction légendée de la photo de mariage. C'est léger, il est invraisemblable que d'autres photos, plus significatives, n'aient pas été présentées. Par exemple : André Louis fier de poser avec un de ses enfants qui vient de naître ! Ou entouré de ses trois enfants. Même pas une deuxième photo du mariage... Que Jean-Louis ait pris son identité ou pas est, après tout, accessoire, l'essentiel est que cet André Louis est, selon toute vraisemblance, fictif. Il n'existerait que par l'apparence de deux photos (la deuxième étant étrange), de vagues témoignages, d'un livret de famille, et des actes de mariage (célébré par celui qui a falsifié le mariage de 2007), de divorce (sur la foi du livret de famille ?), de décès (sous la présidence Macron), ainsi que trois déclarations de naissance. Sa famille apparaît incapable de présenter d'autres documents...

    Ah si : il est signalé (page 10) : "une photo de famille faisant figurer Jean-Louis Auzière et André Auzière", sans qu'elle soit montrée (pourquoi ? Et une comparaison avec la photo du marié...). Une telle photo et d'autres documents peuvent redonner du poids à un véritable André Auzière. Sachant, répétons-le, que démontrer que Jean-Louis n'est pas sur la photo de mariage, ou certaines autres, ne permet pas de conclure qu'il n'aurait jamais pris, selon les circonstances, l'identité d'André (comme pour le livre de 1969). Jean-Louis a grandi dans une famille d'agents secrets, l'un d'entre eux étant très haut placé (P.-S. 9), ce n'est pas à négliger, cela permet de fausser quelques actes et documents.

    Nous soulignons enfin que, dans ces nouveaux éléments, rien ne confirme que la mariée de 1974 serait Brigitte Trogneux née le 13 avril 1953 à Amiens. L'absence d'une telle confirmation conforte notre hypothèse de l'existence successive de trois Brigitte Trogneux (l'essentiel de l'argumentaire est dans le tableau du P.-S. 24). A nos yeux d'une probabilité un peu moindre, l'hypothèse de deux Brigitte reste tout de même très plausible.

    Ainsi, les trois hypothèses présentées en fin de P.-S. 26 (Pressibus, intermédiaire, F&d 527) restent présentes. On peut y ajouter une deuxième hypothèse intermédiaire : celle avec trois Brigitte et un André Louis Auzière réel (déjà présentée en "B2" dans l'encadré du P.-S. 24).



  14. Le 20 février 2024. Nous avons poursuivi la lecture de F&D n°528 avec les 39 pages de documents judicaires portant sur les trois procés intentés contre Natacha Rey et Amandine Roy. Nous avons déjà largement parlé des deux premiers, qui sont clos. Les seuls éléments nouveaux sont, pour le deuxième, les pièces fournies par la défense, signalés en fin du P.-S. précédent.

    C'est sur la troisième plainte, celle dont le procés est repoussé à mars 2025, que nous avons des révélations. Que reprochent les accusateurs, supposés être soeur et frère, Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux ? Les accusées auraient affirmé l'existence de "détournement de mineurs et de pédophilie". Cela est signalé assez brièvement, par trois fois, sans argumenter l'absence de détournement, comme si la diffamation était évidente, malgré les circonstances connues de la rencontre du jeune Emmanuel avec sa professeur de théâtre. L'essentiel de l'accusation, répété vingt-trois fois, porte sur le fait que, pour les accusées, Jean-Michel et Brigitte auraient falsifié des actes d'état-civil :


    A supposer que ces actes soient falsifiés, pourquoi donc Brigitte et Jean-Michel Trogneux les auraient-ils eux-mêmes faussés ? Il ne semble pas que Natacha et Amandine aient déclaré cela. On peut certes leur reprocher d'avoir estimé que des actes étaient falsifiés, mais les propos rapportés ne montrent pas qu'elles aient désigné les falsificateurs.

    De façon étonnante, Xavier Poussard écrit, en "Conclusion" : "[...] Aucun acte d'état-civil n'a été falsifié, ainsi que nous l'avons établi dans le n°527 de Faits & Documents [...]". Pourtant, les comparaisons de photos du n°527 n'établissent pas la validité d'actes administratifs. De notre côté, nous estimons qu'il peut y avoir plusieurs niveaux de falsification. Par exemple les actes de naissance des enfants Auzière peuvent être administrativement corrects (se basant notamment sur le mariage de 1974), alors que les parents déclarés sont faux.

    Ce qui est très curieux et extrêmement révélateur, dans ces accusations d'actes falsifiés, répétées avec tant d'insistance, c'est que le seul document dont on soit absolument sûr qu'il est falsifié n'est pas cité !! En effet, puisque, avec Xavier Poussard, nous sommes sûrs que Brigitte née Trogneux n'est pas la mariée de 2007 (le marié étant Emmanuel Macron), c'est qu'il est certain que cet acte a été falsifié ! On devine même par qui : par celui qui a officié la cérémonie, le maire du Touquet, Léonce Deprez, le grand ami du père à Jean-Michel (Annexe A 50). Et comme c'est lui aussi qui a célébré le mariage de 1974, il apparaît probable, avec ce que l'on sait d'autre, qu'il ait aussi falsifié cet acte.

    On se rend compte, là, à quel point cette troisième action judiciaire, comme les deux précédentes, évite au maximum de traiter le fond du sujet : Brigitte Macron est née homme.

    Un autre acte est aussi oublié : celui du mariage de Jean-Michel Trogneux et Véronique Dreux en 1980. Nous ne le croyons pas falsifié (Léonce n'est pas à la manoeuvre) et il prouve l'existence de Brigitté née Auzière, la Brigitte n°2 (Chapitre 30-2). La conclusion du dernier F&D se termine par : "Suite au prochain numéro"...



  15. Le 21 février 2024. Sous la présidence Macron, nous assistons à une décomposition impressionnante de la responsabilité des élus, députés et sénateurs, de tous bords. Peut-être par crainte d'être stigmatisés par les médias, ils se conforment à une "normalité" qui les rend transparents devant les décisions les plus arbitraires du monarque élyséen. C'était déjà criant lors de la crise du Covid, où la députée Martine Wonner était presque la seule à refuser clairement les diktats gouvernementaux. Comme le dit sa fiche bien pensante Wikipédia, elle a fait de la "désinformation" (et les ministres, et les médias, ils auraient informé ?), elle a formulé des "délires complotistes" (et le délire "Tous vaccinés, tous protégés" ?) et elle a été exclue de tous les groupes parlementaires. La stigmatisation complète. Le sénateur Alain Houpert avait alors agi dans le même sens, de façon un peu moins vigoureuse mais c'était déjà trop. Sa fiche Wikipédia (sans le mot "complotiste"), souligne tout de même sa condamnation pour "désinformation sur la pandémie de Covid-19". Bien sûr, la page Wikipédia dédiée à cette désinformation ignore celle d'origine gouvernementale (à part la disponibilité des masques), mais elle n'ose quand même pas nier l'efficacité de l'ivermectine, ni l'inefficacité des masques. Est-ce un léger progrès ?.

    Bref, alors que la France semble s'appauvrir de plus en plus, avec des révoltes populaires à répétition, alors qu'il apparaît très difficile de trouver 10 milliards d'euros manquants (lien), notre monarque, il y a un mois, a incité les parlementaires à augmenter très sensiblement le budget de l'armée (lien), abusant des mots "guerre", "menace" et "réarmement". Et voilà qu'il y a environ une semaine il a décidé, de son propre chef (le "fait du Prince"), de donner trois milliards à l'Ukraine pour que se poursuive l'effroyable boucherie rappelant celle de 14/18 (lien). Il n'y eut pas vraiment d'applaudissements, mais un silence général, comme si tout le monde regardait ailleurs... Même les paysans en colère n'ont pas osé dire que ces trois milliards les soulageraient. Ou ceux qui voulaient s'en indigner n'ont pas pu s'exprimer dans les médias. Il est pourtant invraisemblable que le mari/élève de Brigitte, la marionnette des USA, puisse dilapider une telle somme pour se montrer copain avec le jusqu'auboutiste de Kiev, qui refuse de comprendre qu'une partie russophone de ce qui était son peuple ne veut plus de ce qu'il représente. Les Français devraient pourtant savoir qu'on est en République et que, comme aux Etats-Unis ou dans les autres démocraties, ce sont les parlementaires qui décident de telles dépenses et de tels accords internationaux. La France serait-elle, à ce point, devenue une autocratie ?

    Heureusement, Alain Houpert est là, il est le seul à demander quelque chose d'élémentaire : que la Constitution soit respectée. Aux dernières nouvelles, il est rejoint par le député Nicolas Dupont-Aignan (vidéo), d'autres élus suivront peut-être. Il y a aussi les déclarations des anciens ministres Chevènement et Védrine. C'est tout à ce jour...


    P.-S. : il y a finalement eu un vote, le 13 mars (article), que les médias ont présenté comme voulu par Macron !

    Quant on constate un tel délabrement de notre démocratie, on comprend qu'aucun parlementaire n'ait encore eu le courage d'une Martine Wonner ou d'un Alain Houpert pour dénoncer le mensonge élyséen sur le sexe de la première dame. Or c'est parce que ce mensonge reste trop étouffé que le couple pervers de l'Elysée poursuit ses exactions.

    Pourtant, avec les deux derniers numéros de F&D, l'intime conviction que nous avions, que Jean-Michel est Brigitte, est devenue une certitude. C'est la réalité. Un pas est franchi. Nos élus peuvent donc l'affirmer, sans crainte de sanction judiciaire.



  16. Le 27 février 2024. Le calme avant la tempête ?

    Nous sommes médiatiquement dans une clandestinité toujours étouffée, mais de plus en plus active, avec une audience qui s'élargit. Les nouvelles preuves, l'absence complète de dénégation (le temps de la "fake news transphobe" est derrière nous) et les allusions écourtées convainquent un public de plus en plus large. C'est un secret de Polichinelle. Même Youtube ne censure plus. Une vidéo (11 mn) de Verdi accueille 13.000 vues et 400 commentaires en 2 jours, une autre vidéo (18 mn) de Pierre et Lena accueille 31.000 vues et 600 commentaires en une seule journée.
    Et encore une vidéo (8 mn), de Pagesse, avec Francis Lalanne : 190.000 vues et 1.900 commentaires en trois jours. Et, toute fraiche, une vidéo (18 mn), interrogative, intitulée "Polémique !", avec Lalanne et d'autres, par Dear Chriss : 22.000 vues et 400 commentaires en 21 heures.

    Les réseaux sociaux s'enflamment-ils ? Est-ce que le Brigittegate va éclater ? En surface, c'est calme.
    Il est loin le temps où le site officiel de l'Elysée montrait chaque mois de nombreuses photos des réceptions et visites officielles de la "Première dame". Pour ce mois de janvier 2024, ne sont publiées, ce matin, avec retard, que 5 photos (lien). Et le cinquième cliché officiel est particulièrement sinistre. L'enterrement de quoi ?

    Notez que des entretiens beaucoup moins visionnés sont aussi dignes d'intérêt. C'est le cas de la vidéo (15 mn) du 11 octobre 2023, de Nadine Touzeau, profiler, et de Bruno Roy-Henry, juriste. Ce dernier déclare que l'on peut considérer que "les élections [présidentielles] ont été truquées du fait que l'on n'ait pas présenté les personnes dans leur vérité".




  17. Le 1er mars 2024. La tension monte d'un cran avec l'intervention de Tiphaine Auzière dans le nouveau numéro de Paris Match, qui titre en Une sur le Brigittegate. Pour une avocate, elle défend piteusement sa mère. Elle n'avance aucun argument sur le fond du dossier, ni même un document, comme une photo d'elle, enfant, avec ses deux parents. Il n'y a que cette unique famille, pourtant d'apparence banale, à n'avoir jamais photographié ses jeunes enfants avec leurs parents. La fille cadette de Brigitte préfère s'en prendre à ce qu'elle nomme "la désinformation" (pourtant bien informée...) et "l'anonymat" (les centaines de milliers de personnes indiquées dans le post précédent ont signé leurs propos avec leur nom propre, peut-être pour la moitié d'entre eux...). Et la Justice serait trop lente alors que Brigitte a tout fait pour la ralentir (cf. P.-S. 6). Voici le passage incriminé, le reste des trois pages porte sur la promotion du roman "Assises" de Tiphaine, qui sortira le 6 mars, et sur la formidable et très humaine famille Auzière, qui embarque ses jeunes enfants (d'aujourd'hui...) dans un voyeurisme malsain (ils sont tous en photo non floutée), comme pour contre-balancer le manque de photos anciennes.


    Elle [Tiphaine] ne se rend pas sur X (anciennement Twitter), car la haine y déferle sans garde-fous : "Comment résister à la désinformation des réseaux sociaux ? En étant bien entouré. Mes enfants ont déjà entendu des horreurs à l'école, mais ils m'en parlent. Je ne minimise pas leur parole car, à l'échelle d'un enfant, les choses prennent une ampleur différente. Je ne ressens pas de souffrance mais de la colère face à la désinformation. J'ai une inquiétude sur le niveau de la société quand j'entends ce qui circule sur les réseaux sociaux à propos de ma mère qui serait un homme. L'aplomb de ce qui est affirmé et le crédit qu'on donne à ce qui est proclamé. Tout le monde peut dire n'importe quoi sur n'importe qui, et il faut du temps pour le retirer. Ma famille et moi sommes armées, unies, solides, mais la petite-fille dans le Pas-de-Calais qui s'est suicidée ? Il faut travailler sur la modération, l'anonymat en ligne, les délais trop longs de suppression des contenus." Dans les moments difficiles, ses ressorts et ses ressources sont la joie de vivre de ses enfants (8 et 10 ans) et le contact avec la nature.

    Brigitte aurait pu tenir des propos semblables : l'inversion accusatoire, la victimisation, l'exagération, l'indécence, jusqu'à la comparaison avec un enfant suicidé dont les grands-parents, eux, n'ont pas menti au monde entier. Un peu plus loin dans l'article, Tiphaine s'épanche sur la mort de son père, présenté comme "André-Louis" Auzière (alors que c'est "André Louis" sans tiret), en 2019 : "J'aurais aimé que les enfants connaissent mon père". Puisqu'ils ont 8 et 10 ans en février 2024, ils avaient 4 et 6 ans en décembre 2019, pourquoi donc n'auraient-ils pas connu leur grand-père tant adoré ? Quelle famille ! C'est encore un indice qui montre que André Louis est un personnage fictif. Certes Brigitte a, indirectement, prétendu qu'il était "reclus en hôpital psychatrique" (fin du Chapitre 29 + précisions), ce qu'avait vivement démenti Tiphaine. En fait, nous pensons que le décédé serait plutôt Brigitte née Auzière, le double féminin d'André Louis (autre inversion de sexe), mère biologique de Tiphaine, qui aurait pu aller en hôpital psychiatrique et qui serait décédée en 2019. Et pourquoi Tiphaine ne dit-elle pas si ses enfants connaissent leur supposé grand-oncle Jean-Michel Trogneux ?

    Un autre hebdomadaire, Marianne, évoque la masculinité de Brigitte, dans un article signé Tanguy Sanlaville. Est-ce un début d'affolement ? Le silence ne serait-il plus de mise, et laisserait-il la place à l'indignation, la colère, l'opprobe, l'attaque ad personam et ad hominem ? Là, pareillement, le fond de l'affaire est oublié, aucun argument n'est avancé. Seul un messager est visé, celui supposé être le pire de tous. Il s'agit de Francis Lalanne, dont les propos, on l'a vu dans le dernier post, ont eu un très fort écho sur Youtube. Tout y passe pour ce journal provax, macronien et russophobe. Celui qui s'est fait connaître comme un chanteur, ami de Léo Ferré, serait "bien paumé", "pourvoyeur de thèses complotistes", opposé au vaccin et au port du masque, défenseur de Poutine et Bolsonaro, allant toujours plus loin dans les "thèses paranoïaques". Et le summum, en conclusion, le pire tant il "semble toucher le fond", tenez-vous bien tellement c'est horrible : c'est qu'il "avance que Brigitte Macron serait en réalité un homme du nom de Jean-Baptiste [sic] Trogneux". Ouah, quel sketch, voilà qui est sacrément convaincant !


    Tenir un tel propos est le comble de la déchéance, selon le sérieux magazine Marianne

    Pourquoi aucune action en Justice n'est-elle menée contre un tel personnage, ni contre tous les autres. Et même, pour Natacha Rey et Amandine Roy, seules assignées en Justice, cela traîne tellement que l'on peut douter que ça aboutisse. Ces deux articles, et ceux qui suivront, aiguiseront une légitime curiosité. Et celle-ci sera guidée par les déclarations courtes ou longues d'internautes avertis (comme Lionel Labosse en son article "Comprendre le #brigittegate pour les Nuls"). Nous allons être de plus en plus nombreux à connaître le fond de l'affaire et à rigoler des gesticulations des chiens de garde. On préfèrerait que la France ne devienne pas la risée du monde entier, mais plus cette affaire durera, pire ce sera (ci-contre parodie).



  18. Le 3 mars 2024. Le journal anglais Dailymail / MailOnline a divulgué, en un article du 29 février, des extraits de l'article de Paris Match, prêt à être publié. On y trouve des propos qui en sont absents, probablement censurés (sous la pression de l'Elysée ?). Les voici, avec une insistance particulière sur "La relation interdite". Ce témoignage de première main confirme le "délit d'atteinte sexuelle sur mineur", dont parle Wikipédia, par personne ayant autorité.

    Dans une interview qui mettra mal à l'aise M. Macron et sa première dame, Brigitte Macron, Tiphaine Auzière admet qu'elle reste blessée par la "relation interdite" entre une enseignante mariée et un élève adolescent. Mme Auzière, qui vient de publier son premier roman, a également profité de son entretien avec Paris Match pour répondre aux affirmations selon lesquelles Brigitte serait née de sexe masculin.

    Mme Auzière n'avait que 10 ans lorsqu'elle a découvert que sa mère, enseignante, fréquentait un élève de 25 ans plus jeune qu'elle. Brigitte étant encore mariée, ses trois jeunes enfants ont dû faire face à des spéculations constantes sur cette "relation interdite" à Amiens, dans le nord de la France. Tiphaine Auzière admet qu'elle reste blessée par la "relation interdite" des Macron.

    "Les attaques, la médisance, les jugements. Ce n'était pas encore l'ère des réseaux sociaux, mais nous étions dans une petite ville de province. Tout se sait. Malgré tout, ils sont restés debout. J'y ai gagné une ouverture d'esprit, l'envie d'avancer sans écouter les bruits parasites, une plus grande tolérance". Mme Auzière a particulièrement regretté que son père, André-Louis Auzière, humilié, ait été contraint de quitter le domicile familial en 1994, même s'il n'a divorcé de Brigitte qu'en 2006, permettant ainsi à M. Macron de l'épouser un an plus tard. [...]

    Paris Match raconte que "Tiphaine Auzière était enfant lorsque le scandale a éclaté". Le magazine décrit comment "le jeune Emmanuel sonnait souvent chez les Auzière et les rumeurs se sont multipliées". Des rumeurs qui ont naturellement eu un impact sur les trois enfants du foyer. La soeur de Mme Auzière, Laurence, avait 17 ans à l'époque et était une camarade de classe d'Emmanuel Macron, qui a le même âge. Mme Auzière a déclaré que les rumeurs d'une "relation interdite" étaient horribles pour tous les enfants, y compris son frère, Sébastien, alors âgé de 19 ans. [...]

    Des images montrent le moment où Emmanuel Macron (à gauche), âgé de 15 ans, a embrassé sa professeure Brigitte Trogneux (à droite), âgée de 40 ans, en 1993, deux ans avant qu'il ne déclare vouloir l'épouser.


    [information fausse : ce n'est pas Emmanuel qui est sur cette photo. Une autre victime ?]
    [rappel : Emmanuel avait 14 ans, en 1992, quand il a rencontré Brigitte (Annexe A 10)]



  19. Le 4 mars 2024. Dans un article du 2 mars, "Le Média 4-4-2" fait le point sur l'affaire et publie un film documentaire soigné, avec de nombreuses illustrations d'un exposé de Xavier Poussard, résumant les diverses enquêtes de "Faits & Documents" sur Emmanuel Macron. Pour aller au-delà du dossier Brigitte et avoir une idée plus large de la perversion du couple élyséen, nous recommandons fortement le visionnage de cette >>>vidéo>>> d'une heure et 1 mn, intitulée "Les liens occultes de la Macronie". Il s'agit d'un rappel du "Média 4-4-2", qui l'a publiée il y a un mois (nous l'avions loupée...) sur Youtube, sans être censuré (114.000 vues à ce jour). En voici quelques copies d'écran.


    Les propos sur la très obscure enfance d'Emmanuel Macron laissent songeur. Nous avons évoqué, dans le dossier 2022, qu'il puisse être fils biologique du Pasteur Doucé, ou fils de Jean-Bri-Bri, ou fils biologique de son père officiel. Il est aussi évoqué qu'il puisse être fils d'un Rothschild (tant son ascension dans cette puissante banque a été fulgurante), et pourquoi pas de Bernard Arnault, l'homme devenu immensemment riche sous sa présidence (fortune multipliée par quatre, graphique, lien), mais aucune de ces hypothèses ne se dégage.

    Plus généralement, Xavier Poussard ne présente là qu'un ensemble de faits précis et dérangeants, sans qu'on ne saisisse vraiment ce qu'il y a derrière. Seulement quelques aperçus... Ils sont suffisamment inquiétants et concordants pour en conclure que le couple Macron doit dégager le plus rapidement possible. Et le moyen le plus efficace pour y parvenir, étant donné l'échec patent des autres méthodes, c'est le #brigittegate. N'oublions pas aussi, que l'on a le plus va-t-en-guerre des chefs d'Etat européens de l'Ouest (article), le seul à envisager d'envoyer des troupes défendre Zélensky. Ce prétendu grand démocrate ukrainien s'est auto-élu en supprimant les élections (article), grâce au chaos qu'il alimente obstinément. Le psychopathe Macron est capable d'agir de même.

    Il apparaît, notamment avec l'allègement de la censure, que certains soutiens de Macron commencent à le lâcher. La certitude que Brigitte est un homme déguisé en femme se répand, nous sommes de plus en plus nombreux à l'exprimer en notre nom propre. Lionel Labosse va même jusqu'à publier, au second degré, une "lettre ouverte au chef d’État sur les diffamations qui courent à son encontre". Chacun peut agir, à sa façon, en interpellant un élu, un ami, un média... Les derniers rebondissements montrent que l'on est sûr de notre information et que, si nous l'exprimons de façon convenable (sans négliger humour, sarcasme, tous les moyens de la liberté d'expression permis par la Loi), nous ne risquons judiciairement rien.



  20. Le 5 mars 2024. Tiphaine Auzière et sa mère biologique.

    Les propos tenus par Tiphaine Auzière ces derniers jours dans Paris Match retiennent encore l'attention. En lui appliquant le filtre de notre compréhension, certains d'entre eux se révèlent éclairants. Ainsi, quand elle dit "J'ai un père et un beau-père adorés" (sans citer sa mère), elle semble parler des époux Macron, mais on peut comprendre, en conformité avec le reste de ses propos, "J'ai des parents adorés", le père étant sa soit-disant mère Brigitte Macron et la mère étant l'effacée Brigitte née Auzière. En cela, comme l'écrit l'auteur de l'article, Marie-Laure Delorme, "Tiphaine Auzière s'exprime à mots comptés", en prenant garde à maquiller la réalité des faits. Quand elle parle de son père, le mystérieux et fictif, André Louis Auzière, nous pouvons comprendre qu'elle évoque sa mère biologique, tout autant mystérieuse mais réelle. Ainsi dans une réunion mémorable :

    La prestation de serment [de l'avocate Tiphaine] à la cour d'appel de Douai en 2009, est un moment marquant. Ses parents et son beau-père sont présents. Tout ce à quoi elle tient : l'aboutissement d'un travail, la réunion de la famille. Tiphaine Auzière effectue son stage de fin d'étude à Lille, chez Stéphane Ducrocq.


    La cour d'appel de Douai

    Tiphaine est une enfant qui a grandi avec des parents séparés, dans un contexte exceptionnel, très perturbant à vivre pour son jeune âge : son père, Jean-Michel Trogneux, a remplacé sa mère biologique, l'effacée Brigitte née Auzière, et, devant tout le monde, Tiphaine doit s'efforcer de le considérer comme sa mère, omniprésente. Inversement, sa véritable mère, possiblement de santé psychique fragile, vit cachée, sous un faux nom, près de Lille. L'adolescente y est beaucoup attachée et va la voir régulièrement, le week-end, quand son père féminisé va rencontrer à Paris son amoureux Emmanuel. On peut l'extrapoler, à partir de cette remarque : "Mon papa travaillait à Lille, il revenait le week-end. La semaine, j’étais avec ma mère et le week-end avec mon papa et maman allait voir Emmanuel" (Annexe A 16). C'est ainsi que Tiphaine a fréquenté Lille et sa banlieue Croix, d'où est natif son futur mari. Sa mère avait habité Croix, 5 résidence Flandre, de 1977 à 1984 (elle est dans l'annuaire sous le nom André Louis, Annexe A 30). Elle y est très probablement restée, sous un nom d'emprunt, après sa mise à l'écart en 1985. Tout cela explique l'attachement de Tiphaine à Lille et à Croix. Cela serait incompréhensible sinon : que viendrait faire à Lille une Amienoise, dont la mère est partie à Paris et dont on ne sait presque rien du père ? Ce dernier, qui, d'après Tiphaine, aurait quitté Amiens en 1994, est resté sur l'annuaire téléphonique de cette ville jusqu'en 2004.

    Dans ces conditions, on comprend l'émoi de Tiphaine quand elle a réuni, de façon exceptionnelle, ses parents biologiques, Jean-Michel et Brigitte, dans le cadre prestigieux de la Cour d'Appel de Douai, dont dépend le tribunal judiciaire de Lille. La présence de son beau-père Emmanuel montre à quel point il est impliqué dans la falsification des Trogneux.

    Cela ouvre de nouvelles pistes de recherche. A Croix, qui aurait pu être en contact avec Brigitte Auzière ? A Douai, qui aurait pu être présent à la prestation de serment de Tiphaine Auzière ? Y aurait-il des photos ?...

    La parole commence-t-elle à se libérer ? Voici ce qui pourrait être un accélérateur :

    L'article de Paris Match nous a apporté de nouveaux éléments. De même on peut espérer en savoir plus avec le livre d'Emmanuelle Anizon qui vient d'être annoncé à paraître le 22 mars. C'est le deuxième ouvrage consacré à l'affaire, le premier étant le présent dossier Pressibus, que chacun peut faire imprimer (par exemple chez CoolLibri), à partir du pdf de plus de 240 pages grand-format indiqué en haut de cette page. Mais, là, il y a un éditeur ayant pignon sur rue, StudioFact. Peu importe qu'il se positionne comme "Paris Match" ou comme "Faits & Documents", ou qu'il adopte une position intermédiaire se voulant neutre, l'essentiel est qu'il perce l'omerta médiatique, obligeant de nombreux autres médias à rendre compte du phénomène et peut-être du fond de l'affaire. Il est déjà en pré-vente.

    Emmanuelle Anizon, grand reporter à L’Obs depuis 2018 met la touche finale à un livre d’enquête intitulé «L’affaire Madame», sous-titré «Le jour où la Première Dame est devenue un homme : anatomie d’une fake news». L’ouvrage est annoncé chez la maison StudioFact éditions (Groupe StudioFact média) le 22 mars prochain. Cheffe du service société à L’Obs de 2015 à 2018, Emmanuelle Anizon a notamment travaillé pour L’Événement du jeudi, La Croix et Le Quotidien de Paris, avant d’intégrer Télérama en 2000, où elle fut successivement grand reporter, puis chef du service médias, de 2011 à 2015. Côté édition, elle a cosigné «Mon travail me tue Burn-out» (avec Jacqueline Remy, Flammarion) ou encore «Rester digne» (avec Ingrid Levavasseur, Flammarion). En télévision, elle a co-réalisé avec Rémy Burkel le documentaire «Un si long silence» sur l’affaire Sarah Abitbol et ses conséquences dans le sport français. Il a été diffusé en prime time sur France 2 lors d’une soirée spéciale en mai 2022. (lien)
    Annoncé avec 256 pages, en format 13 x 20,5 cm, au prix de 19,90 euros.

    Notons que, de façon très étrange, StudioFact a réalisé un documentaire titré "Usurpation d’identité : voleur", diffusé le 26 octobre 2023 dans "Envoyé Spécial", émission de France 2. Voici un extrait du résumé : " Chaque année en France, au moins 300 000 personnes seraient victimes d'usurpation d'identité et leur vie quotidienne deviendrait rapidement un enfer. Un chiffre en hausse constante depuis dix ans, avec l’essor des démarches en ligne. Pourquoi l’administration se laisse-t-elle si facilement berner par des usurpateurs sans foi ni loi ?" (lien). Hé oui, nous avons au plus haut sommet de l'Etat une usurpation d'identité par des usurpateurs sans foi ni loi, abusant d'une administration et de citoyens qui se laissent facilement berner !



  21. Le 8 mars 2024. Enfin, aujourd'hui, un journaliste de grand média, TF1 en l'occurrence, ose parler de l'affaire. Paul Larrouturou a carrément questionné le Président de la République. Voici la vidéo, de 1mn 15. L'AFP s'en est tout de suite fait l'écho par une dépêche parlant de "théories conspirationnistes", usant d'éléments de langage qui devraient aveuglément être suivis par les grands médias. "Le Parisien" l'a fait très rapidement en cet article, France-Info vers 19 h, TF1 bien sûr (article), etc. (notamment : Ouest-France, Le Figaro, Libération, beaux exemples de la désinformation robotisée)


    La réponse d'Emmanuel Macron est en grande partie conforme à ce que disait déjà Brigitte en janvier 2022, comme si rien n'avait évolué depuis. Les réseaux sociaux seraient en cause. "Faits & documents", les pages Web comme celle-ci et les faits révélés qui s'accumulent n'existeraient pas. Voici surtout ce qui est retenu : "Le pire, ce sont les fausses infos et les scénarios montés avec des gens qui finissent par y croire et qui vous bousculent dans votre intimité". Si des informations sont fausses, qu'il le prouve. En deux ans et demi, Brigitte en a été incapable ; et lui aussi, qui ose dire "Je ne laisse pas passer", alors qu'il a tout laissé passer. Il est pourtant très facile d'attester qu'on est une femme (photos avec ses enfants bébés, ADN, etc.). Les journalistes n'en sont pas encore à faire de telles remarques pourtant évidentes. Certains oseront-ils aller au-delà de la dépêche AFP ? Et ce n'est pas son intimité que l'on bouscule, ce sont les mensonges liés à l'intimité exposée dans Paris Match & Cie, avec son accord.

    Des éléments nouveaux apparaissent. La remarque sur les "scénarios montés avec des gens qui finissent par y croire" suggère une nouvelle stratégie, accusant des gens naïfs, "fadas" dit-il, qui se montent le bourrichon pour s'illusionner. En fait, c'est l'inverse, il y a d'abord des constats, reflets de la réalité reposant sur des bases solides (comparaison scientifique de voix, de photos), et confortés par un faisceau de nombreux documents et indices concordants. Ensuite, comme cela n'explique pas tout, les manques sont comblés par des hypothèses. La réalité dissimulée provoque des scénarios et non l'inverse.

    Les propos les plus surprenants sont, au début, ceux où il se plaint des "petits gestes du quotidien, des humiliations et vexations qui sont insupportables". Cela signifierait-t-il que le Brigittegate aurait pris des proportions beaucoup plus importantes que nous ne l'imaginions ? Le personnel de l'Elysée chuchoterait-il ? Et les délégations étrangères aussi ? Ou les sportifs en visite ? Comment le couple présidentiel peut-il continuer à habiter l'Elysée dans de telles conditions ? De plus, avec un tel déni présidentiel, cela ne peut que s'aggraver. Jusqu'à prendre des proportions invivables ?



  22. Le 12 mars 2024. Candace Owens est une journaliste US célèbre, avec 3 millions de suiveurs sur Youtube et 5 millions sur Twitter. Elle a publié hier une vidéo de 17 mn qui rencontre un grand succès outre-atlantique, intitulée "INSENSÉ. C'est le PLUS GRAND scandale politique de l'histoire de l'humanité" (reprise en sous-titrage français ici sous Odysée, ou sous Twitter). Elle s'appuie sur "Faits & Documents" et met un lien sur la page en anglais du dossier Pressibus. Déjà presque 800.000 vues et plus de 10.000 commentaires en 24 heures. Serait-ce un début d'effet Streisand ? Une reconnaissance de la réalité s'amorce-t-elle ?



    Cette affaire prend de l’ampleur et je tiens à souligner que, après avoir étudié la question, je suis prêt à parier ma réputation professionnelle sur le fait que Brigitte Macron est en réalité un homme. Tout journaliste ou média qui rejette cette possibilité est immédiatement identifiable comme faisant partie de l’establishment. Je n’ai jamais rien vu de tel de toute ma vie et les implications sont terrifiantes. Je ne compte pas abandonner cette histoire et j’appelle les autres journalistes à enquêter sur cette affaire explosive et à en parler ouvertement. [tweet]



  23. Le 14 mars 2024. Candace Owens a réalisé une nouvelle vidéo de 16 mn, donc voici une vidéo doublée en français, avec les commentaires de Pagesse.


    Tout d'abord Candace est dans le juste pour l'essentiel. Il y a ce dont on est sûr, c'est que Brigitte Macron est née Jean-Michel Trogneux. Tous ceux qui ont étudié sérieusement le dossier, sans idée préconçue, partagent ce constat. Et cela suffit pour que Macron et son mentor Jean-Michel dégagent, tant leurs infox dépassent l'entendement. Et il y a ce que Candace appelle des théories, ce que nous appellons hypothèses ou scénarios, où, là, selon les personnes, il y a des divergences, qui sont finalement assez accessoires. La plus importante porte sur l'identité de la mère des trois enfants Auzière.

    Ce sujet a déjà été abordé ici, notamment en P.-S. 24. Il y a deux hypothèses principales, celle de F&D 527 où Jean-Michel est l'oncle des trois enfants, Brigitte née Trogneux est leur mère et André Louis Auzière est un personnage réel, leur père. Il y a d'autre part celle du présent dossier Pressibus où Jean-Michel est le père des trois enfants, Brigitte née Auzière est leur mère et André Louis un personnage fictif. Nous avons donné onze raisons pour lesquelles nous croyons en notre scénario (dans l'encadré du PS24). Candace a adopté celui-ci, probablement pour les deux raisons les plus naturelles à comprendre :
    1. Jean-Michel trogneux a abandonné deux de ses enfants en 1984. Pour jouer le rôle de mère de trois de ses neveux ? L'attachement familial paraît très fort, il est bien plus vraisemblable qu'il soit leur père.
    2. Nous n'avons aucune preuve de l'existence d'André Louis. Ce n'est pas parce qu'il y aurait eu un André Auzière sur une photo ou sur un lieu de travail (traces écrites) qu'il y a eu un André Auzière père des trois enfants. Quelqu'un a pu prendre sa place de temps en temps, notamment pour le mariage et son travail, mais rien ne montre qu'il ait vécu en couple et ait eu trois enfants. Même sur la photo de 1991 montrant toute la famille Trogneux, il ne manque que lui et Brigitte Trogneux, soeur cadette de Jean-Michel (Annexe A 2). Connaissez-vous une famille de trois enfants sans aucune photo des enfants jeunes avec leurs parents ?

    Oui, nous pensons que, en l'état actuel de nos connaissances, la théorie présentée par Candace est la meilleure. Nous apportons toutefois quelques ajustements :
    • A cause de la démonstration de F&D 527, nous ne pensons pas que Jean-Louis Auzière et sa première épouse soient les (pseudo) mariés de la photo de mariage de 1974. Pour nous, ce seraient un acteur/ami et Brigitte née Auzière (P.-S. 33).
    • Le prénom Proba (comme Probable), c'est nous qui l'avons inventé, à titre provisoire, avant de l'appeler Brigitte, ce qui nous a été confirmé par la suite par un document officiel, daté de 1980, avec sa signature (Chapitres 27 partie 2 et 30 partie 2). Mais, après tout, Brigitte Proba Auzière est aussi valable que Brigitte née Auzière, car on comprend que ça reste une probabilité, à ce stade.
    • Effectivement l'amitié de Jean-Michel avec Jean-Louis Auzière est importante car les Auzière sont liés aux services secrets (Annexe A 31 et P.-S. 9), ce qui est conforté par le placement de Jean-Michel à Alger en 1963. L'amitié du père de Jean-Michel avec Léonce Deprez, maire du Touquet, qui a célébré les mariages de 1974 et 2007 est aussi essentielle, ayant bien facilité la falsification des identités.
    • Cette histoire n'est pas simple, Candace l'a compris en estimant qu'elle est "sombre et tordue" et qu'il y a eu des "tours de passe-passe". Vouloir trop la simplifier éloigne de la réalité des faits. D'ailleurs c'est parce qu'elle est compliquée qu'elle a si bien fonctionné jusqu'à présent !
    • En toute logique, cela amène à comprendre que l'origine de cet imbroglio est encore antérieure au mariage de 1974. Elle débuterait vers 1961 avec la disparition de la véritable Brigitte née Trogneux, remplacée de 1963 à 1984 par Brigitté "Proba", puis par Jean-Michel. On comprend alors que la falsification du mariage de 1974 avec un personnage fictif était nécessaire pour que Jean-Michel et Brigitte Proba puissent fonder une famille, car ils étaient officiellement frère et soeur, ce qui les empêchait de se marier.



  24. Le 16 mars 2024. Nous avons appris que le livre d'Emanuelle Anizon à paraître dans une semaine et présenté en P.-S. 40, sera fidèle à son sous-titre "Anatomie d'une fake news", dans la lignée des propos de Macron et des échos de l'AFP. A priori, le fond de l'affaire ne sera pas traité, sauf pour ressortir une virtuelle rencontre avec Jean-Michel Trogneux, à la manière de Moadab en 2022 (Annexe A 7). Nous ne l'achèterons donc pas et nous n'y reviendrons pas, sauf à apprendre quelque élément nouveau, vrai ou faux, sur le fond du dossier. Un correspondant nous a signalé cet enchaînement :


    Nous continuons à recevoir de nos correspondants des informations ou des formulations d'hypothèses. En voici une, comparaison de photos Face++, pouvant laisser croire que Monique Trogneux, soeur de Jean-Michel, bien qu'alors mère de trois enfants, aurait pu prêter ses traits à la photo de la mariée en 1974.


    Que ce soit vrai ou faux, cela ne change pas grand chose (si, pour disposer du vrai visage de Brigitte Auzière), ce n'est qu'une photo parue dans la presse. Comme nous l'avons vu en P.-S. 9, Georges Costes, témoin de ce mariage, oncle par alliance de Brigitte "Proba", a occupé, en une période très troublée, le très haut poste de chef des renseignements généraux en Algérie (photo ci-dessus à droite). Il est donc vraisemblable qu'il ait pris plusieurs précautions pour brouiller les pistes, de façon professionnelle et très crédible. Des comparaisons de photos ou des photos trafiquées (celle du mariage notamment), ou des témoignages ponctuels, notamment sur un lieu de travail, éventuellement avec une personne servant de couverture (on s'en doute déjà pour les photos de 1974 et 2019), ont pu être introduits pour donner l'illusion d'une réalité. Il n'empêche que, en dehors de ces artefacts éloignés des enfants Auzière, nous n'avons rien sur leur père. Et cela accrédite le fait qu'il soit Jean-Michel Trogneux.

    Les preuves dont nous disposons
    A ce stade, alors qu'aucun grand média n'en fait mention, il n'est pas inutile de rappeler que, dans cette affaire, nous disposons de plusieurs preuves, de nature scientifique ou administrative, et qu'aucune n'a été contestée à ce jour :
    • une par comparaison numérique de voix (ici au Chapitre 14), prouvant que Brigitte Macron est la transexuelle Véronique interviewée en 1977,
    • une par comparaison graphologique (ici au Chapitre 29), prouvant que Brigitte Macron n'est pas Brigitte née Auzière, la mariée de 1974,
    • une par une mention sur un acte de mariage de 1980, prouvant que Brigitte née Auzière a existé (ici au Chapitre 30, partie 2), témoin au mariage de Jean-Michel Trogneux en 1980,
    • deux par comparaison de photos avec le logiciel le plus évolué en la matière, prouvant que Brigitte Macron est la même personne que Jean-Michel Trogneux et, en plus, qu'elle n'est pas la mariée de 1974 (dans F&D 528, repris en P.-S. 33).



  25. Le 23 mars 2024. La sortie très médiatisée du livre "L'affaire Madame", au delà de la balourdise des infox qui l'accompagnent (extraits), donne un nouveau relief à deux points déjà étudiés :

    1. Sachons dissocier les cas Michelle Obama et Brigitte Macron.
      En Annexe A 23, nous avons évoqués le "précédent Obama". Nous n'avons pas d'opinion sur la nature transsexuelle de l'épouse de l'ancien président des Etats-Unis. Sur Europe 1 (vidéo de 10 mn 14), Emmanuelle Anizon amalgame d'abord tous les cas semblables, puis elle différencie fortement les deux affaires (à 9 mn 15) : "C'est une stratégie [celle de Brigitte Macron] très différente de celle de Michelle Obama, qui, elle, a beaucoup communiqué sur son enfance, a écrit, a laissé un documentaire, a fait parlé sa famille. Effectivement, on est là face à un silence de Brigitte Macron, d'une famille qui ne parle pas". Sur France Culture (vidéo, de 33 mn 15), Anizon tient des propos semblables et conclut (à 29mn 54) que la volonté de transparence dont a fait preuve la famille Obama a eu un "certain effet". "Se murer dans le silence" ne serait pas la solution. Pardi, c'est sans solution : un mensonge ne peut pas se transformer en vérité quand les preuves sont là...

    2. Sachons marginaliser les pantins censés donner vie à des fantômes.
      Emmanuelle Anizon prétend avoir rencontré Jean-Michel Trogneux (extrait de son livre). Nous avons déjà dit que cela ressemble étrangement aux propos de Moadab en 2022 (Annexe A 7, où il parle aussi du "petit gros"). Cela rappelle cet extrait de document judiciaire montré dans F&D 528 : "La photographie de Monsieur Jean-Michel Trogneux, à divers moments de sa vie, a été publiée sans aucune autorisation, certaines photographies ont été modifiées, colorisées, recadrées". Mais de quelles photographies parle L'Elysée ? Une seule photo de Jean-Michel était connue à cette époque là (avant F&D 527 et 528) : celle de la photo de famille de 1954. Il semble bien qu'il s'agisse des photos du "petit gros". L'Elysée serait donc, là, en train d'enfumer la Justice avec son clone... C'est la même tactique qui avait été employée pour faire croire à l'existence de André Louis Auzière : l'utilisation ponctuelle de doublures, dont le marié de 1974 et le tondeur de pelouse (Chapitre 9)... Ce ne sont que des tromperies laborieuses...


    A voir cette photo de la presse étrangère (notamment en Une du Daily Telegraph, lien), montrant un Macron hyper musclé, le paranoïaque devient grotesque, toujours plus dangereux... En deux vidéos (1, de 23 mn, et 2, de 36 mn), l'anthropologue Jean-Dominique Michel s'exprime sur l'affaire. A la fin de la seconde vidéo, il se demande si, au début de tout cela, il n'y aurait pas une affaire d'inceste. En ce cas, pour nous, ce serait avant 1953 et la transformation d'une nièce en soeur (fin de l'Annexe 11)... Cette consanguinité, peut-être trop voyante, pourrait expliquer la disparition non déclarée de la jeune Brigitte vers 1961... La double vidéo est à conseiller pour ceux qui connaissent mal l'affaire et ses implications...



  26. Le 25 mars 2024. Un gros mensonge de Jean-Louis Auzière ou une confusion ?

    Le principal intérêt du livre d'Emmanuelle Anizon pourrait être le compte-rendu de son entretien avec Jean-Louis Auzière. Comme d'habitude, dans les propos des Trogneux et des Auzière, vrai et faux sont emmêlés. Mais là, il y a un mensonge flagrant sur lequel il nous est facile d'argumenter, étant donnée la documentation que nous avons accumulée (Annexes A 18, A 30, A 31), documentation que Jean-Louis, comme son interlocutrice journaliste, n'ont guère consultée. Il s'avère que Jean-Louis Auzière ment sur un point particulier très important : la date de naissance du supposé André Louis Auzière, à Eseka, au Cameroun.

    L'année de naissance de André Louis Auzière
    selon Jean-Louis Auzière : 1941 selon la généalogie familiale : 1951 selon l'administration : 1950/1954
    Jean-Louis m’explique qu’il a bien connu André. "Il est né et a grandi en Afrique, mais il revenait régulièrement en France. On a passé une partie de notre enfance ensemble, à Cannes, dans la maison de famille. C’est un neveu, mais par un jeu de décalage de générations, ma mère m’ayant eu très tard, je suis de la même génération que lui. On est nés à un an d’intervalle, moi en 1942, lui en 1941. Et hasard du calendrier, on est nés à la même date, le 28 février tous les deux"
    Source : livre "L'affaire Madame", Emmanuelle Anizon, 2024. Source : geneanet, base kensi13 de Nicolas Terry, petit-neveu de Jean-Louis. Source : Dictionnaire biographique des anciens élèves de l'Ecole Nationale de la France d'Outre-mer (2003)


    Certes, une erreur peut se glisser dans une généalogie familiale. Celle-ci apparaît être réalisée très sérieusement par un très proche. Le détail ne laisse pas de doute : Louis et Renée, les parents de André Louis, se sont mariés le 7 décembre 1939, leur premier enfant, Line, est née le 6 mars 1941. Un autre enfant de 1941 ne pourrait être qu'un jumeau né le même jour, et non un 28 février. De plus, en 1941, la famille de Louis Auzière vivait au Soudan, pas au Cameroun ! C'est ce qu'affirme un dictionnaire des anciens élèves, qu'il apparaît très difficile de falsifier. Enfin, entre 1947 et 1955, il apparaîtrait naturel que soit né un enfant, dans une famille qui en comptera six. Même Emmanuelle Anizon confirme la naissance en 1951, quelques pages plus loin : "André Auzière, selon son acte de décès, est mort le 24 décembre 2019 à l’hôpital Georges-Pompidou, dans le XVe arrondissement de Paris, à l’âge de soixante-huit ans". 2019 - 68 = 1951. De plus, Jean-Louis Auzière n'est pas né en 1942, comme il le prétend, mais en 1943, comme le prouve son acte de naissance, mentionnant son second prénom, devinez : André ! Serait-il un menteur pathologique ? Un manipulateur d'identités ?

    En conclusion : Jean-Louis André Auzière ment. Pourquoi ? Là, nous ne saurions être certains, mais tout de même... Nous estimons dans ce dossier que ce n'est pas le personnage fictif André Louis Auzière qui est né à Eseka au Cameroun en 1950/1954, mais Brigitte "Proba" (à notre avis davantage vers 1953, date de naissance de Brigitte Trogneux, qu'en 1951). Cette substitution est très ancienne (1961 environ) et Nicolas Terry, le généalogiste de la famille Auzière, a pu recevoir des données frelatées sur ce point précis (d'ailleurs, il met un tiret à "André-Louis") et les prendre en compte de bonne foi. Déplacer la date de naissance du supposé André Louis Auzière de 1950/54 à 1941 n'est pas neutre : elle rend impossible la confusion André Louis / Brigitte "Proba". Et on retrouve alors l'André Auzière qui, en 1969, donc à 28 ans, publiait un "livre rond" "Voeux de 83 pays" (fin d'Annexe A 30). Y'a-t-il eu confusion entre l'André Auzière d'avant 1974, né en 1941, et celui d'après 1974, né en 1951 ? Entre la première fiction et la seconde ?



  27. Le 27 mars 2024. Probablement à cause d'une censure Youtube qui se relâche, une ancienne vidéo (de 42 mn 11), de début février 2023, que nous ne connaissions pas, ressort. Elle traite des trois procès intentés à l'encontre de Natacha Rey et Amandine Roy. La troisième partie, la plainte des Auzière, en est absente, pour être devenue obsolète, le dénouement ayant eu lieu le 1er juillet 2023 (P.-S. 11). La deuxième montre comment la stratégie de la défense, menée par Maud Marian, a été pertinente, les Macron-Trogneux ayant été déboutés (P.-S. 4).

    La première partie garde toute son actualité, car elle traite de la plainte en diffamation encore en cours. Extrait des propos de Maud Marian (à 4 mn 15) : "Contrairement à ce qu'on pourrait penser et à ce que certains médias ont laissé entendre, la diffamation ne porte pas sur le changement de sexe, ou pas, de Jean-Michel Trogneux, elle porte uniquement sur des aspects que je peux considérer, moi, comme secondaires. Premièrement la falsification des actes d'état civil, [...] deuxièmement tout ce qui tient au divorce de Brigitte Macron [...], troisièmement l'affirmation d'un détournement de mineur de la part de Brigitte Macron vis-à-vis d'Emmanuel Macron". Sur ce dernier point, "On reproche à Natacha et Amandine d'avoir dit que Brigitte Macron et Jean-Michel Trogneux avaient commis des actes de pédophilie vis-vis d'Emmanuel Macron. Quand on lit ça, c'est tout de même croustillant parce que la stratégie qui consiste à contourner le sujet aboutit à cette espèce d'absurdité. [...] Jamais on a prétendu que deux individus différents avaient commis cet acte."


    Pâques arrive, sourions nous aussi avec cette vidéo-parodie de la chanson d'Edith Piaf "Mon malaise à moi", par Sarah Jane Iffra (3 mn) (mp3) et avec la vidéo-confessions intimes d'une "femme" en souffrance, avec perruque, la chronique d'AuBonTouite sur Radio Courtoisie (7 mn 43).

    De l'eau a coulé sous les ponts. Natacha Rey, qui affronte une grave maladie, s'est mise en retrait et a confié sa défense à Me Danglehant (P.-S. 17). Pour nous, même si elle s'est trompée pour la mère, elle a vu juste en estimant que Jean-Michel Trogneux est le père des enfants Auzière. Amandine Roy est toujours défendue par Me Marian. Et la Justice ne se presse pas, il a déjà été signalé (P.-S. 32) que le prochain épisode est pour mars 2025 (P.-S. du 4 avril : avancé au 19 juin 2024).




    Le point de la situation au 2 avril 2024
    (similaire au dossier 2022 et au point 2023, dans une approche différente)
    JMT = Jean-Michel Trogneux. JLA = Jean-Louis Auzière.

    Avertissement : ce scénario Pressibus est basé sur les options les plus vraisemblables du dossier BrigitteGate, au vu de la documentation, forcément incomplète, rassemblée depuis trois ans malgré l'omerta. Interrogations et conditionnels sont artificiellement exclus, alors que de nombreuses variantes sont évidemment envisageables.
    Pré-requis : ce déroulé chronologique s'adresse à ceux qui ont intégré l’équation JMT = Brigitte Macron.

    1. Les années 1960
      • Dès cette époque, le scénario se déroule tout entier au sein de deux familles alliées : les Trogneux, chocolatiers à Amiens, et les Auzière, administrateurs et agents secrets du gouvernement français en Afrique francophone.
      • Marius Auzière, "officier interprète et du Chiffre" en Tunisie, a pour fils Louis et JLA, pour gendre Georges Costes, grand responsable des Renseignements Généraux en Algérie dans les années 1950 (A 31, PS 9).
      • Chez les Trogneux, la saga commence par un drame : le décès prématuré, en 1961, de la petite Brigitte, cadette de la fratrie, née en 1953 (Ch. 28). La cause est inconnue, non documentée à ce jour, car le décès n’a pas été déclaré. Elle est Brigitte n°1.
      • Dès 1963, une nièce de JLA et fille de Louis, Brigitte "Proba" Auzière, née au Cameroun entre 1951 et 1953, quitte Madagascar pour Amiens où elle est adoptée par les Trogneux en remplacement de leur petite Brigitte décédée. Elle fréquente dès lors le Collège du Sacré-Coeur à Amiens où tout le monde la considère comme fille des chocolatiers. Elle est la Brigitte n°2.
      • Toujours en 1963, JMT le frère de la Brigitte décédée, de huit ans son aîné, se trouve à Alger. Il fréquente le lycée Notre-Dame d’Afrique et le pensionnat Saint-Joseph El Biar, où il côtoie JLA (Ch 25), avec qui il se lie d'amitié. En cette période très troublée, il remplit une mission pour les services secrets, en contrepartie du remplacement de Brigitte : un échange de bons procédés entre les deux familles.
      • JMT fait son service militaire en Allemagne, après quoi il séjourne aux USA aux alentours de 1969. Il a alors 24 ans et rentre peu après à Amiens.
      • Chez les Auzière, JLA aime se dédoubler en utilisant son second prénom : André. En 1969, à 26 ans, sous le pseudonyme d'André Auzière, il publie un mini-livre basé sur ses voyages autour du monde (A 30). Juriste de formation, il est marié et père de deux enfants depuis 1966.

    2. Les années 1970
      • JMT ouvre, en 1973, une quincaillerie à côté d’Amiens. Il se rapproche de sa soeur adoptive Brigitte "Proba". Ils veulent fonder un foyer et se marier.
      • Les deux familles ne veulent pas s'y opposer, bien que JMT et Brigitte soient censés être frère et soeur. Un stratagème est mis en place autour d'un mariage truqué. Après des fiançailles en fin 1973 (A 48), ce mariage est organisé l'été suivant au Touquet (A 43), où les Trogneux sont solidement implantés et étroitement liés au maire de l’époque, Léonce Deprez, complice du subterfuge. En tant que marié, JMT est remplacé par un figurant censé s’appeler André Louis Auzière, en réutilisant donc le pseudo de JLA. Les parents Auzière et Trogneux sont là, l'oncle Georges Costes est témoin, comme s'il signait l'usurpation d'identité, soigneusement préparée (photo dans le journal etc.). Et, comme un clin d'oeil, JMT est aussi témoin !
      • Le couple semi-clandestin se retrouve à Issy les Moulineaux, puis à Croix, près de Lille. Il a son premier enfant, Sébastien Auzière, en 1975.
      • 1977 : second enfant, Laurence Auzière. La même année, l’époux, JMT, entame une transition de genre qui va durer sept années (il apparaît comme la transsexuelle Véronique, dans une émission de télévision, Ch. 14).

    3. Les années 1980
      • En dépit de sa transition de genre, JMT, père clandestin des deux enfants susnommés, se marie en 1980 à Véronique Dreux, avec qui il gère une boutique à Beauvais (A 38). Il s’agit d’une bigamie cachée puisque le premier mariage est un arrangement illégal. Nous trouvons, en témoin de ce mariage de 1980, Brigitte "Proba" Auzière, la première épouse, comme un autre clin d'oeil, symétrique de celui de 1974.
      • Du second mariage, celui de 1980, naissent bientôt deux enfants : Jean-Jacques en 1982, et Valérie en 1984.
      • Mais JMT donne simultanément un troisième enfant à sa première épouse Brigitte Auzière : Tiphaine, en 1984.
      • Tout cela est dur à gérer pour les deux femmes. Elles n'en peuvent plus de ces vies de mensonges et dissimulations, et veulent y mettre fin. Pour Véronique, un divorce suffira, mais pour Brigitte "Proba", c'est plus compliqué à cause du mariage truqué de 1974 et du mari fictif André Auzière. Elle est exfiltrée, séparée de ses enfants et remplacée par... leur père, qui rend alors définitive sa transition de genre.
      • C'est ainsi que JMT, quadragénaire, devient Brigitte n°3, à la fois Brigitte Trogneux n°1 à l'état civil, et Brigitte n°2 pour l'état social. Il reste tout de même jean-Michel en quelques occasions (notariales, judiciaires...), gardant son numéro de sécurité sociale et sa carte d'électeur. Avec ces trois identités, nous le nommons "Jean-Bri-Bri".
      • Un dépaysement est nécessaire pour réussir l'opération. JMT et ses trois enfants s'installent en Alsace, à Truchtersheim, habitant un pavillon, dans un environnement social entièrement neuf. Après sa quincaillerie d’Amiens et son magasin de Beauvais, il s’essaye à l’enseignement, d’abord par des remplacements au plan local, puis dans un collège privé pour filles à Strasbourg.
      • JMT est aidée par JLA, qui, pour les voisins, donne l'illusion d'un père très occupé par son travail de banquier. A la "Banque française du commerce extérieur", JLA, "conseiller du commerce extérieur", trouve quelques complicités pour faire illusion. Mais l'insaisissable André Auzière n’a laissé ni photographies ni documents écrits...
      • Délaissée avec ses deux enfants, la seconde épouse, Véronique Dreux, divorce en 1987, et se remariera par la suite.
      • Le sort de Brigitte "Proba" Auzière après 1984 a été très soigneusement dissimulé, mais des indices la localisent dans la région de Lille.
      • En Alsace, Jean-Bri-Bri, quadragénaire, professeur de français, est une mère de famille modèle et très occupée, se présentant même à une élection municipale à Truchtersheim en 1989 (A 36).

    4. Les années 1990
      • En 1991, le nouveau Brigitte Auzière obtient un équivalent privé du CAPES (A 32) et revient sur Amiens, siège de sa famille, où il obtient un poste au collège/lycée La Providence. Il rencontre en 1992 un collégien nommé Emmanuel Macron (né en 1977) à qui il enseigne le théâtre. La suite est connue.

    5. Les années 2000
      • Un événement est à retenir. Après avoir mis fin au mariage de 1974 par un divorce en 2006, JMT épouse civilement Emmanuel Macron en 2007. Le mariage entre hommes étant alors interdit, et la nouvelle Brigitte Macron ne voulant pas dévoiler son usurpation d'identite, il est à nouveau fait appel à l'ami Léonce Deprez, toujours maire du Touquet, pour valider les apparences. La famille Macron est absente, sauf la grand-mère, Manette.

    6. Les années 2010
      • 2019. Brigitte "Proba" Auzière décède. Officiellement, cela se traduit par le décès de sa doublure masculine André Louis Auzière, l'officiel père des trois enfants Auzière. Pour qu'il en soit ainsi, Emmanuel Macron, avec la puissance de sa fonction de président de la République, prend les choses en main. Rien ne filtre des obsèques : les journaux ne l'apprendront qu'un an plus tard, par sa fille Tiphaine.

    Nota bene : la non-déclaration d’un décès et l’usurpation d’identité (surtout au sein d'une même fratrie) ne sont pas des phénomènes rares dans la société française, même s'ils sont peu connus. Ce scénario, bâti sur la connivence de deux familles, n'est donc ni absurde, ni extravagant. Il n'a pu s'imposer que par la succession de trois altérations de réalité, aux périodes charnières de 1962, 1974, 1985, ainsi que par la grande habileté et l'endurance dont ont fait preuve les organisateurs de cette saga, à travers plusieurs décennies.
    En complément : l'arbre familial du 12 janvier dernier.



  28. Le 11 avril 2024. Le mystérieux André Louis Auzière.

    Commençons par rappeler les principaux scénarios avancés jusqu'à présent :

    Scénario : Thèse officielle 1985 / 2007 Natacha Rey 2021 Pressibus 2022 F&D n°527 2023
    Nom de naissance de Brigitte Macron Brigitte Trogneux Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux
    Père biologique des trois enfants Auzière André Louis Auzière Jean-Michel Trogneux Jean-Michel Trogneux André Louis Auzière
    Mère biologique des trois enfants Brigitte (née) Trogneux Catherine Audoy (2ème épouse de Jean-Louis Auzière) Brigitte "Proba" (née) Auzière Brigitte (née) Trogneux
    Brigitte (née) Trogneux est fictive non oui non non
    André Louis Auzière est fictif non oui oui non
    Brigitte "Proba" (née) Auzière existe non non oui non
    Jean-Michel Trogneux est l'oncle des trois enfants oui non non oui
    Plausible/Probable non/non non/non oui/oui oui/non
    Pourquoi ? Brigitte Macron, née homme, n'est pas la mariée de 1974 Brigitte Trogneux née en 1953 a existé, Catherine Audoy n'est pas mère des trois enfants La présence de Brigitte "Proba" Auzière est avérée comme témoin du mariage de 1980 (Chap. 30 part. 2) Il apparaît probable que André Louis Auzière, en tant que père des trois enfants, soit un personnage fictif
    Remarque C'est l'actuelle version des grands médias, ignorant les nouveaux éléments Début 2022, le scénario Natacha Rey 2021 était aussi celui de F&D et de Pressibus

    Il ressort de ce tableau deux points de divergence principaux : l'existence, avérée ou fictive, de deux personnes, Brigitte "Proba" Auzière et André Louis Auzière. Si nous n'avons rien à ajouter sur la première, de nouveaux éléments sont apparus sur la deuxième, en provenance de trois sources :

    1. En une page titrée "L’Affaire Madame ou la stratégie du en même temps - Lettre ouverte à Emmanuelle Anizon", l'historien Dominique Droin évoque le flou invraisemblable qui entoure la présentation d'André Auzière dans le livre d'Anizon. Outre les erreurs de dates de naissance que nous avons signalées en P.-S. 46, l'auteur souligne que Brigitte Macron, si l'on suit les déclarations qu'auraient faites Jean-Louis Auzière à Emmanuelle Anizon, s'est abstenue "de certifier par écrit que c’était bien elle sur la photo de mariage de 1974 avec André", alors qu'elle accédait à une autre demande. Refus très révélateur. Et une embrouille "à y perdre son latin" sur de "drôles de témoin". Il en conclut que cela "laisse planer un sérieux doute sur l’existence même d’André".

    2. Une vidéo de 38 mn 47, intitulée "Brigitte Trogneux - l'étrange famille", d'un dénommé Zeldark, est consacrée au décryptage du mariage de 1974, apportant aussi un élément complémentaire sur la naissance de Brigitte Trogneux en 1953. Il fait un point sur les parutions de l'annonce de mariage, montrant combien le maire du Touquet, Léonce Deprez était impliqué dans les imprimeries des journaux locaux, dirigeant celle des "Echos du Touquet", permettant ainsi les manipulations dans la presse (provoquant des bizarreries difficiles à cerner). Comme nous l'avons fait ici, il montre la forte implication des services secrets dans ce mariage, notamment avec Georges Costes (photo). Au-delà, il apporte un nouvel éclairage sur les liens avec la ville d'Alger, par une voisine et cousine des Trogneux, Jacqueline Ledoux, proche de hautes autorités de cette ville. C'est probablement avec elle que le jeune Jean-Michel prit l'avion la première fois... Ajoutons le Rotary Club, probablement aussi la franc-maçonnerie : il y avait là de quoi tisser le lien Trogneux - Auzière. Pour Zeldark, ces réseaux et la présence concomittante du "parrain" Léonce Deprez et des "barbouzes" Auzière et Costes ne laissent guère de doutes sur l'existence de malversations effectuées avec professionalisme. On est très loin d'un mariage banal avec un André Auzière banal stagiaire et une Brigitte Trogneux benjamine d'une banale famille bourgeoise d'Amiens...

    3. Les propos de Candace Owens sur l'absence de photos de famille ont provoqué quelques remous chez les Auzière, si bien que l'un des trois enfants, Laurence, a cru bon de présenter une photo d'elle, petite. Il est sûr qu'à trois ans, vers 1980, entourée de son père et de sa mère, cela aurait pu apporter un important élément factuel. On n'aurait pas manqué d'observer si le papa ressemblait au marié de la photo de 1974 et si la maman ressemblait à Brigitte Macron. A l'inverse, présenter une photo de la fillette Laurence seule sur une balançoire n'a aucun intérêt et prouve, a contrario, qu'aucune photo d'elle avec ses parents ne peut valider la thèse officielle. Plus généralement, il apparaît impossible de montrer le père des trois enfants avec, au moins, un d'entre eux. Il est un fantôme...


    Complément : l'arbre du cousinage Trogneux-Ledoux. Montrant sa méconnaissance du sujet, "Le Figaro" s'est emmêlé les pinceaux sur la photo de Laurence Auzière, d'abord attribuée à Brigitte Macron (différences : 1 2). Natacha Rey (à droite) a publié un tweet expliquant son état d'esprit face à la maladie et à l'avancement de son procés au 19 juin prochain.



  29. Le 20 avril 2024. Analyse graphologique.

    Nombreux sont nos concitoyens avertis de la supercherie Jean-Bri-Bri et restant dans le doute, refusant de prendre position, en estimant qu'il n'y aurait pas de preuve que Brigitte Macron (BM) est Jean-Michel Trogneux (JMT). Or nous disposons de preuves scientifiques et administratives, elles ont été rappelées ici le 16 mars dernier.

    Pour appuyer ce propos, nous revenons ici sur une démonstration graphologique que nous avons déjà présentée en fin de Chapitre 29, à la mi-septembre 2022 et que nous allons développer à nouveau, sur des bases légèrement différentes.

    Nous disposons de cinq écrits manuscrits, que la thèse officielle attribue à la même personne Brigitte Macron , qui serait née Brigitte Trogneux, devenue Brigitte Auzière par son mariage de 1974. Les deux premiers écrits sont attribués à Brigitte Auzière (peu importe ici qu'elle soit réeellement ou faussement née Trogneux), les trois dernières sont signées Brigitte Macron :
    1. la signature de Brigitte Auzière en tant que témoin du mariage du 24 novembre 1980 (texte) ; c'est le mariage de JMT avec Véronique Dreux (ce qui nous assure déjà que JMT n'est pas cette Brigitte Auzière),
    2. les écritures et signatures de Brigitte Auzière sur un document notarial du 27 mars 1985 (texte),
    3. la dédicace (écriture et signature) de Brigitte Macron le 4 décembre 2017 pour un Panda du zoo de Beauval (lien, texte),
    4. une réponse de Brigitte Macron à la société "Une luciole dans la nuit", en date du 20 octobre 2017 (lien, texte),
    5. une réponse de Brigitte Macron à la société "Le Slip français", en date du 31 mai 2017 (lien, texte).


    A gauche, les écrits n°1 (vert) et n°2 de Brigitte Auzière. A droite un écrit de Jean-Michel Trogneux / Brigitte Macron (Paris-Match)

    Sans s'y connaître vraiment, on sent que ce n'est pas la même écriture, notamment par le tracé des A majuscules. Une graphologue a bien voulu nous apporter son concours. Elle a confirmé que les écritures n°1/n°2 ne sont pas de la même personne que l'écriture n°3. Cela démontre que Brigitte Macron n'est pas la mariée de 1974, ce que Xavier Poussard a prouvé d'une autre façon dans F&D n°527 et 528, par des comparaisons de photo avec le logiciel Face++. On a donc là une double conjonction graphologique et photographique qui aurait valeur de preuve devant des tribunaux indépendants.

    A partir de ces maigres écrits, la graphologue est allée plus loin et a effectué un "survol" des caractères des deux personnes. Elle estime que Brigitte Auzière a une certaine estime de soi malgré une personnalité peu développée. Son écriture est assez enfantine, c'est une personne timide, voire timorée, alliant une certaine limitation intellectuelle à un mélange d'enracinement et de matérialisme.

    Pour Jean-Michel Trogneux / Brigitte Macron, la graphologue note qu'il n'y a pas de point terminant la citation, ce qui donne une impression d'inachevé... L'écriture est disharmonieuse, avec des télescopages, des reprises. D'autre part, bien que la personnalité soit affirmée, elle oscille entre une écriture semi-arrondie et semi-anguleuse (féminin/masculin) ; la signature est nettement plus anguleuse que le corps du texte. Il y a d'importants éléments de perturbation : des agrandissements et des lettres si petites qu'elles sont à peine esquissées ; la ligne droite n'est pas respectée, la seconde ligne est en partie descendante. Ce n'est pas l'écriture d'une personne bien équilibrée, son ego est surdimensionné.

    A notre avis, cette différence de caractères correspond pleinement à l'analyse que nous avions faite en notre point du 2 avril 2024, pour la crise de 1985. La différence de caractères entre Brigitte Auzière et Jean-Michel Trogneux n'était plus tenable : Brigitte n'en pouvait plus de cette vie de mensonges et dissimulations, où elle incarnait une Brigitte Trogneux qu'elle n'était pas, avec un mari fantôme et un père de ses enfants en transition de genre. Il était devenu nécessaire de l'exfiltrer, de la séparer de ses enfants et de la remplacer par... leur père. C'est alors que Jean-Michel est devenu la nouvelle Brigitte Auzière, et aussi la troisième Brigitte Trogneux.

    En ce qui concerne Jean-Michel Trogneux, nous ne disposons que de trois signatures, deux rapides et une autre, à droite, plus complète. Origine : voir l'Annexe A 39. Nous avions alors remarqué que dans la signature complète, le J et le M formait un B, une façon de signaler que Jean-Michel est aussi Brigitte... La graphologue estime que la signature complète est "très perturbée" ; "plus aucune ligne directrice, elle est "coupée" c'est assez symbolique"...




  30. Le 23 avril 2024. Approfondissement de deux points cruciaux.

    Notre scénario 2022, résumé dans le point du 2 avril 2024, n'apparaît pas assez convaincant à certains lecteurs sur quelques points délicats qui auraient mérité une explication plus concentrée, notamment parce qu'elle est délivrée de façon fragmentaire sur plusieurs chapitres / annexes. C'est pourquoi nous revenons ici sur deux d'entre eux, en y apportant un éclairage complémentaire.

    1. La disparition de Brigitte Trogneux (n°1) en 1961. (vue au Chapitre 28 et en Annexe 11)

      Nous sommes partis de déclarations, directes ou indirectes, de Brigitte Macron, reprises de multiples fois, comme étant un point essentiel de sa vie. "Un an après [la mort accidentelle de sa soeur Maryvonne en 1960], une de mes nièces de 6 ans est partie". "Elle se livre sur la mort de sa nièce de 6 ans, intervenue seulement un an après le drame" (liens : 1 2). "Et comme un malheur n'arrive jamais seul, l'une de ses nièces âgée de 6 ans décède quelques mois après d'une appendicite aiguë" Liens : 1 2 3 4 5 6 7...

      Or aucune de ses nièces n'est décédée à 6 ans en 1961 (arbre du chapitre 6). La plus proche à décéder est Sylvie Boulogne en 1966, à l'âge de 7 ans (elle avait 2 ans en 1961). Jean-Michel Trogneux / Brigitte Macron déforme donc la réalité. En 1961, il était un adolescent de 16 ans, un âge où l'on est davantage traumatisé par la mort d'un proche qu'à 8 ans. 8 ans, c'était l'âge de sa petite soeur Brigitte en 1961, pas loin des 6 ans déclarés... Elle pourrait être la petite décédée, et même être sa nièce. En effet, née tardivement en 1953, quand Simone, la mère de Jean-Michel, avait 40 ans, elle pourrait avoir pour mère biologique une des deux grandes filles de la maison, Anne-Marie, 21 ans en 1953, ou Maryvonne, 17 ans, celle qui est morte d'un accident de voiture le 24 février 1960. Dans ce contexte là, on comprend le traumatisme de Jean-Michel et l'approximation de sa doublure, Brigitte Macron.

      C'est donc là que l'on conclut que Brigitte est probablement décédée en 1961, sans que sa mort ait été officiellement déclarée. Pourquoi ? Nous n'en savons rien, mais nous pouvons énumérer quelques hypothèses, qui montrent que c'est possible. Il convient auparavant de se rendre compte que l'on est dans une respectable famille de notables d'Amiens, ancrée dans la bourgeoisie locale (Rotary Club, etc.), ayant une réputation à défendre. Un décès estimé honteux de leur fille cadette a pu provoquer un déni de réalité, aboutissant à la négation de cette mort et au remplacement de leur fillette par une autre. Voici trois situations pouvant aboutir à cette mort ressentie comme honteuse :
      1. Une maladie jugée dégradante. En fin de P.-S. 45, nous avions évoqué la cause d'une possible consanguinité.
      2. Une mort accidentelle provoquée par un membre très proche de la famille, dans des circonstances difficilement avouables.
      3. Un suicide de la fillette. C'est tout de même rare en dessous de 10 ans (lien). Dans le cas présent, cela pourrait correspondre à l'hypothèse où Brigitte serait fille biologique de Maryvonne, décédée brutalement quelques mois plus tôt (cause "Mort d'un proche" dans le tableau ci-dessous). Mort d'autant plus difficile à vivre que sa vraie mère ne serait pas reconnue comme telle.

      Rappelons que, même si nous l'estimons très probable, nous ne sommes pas certain du décès de Brigitte n°1 à cette époque. Elle a pu être exfiltrée, ou pas, et elle a pu disparaître plus tard, comme décrit dans le scénario F&D 527. Rappelons que nous estimons connaître la dernière mention de son existence, révélée par Sylvie Bommel, en son livre de 2021, lorsqu'elle écrit, sûrement à partir d'une déclaration de Brigitte Macron : "Brigitte, à six ans, est assez grande pour être petite fille d'honneur" au mariage de son grand frère Jean-Claude, le 14 juin 1960. 6 ans ? Oh non, elle avait 8 ans en 1960 ! Quelle étrange erreur, qui en rappelle une autre : la nièce décédée à 6 ans en 1960 ! Le même âge, la même fillette, il n'y a guère de doute...



    2. Brigitte "Proba" Auzière (Brigitte Trogneux n°2) témoin du mariage de 1980 (vu aux chapitres 27 et 30).

      Rappelons d'abord comment nous avons, par déduction, compris que la mère des trois enfants Auzière s'appelait Brigitte Auzière. Il apparaissait logique qu'elle soit très proche de Jean-Louis Auzière, et il n'y avait guère qu'une de ses nièces pour tenir ce rôle. Comme, après étude, elle ne pouvait être aucune de celles officielles, cela signifiait qu'elle était cachée. C'est ainsi que nous l'avons prénommée Proba (comme probable) Auzière, dans un premier temps. Puis, nous nous sommes rendu compte que, pour avoir à peu près le même âge que Brigitte Trogneux, elle devait être un double féminin du fantomatique André Louis, puis qu'elle devait se prénommer, elle aussi, Brigitte. Ce n'est qu'ensuite, le 15 septembre 2022, que nous avons trouvé confirmation de son existence dans l'acte de mariage de Jean-Michel Trogneux et Véronique Dreux, à la mairie de Blangy Tronville le 4 novembre 1980 (les copies partielles de cette acte dont nous disposons : 1 2 3 4, extraits ci-dessus).

      Rappelons avec force que les témoins d'un mariage sont obligatoirement désignés par leur nom de naissance. Nous avions signalé l'article 34 du Code civil, on peut y ajouter cette page, par exemple. Cet acte est donc une confirmation solide de l'existence de Brigitte Auzière. L'étourderie apparaît pratiquement impossible : quand un témoin arrive, on lui demande une pièce d'identité et on marque son nom de naissance, on ne lui demande pas son acte de mariage... Le trucage est à rejeter aussi, car on n'est pas du tout dans le cas du mariage de 1974, où Léonce Deprez, grand ami de la famille officiait, en un lieu qui n'était pas celui d'habitation. Ici, le maire de la commune où habite Jean-Michel, n'a aucun lien connu avec les familles Trogneux et Auzière. Et puis, les falsifications sont tout de même rares, il n'est pas pertinent d'en ajouter sans indice vraiment probant.

      Ce qui est révélateur, c'est qu'il n'y ait pas écrit "Brigitte Auzière, femme Auzière" ou "épouse d'André Auzière". Ce n'est pas anormal, puisque marquer le nom de mariage n'est pas obligatoire, c'est seulement usuel. La raison de ce manque est simple : Brigitte ne pouvait pas se présenter comme femme d'André Auzière, puisque celui-ci était censé être marié à Brigitte née Trogneux. De plus une Auzière mariée Auzière, cela aurait été bizarre.

      La question plus problématique à poser est : pourquoi ne s'est-elle pas présentée comme Brigitte Trogneux ? Après tout, il est très banal que la soeur du marié soit témoin. Là, il y a eu un "hic". Lequel ? Brigitte Auzière a pu vouloir montrer son indépendance du clan Trogneux. Ou alors elle avait un souci pour se justifier née Trogneux. Par exemple, elle a pu oublier d'amener sa carte d'identité Trogneux, n'ayant que celle Auzière... Elle n'a pas vraiment consenti à devenir Brigitte Trogneux, cela lui a été imposé quand elle était très jeune. Peu importe, l'essentiel est qu'elle nous ait laissé, là, une preuve de son existence : une Brigitte née Auzière était physiquement présente et elle a signé, alors qu'officiellement elle n'existe pas dans la famille proche de Louis et de Jean-Louis.

    Revenons à l'actualité présente. Dominique Droin vient de publier une page intitulée "Brigittegate, Affaire de la page 110, Emmanuelle Anizon répond" (à propos du P.-S. 46). Il nous montre à quel point le travail de cette journaliste professionnelle est un "naufrage", d'une "légèreté ne pouvant que nuire à la crédibilité de sa narration". "C’est un peu le problème de ces journalistes des médias conventionnels qui veulent faire la leçon à tout le monde, sans être capables, eux-mêmes, de montrer l’exemple". "Un peu" est un euphémisme...



"Seuls les petits secrets ont besoin d'être protégés. Les grands sont tenus secrets par l'incrédulité du public." Marshall Mac Luhan.
"Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant." Jean Jaurès.
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